Avec moi, les clients sont rois !
5 avril 2019Sylvie, 42 ans, Paris.
Je suis restée une femme fidèle et vertueuse pendant presque vingt ans. Je travaille dans l’immobilier. Le mois dernier, un matin, je suis arrivée à l’agence en minijupe. Et mon patron m’a fait une proposition, enfin, une sorte de promotion : je devrais convaincre des clients récalcitrants en les accompagnant au restaurant. J’ai d’abord refusé, puis l’idée de jouer l’allumeuse m’a finalement amusée. Je ne suis pas si mal que ça pour mes 42 ans !
Quinze jours plus tard, j’accompagnais un client de l’agence, un gros bonhomme rougeaud et ventru. Après le restaurant, je lui ai fait visiter notre pavillon témoin confortablement meublé et décoré. Je me suis assise sur le canapé et le bonhomme m’a rejointe. Il a posé sa grosse paluche sur ma cuisse, remontant haut sous la jupe. Je l’ai laissé faire pour ne pas le contrarier, et ses doigts boudinés ont caressé mon clitoris à travers mon slip. J’ai écarté les cuisses. Le bonhomme m’a enlevé ma culotte avant de me planter plusieurs doigts dans la foune. J’ai joui malgré moi à haute voix. Il a sorti son braquemard et me l’a mis dans la main. Il bandait assez mou, mais les va-et-vient de mes doigts l’ont fait durcir. Ensuite, il s’est levé et m’a caressé les lèvres avec la pointe de son dard humide. Quand je lui ai dit : « Je ne suce pas », il est resté interloqué, planté devant moi à se branler.
Puis, il a sorti un préservatif de sa poche et l’a enfilé. Ce vieux cochon m’excitait vraiment. Il m’a attrapée, m’a retournée contre la table et m’a empalée vigoureusement avec sa grosse bite. Au moment où il a joui, il a retiré la capote sur ma cuisse, et son sperme a coulé le long de mes jambes. Je n’avais jamais connu de rapport aussi puissant. Je trompais mon mari pour la première fois. Quelque chose venait de se réveiller en moi…
En fin d’après-midi, un grand brun que j’avais déjà rencontré quelques jours auparavant m’a proposé de passer un moment avec lui. Sans réfléchir, je l’ai suivi à l’hôtel. J’étais partie dans une frénésie sexuelle que je n’arrivais pas à apaiser. Il m’a initiée à beaucoup de choses. C’est avec lui que j’ai fait mon premier 69, moi l’épouse coincée !
Sa langue me fourrait tellement bien que j’ai sucé sa bite avec avidité, et je me suis trouvée dépourvue quand son sperme a envahi ma bouche ! Je me suis levée pour tout cracher dans le lavabo… Mon grand brun est venu se coller à moi. J’étais penchée en avant en train de me rincer la bouche quand j’ai senti sa bite entrer dans ma chatte. Puis, en se cramponnant à mes seins, il s’est enfoncé jusqu’aux couilles et j’ai crié un « oui » de plaisir. Il m’a burinée très fort. Je râlais de plaisir en disant : « Encore, encore… »
Il est sorti de ma foune et a appuyé son gland contre mon anus. J’étais horrifiée à l’idée de me faire prendre par là, j’ai crié : « Non ! » Lubrifié par ma mouille, mon petit trou s’est ouvert sous la poussée, et sa bite est entrée, non sans difficulté. Quand le membre a coulissé au plus profond de mon boyau, j’ai gémi de plaisir. Je venais de perdre le dernier rempart de ma virginité.
Le lendemain, je suis allée bosser dans une tenue similaire à celle de la veille, avec un sweat échancré pour mettre en valeur mon 90 C. Mon patron m’a fait venir dans son bureau pour me féliciter d’avoir réussi à persuader le client d’acheter. Il m’a demandé de quelle façon je m’y étais prise, et j’ai murmuré : « C’est top secret… » Ce malin a tout compris. Il a sorti sa bite et m’a dit : « Je suis sûre que tu suces bien ! » en m’incitant à m’agenouiller. Emoustillée, j’ai pris la bite patronale dans ma bouche en faisant des va-et-vient avec mes doigts. Il m’a balancé une saccade de foutre sur la langue. J’étais encore plus désemparée que la veille, ne sachant où cracher cette crème gluante et amère, et j’ai tout dégluti. Ãa m’a donné la nausée. Je suis ressortie un peu honteuse du bureau.
Le surlendemain, j’ai quand même raconté à mon patron la façon dont le gros bonhomme m’avait baisée contre la table. Ça nous a excités tous les deux et, quand j’ai mimé la position que j’avais prise, mon boss m’a planté sa bite entre les cuisses. Finalement, nous avons joui ensemble. Aujourd’hui, je ne sais pas quand cette escalade dans la débauche va s’arrêter !
(Image à la une : Getty Images)
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C’est purement sexuel !
« Bernard m’a demandé de le suivre dans une pièce où j’ai découvert un couple en pleine action. La fille était entre les jambes de son amant et engloutissait la belle queue tout au fond de sa gorge. » Mélodie.
Sous le bureau
« Sa queue était dure et chaude. J’ai rentré son sexe tout entier dans ma bouche. Je sentais le désir inonder mon bas-ventre. » Nawell.
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boogie35
Excitant ce récit ! J’ai vraiment adoré !