Bonne la skieuse !

La rédaction 8 décembre 2020

Romain, 25 ans, apprend enfin à skier ! Et il va avoir la meilleure des professeures… une belle femme athlétique de 40 ans et divorcée.

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Cet hiver-là, j’avais décidé de me mettre au ski. J’en avais assez de voir mes potes partir en virée à la neige sans moi et je les ai donc suivis dans leur dernière escapade, avec l’idée de prendre des cours au moins les premiers jours.

Dans la station des Alpes où nous étions, j’ai choisi une petite école pas trop chère. Là, on m’a assigné une professeure de 40 ans dont on m’a assuré qu’elle était parfaite pour un débutant. Je dois admettre que lorsque je l’ai vue débarquer, je me suis dit que cet apprentissage serait plus agréable que prévu. Elle était grande, athlétique et dorée par le soleil, les seins visiblement conséquents malgré la combinaison, et de longs cheveux bruns s’échappaient de son bonnet de laine.

Nous avons commencé par des pistes vertes, très tranquilles. Elle m’a appris à me stabiliser, puis à tourner en fléchissant les jambes. Elle me criait ses indications de sa voix fluette en me regardant skier, tout flageolant. J’aurais pu me sentir humilié par la situation, mais elle semblait trouver cela mignon, et me jetait des petits clins d’œil réconfortants.

Après une chute inévitable vu mon piètre niveau, elle est venue à ma hauteur pour m’aider à me relever. Dans un moment de déséquilibre, elle a dû me rattraper et je me suis retrouvé dans ses bras. J’ai senti les boucles brunes et la générosité de sa poitrine. Elle a éclaté de rire et moi, je bandais dans mon pantalon de ski.

À la fin de la journée, nous sommes allés boire un vin chaud et les langues se sont déliées. Elle m’a parlé de son divorce et de sa solitude pendant les saisons, du défilé des élèves se succédant. Son beau visage fatigué dégageait une lassitude et une sensualité très fortes.

Nous sommes retournés vers l’école de ski qu’elle devait fermer elle-même car elle était la dernière. Moi, je fantasmais à plein régime, mais c’est elle qui a pris les devants.

Elle nous a enfermés à clé puis a commencé à dégrafer sa combinaison. Elle a ôté son col roulé et dévoilé ses seins sublimes, aux tétons sombres et durcis par le froid. Je me suis approché d’elle, à nouveau tout flageolant comme je l’avais été plus tôt sur mes skis.

Elle m’a embrassé et a caressé ma langue de la sienne avec une douceur folle. Nous nous sommes roulés des pelles ainsi contre le mur en bois de l’école, encore à demi-vêtus. Elle s’est agenouillée pour me sucer langoureusement. Elle aspirait ma bite dans sa bouche divine et me caressait les couilles en même temps, se réchauffant les mains au passage.

Le sol était trop humide de neige et glacial pour s’y allonger. Je l’ai alors relevée. Elle a baissé sa combinaison aux chevilles et s’est collée face au mur, le cul cambré. Elle avait une peau de lait et des fesses au moins aussi sublimes que ses seins.

Je me suis agenouillé à mon tour pour lécher sa fente offerte. C’était tout trempé, elle avait un goût fort et excitant. Je me suis redressé et je l’ai prise par-derrière contre le mur, la pénétrant lentement puis me laissant emporter par mon excitation et ses gémissements.

« T’as attendu ça toute la journée hein ? », lui ai-je demandé à l’oreille. Elle gémissait en acquiesçant. Je la prenais par les hanches en la baisant profondément, son cul tremblait sous mes coups de queue. J’ai glissé un doigt vers son clitoris et l’ai branlée en me finissant dans sa chatte.

On a joui quasiment en même temps, en produisant plein de buée. J’ai repris des cours le lendemain et jusqu’à la fin de la semaine. Et je crois que j’ai, pardonnez-moi l’expression, beaucoup progressé en planté de bâton…

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