C’est le plombier !
2 mai 2021J’ai travaillé chez un plombier. Un jour, il a eu un appel pour une fuite d’eau, j’y suis allé. L’appart était occupé par une belle métisse. Nicolas, 22 ans.
L’été dernier, j’ai travaillé chez un plombier. Un jour, il a eu un appel pour une fuite d’eau, et comme c’était tout près de chez moi, il m’a demandé de passer voir ça le soir pour prendre des photos et les lui soumettre. L’appart était occupé par une belle métisse, entre 25 et 30 ans, peu vêtue à cause de la chaleur dans son logement. J’ai regardé et pris des photos comme convenu, la petite métisse n’était pas avare de sourires, et à la regarder de plus près, ses deux beaux seins très découverts étaient bien galbés par son t-shirt très court. Je n’avais pas l’air de lui être tout à fait indifférent. Voici mon histoire de sexe.
Le lendemain, mon patron a fait le diagnostic et a évalué l’intervention. Le soir même, je suis repassé pour amener le devis à la cliente. Toujours aussi accueillante, elle était vêtue d’un short serré qui moulait ses fesses et du même t-shirt sans soutif… On a bien discuté, j’ai senti que je lui plaisais. Je lui ai demandé si elle était libre et je l’ai complimentée sur son corps. Je lui ai indiqué que moi j’étais libre et lui ai proposé : « Si tu veux, je viens samedi matin, je répare la plomberie et je reste le temps que tu veux après… ».
Elle m’a regardé de haut en bas, m’a décoché un beau sourire et un clin d’œil et a demandé combien de temps prendrait la réparation. On s’est mis d’accord pour que je passe la journée entière avec elle. Pour sceller notre accord, elle s’est approchée de moi, m’a embrassé sur les joues plusieurs fois et m’a dit à l’oreille : « Je t’attends samedi matin, alors. Tu auras tout ce qu’il faut ? Tu pourras rester même la nuit, si tu veux. ». Je l’ai rassurée en disant que j’aurais tout ce qu’il faudrait pour le travail et pour le reste… Je n’avais jamais fait l’amour avec une métisse, mais c’était une idée qui me trottait dans la tête depuis plusieurs années. Jouer l’apprenti plombier et aller faire un petit extra avec mon petit tuyau privé, ça m’excitait bien.
À l’heure prévue le samedi, j’ai sonné chez elle. Elle m’a ouvert. Je ne m’attendais pas à un tel accueil : elle portait un petit déshabillé blanc presque transparent et juste un petit string en dessous. J’étais à la fois surpris et plus que satisfait. Elle a fermé la porte à clé, et j’ai posé mes affaires. Elle m’a attiré vers elle. Ses seins étaient superbes et d’une très bonne tenue. Nous nous sommes bécotés, puis nous nous sommes embrassés à pleine bouche, nos langues jouaient à l’intérieur et à l’extérieur. Elles se mêlaient. J’aimais son odeur, je l’ai caressée des épaules aux fesses, une épingle ne serait pas passée entre nos deux corps tellement nous étions serrés l’un contre l’autre. Elle m’a dit : « Viens prendre un petit acompte… ».
Lorsque j’ai franchi la porte de sa chambre, ma queue était déjà à deux doigts d’exploser dans mon boxer et elle était mal positionnée. J’ai enlevé mon t-shirt et Amelya a pris mes mains pour les poser sur ses seins. Je me suis occupé d’eux, puis je les lui ai bouffés un maximum. J’ai léché ses pointes très larges qui durcissaient vite, je l’ai embrassée dans le cou et lui ai léché l’épaule. Ensuite, j’ai pétri ses belles fesses rebondies. J’ai posé mon bermuda et extrait la boîte de capotes que j’ai jetée sur le lit. J’ai compris qu’Amelya était en manque quand elle m’a dit : « Prends-moi tout de suite, j’ai trop envie. ». Déjà sa main caressait mon boxer quand je lui ai demandé : « Enlève-moi ça ! ». C’est ce qu’elle a fait.
Je me sentais déjà mieux. Ma bite était dressée vers elle. Amelya s’est affalée sur le lit et m’a attiré contre elle. On s’est mis en 69. J’ai écarté son string et commencé à lui doigter le clitoris. Elle a soulevé les fesses pour que je lui enlève le petit bout de tissu. Un triangle de poils mignon et tout noir surmontait une grande chatte entièrement épilée. Amelya a parcouru ma queue avec sa langue et ses doigts. J’allais de plus en plus loin dans sa chatte avec mes mains. La cyprine commençait à lui tapisser les chairs. J’avais une vue superbe sur sa chatte d’ébène. J’attendais ce moment depuis plusieurs années. Amelya semblait apprécier. C’est armé de ma langue rose que j’ai chargé droit à l’intérieur de ce nid douillet ! J’ai fouillé ! La sécrétion de cyprine augmentait, et ma langue butinait tout son nectar. Elle a arrêté de me sucer et m’a donné une tape sur les fesses pour me faire retourner. « Vite, baise-moi, je ne tiens plus, tu m’excites trop ! ».
J’étais fébrile, mais je me suis maîtrisé pour emballer ma bite dans la capote, sa chatte était grande ouverte, ses cuisses étaient très écartées. Je me suis positionné face à sa chatte, et lorsque ma bite l’a pénétrée, elle a poussé un très gros soupir de soulagement et de satisfaction. Je l’ai pistonnée lentement, et elle a accéléré le mouvement. Elle m’a imposé sa cadence avec ses mains sur mes fesses. Après avoir joui au fond d’elle, et savouré ma jouissance, mes doigts et ma langue se sont occupés de sa chatte, de son anus, de son clitoris pour l’amener à une belle jouissance. Nous étions ravis, et je me suis mis au travail.
À midi, elle a déclaré : « Je prendrais bien un petit apéritif… Toi ! ». J’ai quitté ma combinaison de travail sous laquelle je ne portais que mon boxer et lui ai proposé : « Tu veux encore goûter à mon petit tuyau ? ». Elle m’a gentiment rectifié : « Ton gros tuyau ! ». Elle a faufilé sa main dans mon boxer et a commencé à me caresser. Je lui ai enlevé son t-shirt, dévoilant à nouveau sa superbe poitrine. J’ai baissé le short de coton éponge qui moulait ses fesses. Elle était nue. Je l’ai retournée contre la table de la cuisine, elle y a allongé son torse et a écarté ses jambes. J’avais une vue imprenable sur son beau cul rebondi, marron et uniforme. Je suis allé chercher une capote.
J’ai commencé par m’accroupir pour bien humidifier son minou. J’ai fait des va-et-vient avec un doigt, puis deux, puis trois jusqu’à ce que je sente que c’était le bon moment pour la sauter en levrette. Je me suis agrippé à ses fesses, je suis entré dans sa grotte grasse et large et je n’ai pas tardé à percevoir quelques petits cris de plaisir… De temps en temps, j’allais lui agacer son clitoris noir et tout gonflé de désir. Elle a crié plus fort au moment de jouir. J’avais beaucoup stimulé son clitoris. Un peu après, j’ai craché au plus profond de sa grotte brûlante.
J’ai terminé mon travail dans l’après-midi, mais elle m’a invité à passer la nuit avec elle. Elle m’a expliqué ne pas avoir été baisée depuis plus de six mois et qu’elle se trouvait dans un grand état de manque. Les trois samedis suivants plutôt que d’aller draguer en boîte, où les résultats escomptés pouvaient ne pas être au rendez-vous, je suis retourné passer la nuit avec elle. Et effectivement, j’ai senti qu’elle avait du temps à rattraper ! Avec elle, au moins, j’étais sûr de jouir et de bien me vider les couilles.
(Photo à la une : Getty Images)
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