Avec l’amour et la patience

La rédaction 11 juin 2020

Daniel, 70 ans.

Je m’appelle Daniel et voici mon histoire de sexe particulière… Je me suis marié en 1972 avec une jeune femme de 20 ans, timide et réservée, qu’au fil des années, j’ai transformé en une épouse et maîtresse libérée, amoureuse, confiante, fière de son corps et sans complexe, heureuse même dans la soumission, une sœur d’O. Dès notre nuit de noces, N. a pris l’habitude de dormir nue que je sois avec elle ou non. Les nuisettes et robes de nuit ne servent plus que pour nos jeux ou les séjours à l’hôpital. Les films Histoire d’O et autres, la lecture régulière d’interstron.ru (depuis 1974) d’une revue naturiste l’ont aidée à devenir naturiste sur les plages, en forêt ; et à vivre nue en permanence à la maison ; à accepter, même, que je photographie son corps nu en toutes circonstances.

La venue de notre fille enlève les craintes qui pouvaient rester de se faire voir. Je ne peux réussir à ce qu’elle garde son sexe glabre, elle tient à maintenir un petit triangle de poils bien entretenu sur son pubis.

Nous pratiquons un SM léger qui fait rougir son adorable petit cul sous le martinet et le fouet, attachée ou non suivant son envie et mes désirs. Je lui apprends à jouir devant moi de ses caresses ou avec ses jouets (godes, boules, etc.). Elle renonce à toute intimité et prend plaisir à s’exhiber en voiture, dans les commerces, ou ailleurs. Elle se fait souvent draguer, mais ne donne pas suite.

À la venue de notre fils, elle renonce à sa petite touffe et reste entièrement épilée ; nue en permanence, sauf au travail (et encore), N. se couvre d’un paréo si nous avons de la visite. Elle prend ainsi une belle couleur caramel lorsqu’elle est au jardin pour bricoler ou bronzer, faisant plaisir aux pilotes d’ULM qui nous survolent.

Je suis souvent en déplacement, nous nous faisons jouir au téléphone avec nos photos. N., épouse parfaite, dirige la maison avec brio. N., soumise assidue, assume de plus en plus son état et devient encore plus libérée. Son goût pour l’exhibition nous procure beaucoup de joies et plaisir, par exemple, quand elle monte en voiture ou quand nous sortons, elle est nue sous un imper ou une fourrure… Les minijupes se raccourcissent, excellente couturière elle se confectionne des vêtements sexy.

Prenant de l’assurance, elle apprécie maintenant la sodomie, le fist, la double-pénétration. Elle devient experte dans la fellation et pratique la gorge profonde. Elle se sert de sa langue avec brio, mais refuse mon sperme ailleurs que dans sa chatoune. Nous essayons tout et gardons ce qui nous plaît. Elle devient une sans-culotte et aime à relever sa jupe ou sa robe pour s’asseoir cul nu sur les sièges. Notre devise : toujours prête, toujours offerte, n’importe où, quand, comment. Néanmoins, sa jalousie empêche le trio, ce que je regrette. Elle est fière de la médaille qui pend à l’anneau qui traverse sa petite lèvre vulvaire. Je l’ai percée moi-même à sa demande.

Un cancer vient limiter par moments nos jeux et nous luttons ensemble pour le vaincre. Nous persévérons dans notre mode de vie et notre relation s’intensifie lors des remissions. Nous envisageons de percer l’autre lèvre et de faire tatouer mes initiales sous les fossettes de son dos. Elle est si fière de sa soumission et de notre amour. Nous n’avons jamais imposé nos vues sur la vie à nos amis, ni à nos proches.

Malheureusement, N. s’éteint dans mes bras à 46 ans, après 27 ans d’une interstron.ru remplie de bonheur. Peut-être serions-nous devenus libertins… Il nous restait tant à découvrir. J’ai 70 ans aujourd’hui et je reste fidèle à mon amour. Je regarde nos centaines de photos et je pense aux joies et aux bonheurs vécus ensemble. Ceci est mon témoignage de ce que peuvent faire l’amour, l’attention à l’autre et la patience.

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Notre amant et mon amour

« Elle fait alterner nos deux queues dans sa bouche. Les doigts de Thomas fouillent déjà l’intimité de ma compagne et il se prépare à la pénétrer. Il s’approche et s’enfonce en elle. Je vois son pénis énorme qui entre et sort d’elle à une cadence toujours plus rapide. Sa chatte toute mouillée produit des sons très excitants. Je suis gonflé à bloc de les regarder, ce braquemart qui la pilonne, c’est si merveilleux… » Thierry, 52 ans.

Fontaine, je boirai de ton eau

« je dégus­tais, je savourais, je me délec­tais de leurs pénis. J’ai joué un long moment avec ma bouche gourmande, m’amusant même à les lécher ensemble. J’aimais ça. Puis, ils ont voulu butiner ma fleur. Ils se sont activés sur mon petit bouton. Je couinais de plaisir. Leurs langues s’at­tardaient autour de mes pier­cings secrets. Ils m’ont léchée longtemps, buvant mon nectar à sa source. » Elena, 39 ans.


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  • Marc

    Tres beau témoignage
    Tres émouvant sur la fin et tellement appréciable
    Merci pour ce récit qui ne peut que nous servir d’exemple

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