Une chatte noire bien taillée
4 mai 2023Julien est médecin, pour sa dernière mission en Afrique une infirmière noire lui offre une bonne partie de jambe en l’air.
À être humanitaire, on n’en est pas moins homme ! Pardon de ce pastiche du Tartuffe de Molière, mais après tout, le camp d’une organisation humanitaire dont je tairai le nom au milieu du Rwanda est une sorte de théâtre. On assiste à des scènes surréalistes et on y rencontre de vrais personnages. C’est lors de ma dernière mission. Voici donc mon histoire de sexe !
Première rencontre avec une jolie nana noire
Je suis médecin urgentiste, que j’ai croisé la route de Clara, une infirmière, le feeling est tout de suite passé. Collègues sur le terrain et voisins de lodge, nous nous sommes vite rapprochés. De l’ethnie hutue, elle voulait prendre une part active à la reconstruction de son pays et était d’une aide précieuse pendant des opérations délicates.
Plusieurs fois nous nous étions effleurés, nos regards en disaient long eux aussi, mais c’est après le sauvetage d’un enfant que les choses ont basculé. Le pic d’adrénaline, la joie d’avoir soigné un petit être et nous avons fêté notre victoire sur le sort autour d’une bière.
Les premiers désirs
L’exaltation du bloc opératoire a fait place à une tension sexuelle palpable. Clara sentait le désir, sa peau diffusait son excitation. J’étais encore en pyjama de chirurgien et je n’ai pu, longtemps, dissimuler mon érection.
Nous avons lâché nos canettes et nous nous sommes embrassés langoureusement. Qui n’a jamais connu les baisers de la bouche d’une femme noire ne sait pas ce qu’est le paradis, alors pour ce qui est de leurs autres talents buccaux… Ses lèvres pleines et ourlées étaient comme un fruit, un melon doux et gorgé d’eau, sa langue fraîche de la dernière goulée de bière s’enroulait autour de la mienne et m’invitait à une danse ensorcelante.
Une pipe bien taillée
Ses mains sont descendues défaire les nœuds qui retenaient mon pantalon, élargissant l’élastique pour dégager mon bassin, elle a mis au jour ma queue déjà toute dure et gonflée de sang. J’ai tremblé lorsqu’elle s’est accroupie pour commencer à me tailler une pipe.
Comme pour ses baisers, ses succions lippues étaient une extase. Pulpeuse, sa bouche épousait parfaitement toutes les circonvolutions de mon gland, elle a ainsi avalé toute ma bite, jusqu’à en avoir le nez enfoui dans ma toison pubienne très fournie.
La salope noire dévoile ses talents
Les Africaines, en général, sont des lionnes au lit, Clara ne dérogeait pas à la règle. Affamée et entièrement disponible aux volontés de son amant. Après m’avoir taillé une pipe à la limite du supportable, elle s’est à son tour dénudée, camaïeu de marrons, aréoles serrées et plus foncées par la concentration en mélanine et, en contraste flagrant, la fente rose magenta s’épanouissant comme une fleur au creux d’un écrin totalement glabre.
Je lui ai demandé si elle voulait bien que je prenne quelques clichés, elle m’a roulé une pelle et m’a répondu que cela l’excitait. Je suis meilleur toubib que photographe, mais au moins je peux partager ce souvenir torride.
Une chatte noire bien défoncée
Je l’ai baisée à en faire écrouler mon petit lit de camp ! Clara était aussi chienne au pieu que réservée dans la vie. Pressant ses seins l’un contre l’autre, se léchant les tétons, se libérant de mon emprise pour cracher sur ma bite et me sucer avant de venir à califourchon sur moi.
Son clitoris était un bourgeon de magnolia, énorme et sensible. Je pouvais presque l’aspirer entier quand je lui soignais la chatte. Clara aimait tout, que je la prenne avec ma queue, que je la doigte et même que je la fiste, mais ce qui la faisait vraiment décoller ? La sodomie.
Un cul noir bien profond
Pour moi c’est loin d’être un passage obligé, mais quand on me convie par l’entrée des artistes, pourquoi refuser ? Clara m’a clairement demandé de l’enculer.
Et pour ça, elle avait sa technique, d’abord étaler sa salive et sa mouille sur son petit trou pour le lubrifier et commencer à le décontracter avec ses doigts. Elle s’installait sur le ventre, cuisses serrées mais fesses détendues à l’extrême, elle m’invitait alors à la sodomiser sans autre forme de procès.
Avale de queue et de sperme
Ma queue se fichait sans problème dans l’orifice étroit et velouté. Clara me pompait littéralement la bite avec son anus, comme elle le faisait en me suçant. Incroyable ! Il a suffi de peu de temps ensuite pour m’amener à la jouissance.
Et là, rien de plus simple pour faire plaisir à Clara tout en prenant mon pied, lâcher mes gros jets de sperme blanc sur ses énormes seins noirs. Graphiques, sensuels, les clichés de mes éjaculations sont tous des petites œuvres d’art, quant à ma douce ramassant mon foutre avec ses doigts pour les lécher et tout avaler, cela reste mon jardin secret.
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