Clap de fin

La rédaction 26 octobre 2019

Elisa, 20 ans

Je m’appelle Elisa et j’ai 20 ans. Je suis mignonne, pas conne, et depuis toute petite, je veux devenir actrice. A Pâques, on est allés avec mon frère Théo dans notre maison en Dordogne.

Un soir, Théo m’a appris qu’il y avait un type sympa dans la baraque d’à côté, Marc, la quarantaine, qui bossait dans le cinéma. Dans ma tête, ça n’a fait qu’un tour. Je me disais qu’il pourrait me donner un rôle, même un petit. Parée d’une minijupe et d’un débardeur très léger, sans rien dessous, je suis allée sonner à sa porte. Il était pas mal : crâne rasé, trapu, mais avec une « gueule », comme on dit. Sauf qu’au bout de cinq minutes, il m’a expédiée car il avait un truc à faire. J’étais dégoûtée. Qu’à cela ne tienne. Plan B.

Le lendemain, j’ai guetté le voisin. Quand il est sorti dans son jardin, ni une ni deux, je suis sortie aussi, juste vêtue d’une petite culotte, pour étendre le linge. Le type m’a saluée distraitement. Je me suis demandé s’il n’était pas homo. Le soir venu, il a dîné dans son jardin. Comme la fenêtre de ma chambre donnait sur sa pelouse, j’ai tiré les voilages, allumé les lumières, et j’ai fait une chorégraphie en ombres chinoises, la même que celle du film Femme fatale, de Brian de Palma. Puis je suis allée sonner à sa porte. Il m’a regardée d’un air indifférent quand je lui ai dit que j’avais besoin d’aide pour me faire un book. Il m’a répondu qu’il n’avait pas le temps, qu’il était sur un scénario. J’ai insisté et finalement, il a accepté.

Le lendemain, je me suis pointée chez lui avec mon appareil, bien décidée à décrocher un rôle dans son nouveau film. Là, dans le jardin, j’ai multiplié les poses provocantes. Je ne portais qu’un string sous ma robe, j’ai fait en sorte qu’il s’en aperçoive. De la sueur a perlé sur le front de mon photographe. Je l’interrogeais tout en posant, je lui demandais s’il pensait qu’avec mon physique, je pourrais réussir au cinéma. Quand j’ai retiré mon T-shirt sans rien dessous, j’ai vu que je le troublais. Je lui ai dit qu’il me fallait des photos de moi nue aussi. Et j’ai ôté ma petite jupe. Je me suis assise, j’ai viré mon string et j’ai écarté les jambes en le fixant bien dans les yeux.

Quelques photos plus tard, il a fini par craquer. Il a posé l’appareil et est venu me toucher les seins. Il a titillé mes tétons pointés et sensibles, les a mordillés, léchés, sucés, pendant que ses doigts s’immisçaient entre mes lèvres, dans ma grotte moite. J’ai sorti son sexe, je l’ai branlé jusqu’à ce qu’il soit au bord de l’explosion. Il m’a retournée, je me suis retrouvée allongée sur le ventre dans l’herbe, et il m’a pénétrée en deux coups de reins. Il assurait pas mal. J’ai bien remué de la croupe sous lui pour lui masser les couilles, mes seins étaient écrasés contre les paumes de ses mains, il m’a donné d’énergiques coups de boutoir. De mon côté, je poussais des fesses en contractant bien les muscles de mon vagin. Je l’ai senti exploser en moi, son sperme est venu me recouvrir les muqueuses. Il m’a embrassé la nuque et m’a dit que la séance photo était terminée.

Après ça, j’ai passé mon temps à harceler Marc. J’allais non-stop chez lui, on baisait comme des lapins. Parfois, je lui parlais de son scénario et de mes ambitions. C’était gros comme une maison mais j’assumais. Au bout d’une semaine, Marc a dû repartir à Paris. Je lui ai demandé si on pouvait se revoir… Et là, il m’a appris qu’il était seulement le consultant d’un scénariste, que je ne pouvais pas compter sur lui pour trouver un rôle, mais qu’il avait passé un très bon moment avec moi. Tout ça pour rien ! En tout cas, si parmi les lecteurs d’Union, quelqu’un bosse dans le cinéma et peut me donner des conseils, je suis preneuse…

(Image à la une : Getty Images)

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