Dans le c.. de mon mari !

La rédaction 26 avril 2021

Loubna, 47 ans est une vrai dominante au lit. Son mari obéissant lui permet de réaliser son fantasme : pénétrer un homme.

Je suis une femme d’origine mahrébine de 47 ans et je réponds à un certain fantasme qu’ont les hommes sur les femmes nord-africaines. Ils m’exotisent et m’imaginent bête de sexe et prude à la fois. Ce n’est pas du tout moi. Laissez-moi vous dire comment je vis ma sexualité en réalité. La vérité, c’est que j’ai un côté dominante très fort. J’adore asservir ces messieurs, en particulier mon mari, qui est à mon service de ce côté-là. Par exemple, j’avais envie depuis longtemps de le pénétrer. Oui, de lui mettre des trucs dans le cul. Je voulais qu’il se soumette à moi jusqu’à ce geste d’abandon absolu de la part de mon homme. Il ne peut rien me refuser et rien ne lui fait plus plaisir que de céder à mes caprices de femme autoritaire. Je vous raconte mon histoire de sexe.

Nous avons décidé de nous mettre à jouer une après-midi où nous étions seuls à la maison. Je l’ai fait s’allonger sur le lit, face contre le drap. Mon mari est un bel homme bien musclé, à la peau claire, de grosses épaules et des yeux verts. Son corps, même après vingt ans de mariage, m’attire toujours autant. Surtout, j’adore lui faire subir mes petites lubies sexuelles du moment. Ce jour-là, j’étais assise à côté de lui sur le matelas.

J’avais revêtu une guêpière de dentelle, des bas et des porte-jarretelles noirs. Je lui avais interdit de me toucher, pour le faire attendre, jusqu’à ce qu’il n’en puisse plus. Il était donc allongé sur le ventre, avec l’interdiction de regarder ce que je faisais. J’ai commencé par lui masser les fesses avec mes mains. Il les a bien fermes et musclées, je les adore ! Si je n’étais pas aussi polie, je mordrais dedans comme dans un fruit. Sa peau se réchauffait sous mes doigts conquis et en même temps, des petits frissons de plaisir lui hérissaient l’épiderme. Quand je l’ai senti vraiment frémissant de désir, j’ai pris un petit joujou à côté de moi.

C’était un petit plug. J’ai mis du lubrifiant dessus et je l’ai approché du cul de mon époux. Ses fesses sont entrées en contact avec le silicone. Un frisson l’a parcouru, puis il s’est détendu un peu plus, préparé mentalement à ce qui l’attendait. Je l’ai fait monter et descendre doucement, faisant entrer quelques centimètres pour le moment. Le souffle de mon mari s’emplissait de quelques notes de sa voix grave qui résonnait plus fort alors que le jouet entrait plus profondément en lui. D’un coup, son cul a pris en entier le plug qui a disparu en partie dans son fondement, assorti d’un râle de plaisir et de surprise qu’il ne pouvait réfréner. Il s’en remettait à cet objet qui le remplissait.

J’ai donné une fessée sur son cul cambré. Ses muscles bien bandés me faisaient de l’effet. Ils tranchaient avec la détente de son cul, où il ne plaçait aucune virilité particulière, mais par lequel il prenait son pied. Ça m’excitait de le voir comme ça, soumis à mes gestes osés. Tout en manipulant le plug en lui, j’ai glissé une main sur ma chatte pour réveiller mon clito. J’avais une guêpière, mais pas de culotte. Ma chatte frémissait à son tour d’être stimulée par mes mains habiles. Le cul de mon mari, le plug, ses fesses bien musclées et bien soumises, quelle joie, quelle exaltation !

Lui avait commencé à se branler aussi contre le matelas tout en prenant dans son derrière les mouvements du plug. Je le tenais tout entier par son trou du cul. Il se tortillait comme une femme et moi, je mouillais de plus en plus à le voir ainsi et à me caresser en même temps que j’étais la spectatrice (et l’instigatrice) de cette pénétration impromptue. J’ai voulu passer à la vitesse supérieure. J’ai attrapé le deuxième joujou qui nous tenait compagnie ce jour-là : un strap-on, un gode relié à une ceinture à scratch que je pouvais revêtir comme une parure, un artifice de masculinité qui devenait mien.

Je me suis mise contre lui, sur le lit. J’aimais être celle qui prenait les rênes de la baise et mon mari était si docile ! C’est une belle qualité. Il était à ma disposition, il me faisait confiance au point de me laisser venir le prendre par le plus profond de son intimité. J’ai posé l’objet enduit de lubrifiant à l’entrée de son cul, déjà bien préparé par le plug, et je n’ai eu aucun mal à m’y enfoncer progressivement. Il était comme une femme entre mes jambes, il gémissait faiblement et recevait la belle longueur du gode-ceinture sans broncher. Je le maniais à l’aide de mes mouvements de reins pour bien le prendre et qu’il me sente aussi bien que moi je le sentais quand il me prenait.

Son cul était un coeur volcanique où le plaisir le consumait. De mon côté, j’avais l’impression que mes mouvements de bassin me rendaient “virile” et suffisaient à me faire mouiller comme une dingue. J’ai retiré la ceinture et pris le gode dans ma main pour continuer à me branler en même temps que je le pénétrais avec. Lui aussi s’est mis à genoux pour se masturber pendant que je le godais. Il était comme un démon, tant il était excité. Moi, je le baisais et je me branlais de plus en plus vite.

Je lui ai donné l’autorisation de jouir quand j’étais moi-même en train d’avoir un orgasme et nous nous sommes perdus, dissous, dans la folle jouissance de ce renversement des rôles.

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