Cadeau vibrant

La rédaction 4 juin 2019

Marc 34 ans, Burgnac.

Cadeau vibrant

Je m’appelle Marc et je suis marié depuis quatorze ans avec une femme qui apprécie nos parties de jambes en l’air, mais qui ne prend pas beaucoup les devants au niveau du sexe. Pour rompre notre routine sexuelle, j’ai acheté, sans la prévenir, deux godemichets dont un qui mesure 24 cm de long et 3,5 cm de diamètre.

Un soir avant de nous endormir, au cours d’une longue séance de caresses et de léchouilles, j’ai gardé les deux accessoires à proximité, sous les draps. J’adore dévorer mon épouse, jouer avec la ficelle du string, taquiner son dito, envoûter ses orifices. Je suis descendu sur son petit cul, ma langue est entrée, mes doigts ont suivi. Mon nez stimulait son clito pendant que je la sodomisais de l’index et du majeur. Ma tête coincée entre ses cuisses, ma main droite dans son cul, l’autre sur son sein, pressant un téton… Je l’ai sentie vibrer de pied en cap, comme une onde de bonheur quand son orgasme est arrivé. Je n’avais jamais eu autant de mouille sur les doigts et le visage. Madame n’avait pas l’air pressé que ça s’arrête, j’ai donc repris de plus belle. Elle est venue à nouveau sous mes assauts, j’en ai profité pour présenter le gros gode à l’entrée de sa chatte.

Elle devait se douter de quelque chose, car elle n’a pas résisté une seule seconde quand j’ai fait entrer l’engin, et jusqu’au fond. Elle est partie vers des sensations inconnues. J’ai entamé un va-et-vient timide, j’augmentais les vibrations au gré de mes envies, je titillais son clito du bout de la langue. Elle était toujours plus trempée. J’ai avancé le petit gode à l’orée de son cul. Là, mon épouse m’a surpris: en sentant ce deuxième objet mal identifié, elle a ondulé du bassin ! Elle le voulait dans son cul, tout de suite ! Elle s’est retrouvée prise entre les deux jouets qui fouillaient son intimité selon ses désirs. Je me contentais presque de les maintenir à l’intérieur. Elle se mordait pour ne pas crier, je ne l’avais jamais connue si passionnée, déchaînée.

Je suis remonté pour gober un de ses magnifiques nibards (105D). Elle a pris ma bite en main et m’a suggéré en chuchotant de remplacer un des jouets par ma queue. Des deux orifices, j’ai choisi le moins lisse. Mais elle mouillait si abondamment que je n’ai eu aucun mal à m’y glisser. Les vibrations de l’autre gode dans sa chatte ne faisaient qu’ajouter à la chaleur de mon étreinte… J’ai joui dans son anus en grognant comme une bête. Ma femme ne suce pas mais en cet instant délicieux, je me réjouissais qu’elle aime autant la sodomie! Elle me roulait des pelles fabuleuses tandis que je sortais à contrecœur de son tout petit endroit. Nous avons conclu cette adorable partie en nous embrassant comme des amoureux transis…

Plus tard, elle a encore joui une fois avec le petit gode dans sa chatte pendant que je lui mordillais le cou comme elle aime. J’espère que ce récit aura plu aux lecteurs et lectrices d’interstron.ru et particulièrement aux coquines de Haute-Vienne. Qu’elles n’hésitent pas à nous contacter. Nous voudrions nous mettre au triolisme

(Image à la une : Getty Images)

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