« On a fêté la fin des partiels »
14 avril 2019Jihane, 23 ans, étudiante, Lille.
Mon nom est Jihane, j’ai 23 ans, et je suis étudiante en droit à Lille. Ma meilleure amie Karine et moi, c’est pour la vie. On fait tout ensemble : cours, temps libre, on partage même certains petits copains et surtout, nos numéros d’interstron.ru ! Il y a peu, notre complicité s’est encore renforcée. Après les partiels, on a relâché la pression lors d’une énorme fête. Le lieu : l’immense colocation de nos copains Léo, Antoine et Maxime. Tous les potes de promo étaient là, Karine et moi, on était sur notre trente-et-un. Robe noire très moulante pour moi, la petite beurette bien en formes, minijupe rouge pour elle, la grande blonde tout en jambes.
Vers une heure du matin, un peu éméchées, on a joué à notre jeu préféré ; choisir nos cibles respectives de la soirée. « Allez, à 3, on dit un nom !, ai-je lancé. — 1, 2… 3 ! – Antoine !« , a-t-on crié en même temps. On a éclaté de rire. « On partage ? Toi d’abord et moi, ça sera pour un autre soir, ai-je demandé. — Ou alors, on partage… ce soir !« , a répondu Karine. Et pourquoi pas. On a repéré Antoine, il avait rejoint Maxime aux platines. Karine m’a entraînée sur la piste de danse. Elle s’est déhanchée en me regardant d’un air gourmand. Je l’ai prise par la taille. Sa poitrine s’est frottée contre la mienne, ses lèvres ont effleuré ma bouche. J’ai senti que je mouillais.
Karine a fait de petits signes à Antoine. « Vous vous amusez bien ?”, nous a-t-il lancé en s’approchant. « Oui, mais on voudrait aller dans la chambre, trop de bruit, ici. » La tête d’Antoine… Ce beau mec d’un mètre quatre-vingt, châtain aux yeux noisette, n’était pas au bout de ses surprises ! Quel bazar dans sa piaule… Mais on s’en foutait. Une fois la porte fermée, Antoine a demandé : « Vous vouliez me dire un truc ?” Karine m’a embrassée fougueusement, « Je connaissais votre réputation à la fac, mais ça dépasse mes espérances !« , a-t-il murmuré. Son sourire ravi, le regard aguicheur de Karine, la pénombre dans la chambre. Tout était parfait, Karine et moi, on s’est déshabillées mutuellement devant Antoine, qui s’est désapé à vitesse grand V.
Assis au bout du lit, Antoine a caressé sa queue devant nous. Longue et fine, elle était déjà au garde-à-vous. Sur le pieu, Karine a embrassé mon ventre, mes cuisses et enfin, ma chatte. C’était la première fois qu’elle me léchait. Elle connaissait mes goûts : petits coups de langue sur le clito, pendant que son index titillait mon vagin. Je couinais. « Tant que tu as la bouche ouverte, je vais en profiter« , a dit Antoine. Il s’est placé juste au-dessus de mon visage. Il a incliné sa queue pour qu’elle vienne se presser contre mes lèvres entrouvertes, pendant que les doigts de Karine entraient plus profondément en moi. « Tu aimes voir ta copine prendre ma bite dans la bouche, Karine ? » Elle a validé de la tête : « Oui, et j’aimerais encore plus que tu la bourres. » Antoine a alors glissé sa tige plus à fond dans ma gorge, en grognant d’excitation. Il me l’a enfoncée si profondément que j’ai dégluti.
Ma chatte jutait à fond, tandis que ma bouche recevait les coups de bite d’Antoine. Karine lui a lancé : « Elle est prête. » Il s’est placé devant mon trou. « Jihane, je vais te défoncer. Et comme ta copine s’est bien occupée de toi, tu vas lui rendre la pareille. » J’ai compris et de nouveau, j’ai ouvert la bouche. Karine a placé sa minette au-dessus de moi. Des gouttes de mouille gluante ont perlé sur mon visage, et ses lèvres parfaitement rasées ont épousé les miennes. Ne tenant plus, Antoine a planté son dard dans mon minou. Très vite, je n’ai plus su où donner de la tête : la queue d’Antoine qui me défonçait, Karine qui ondulait et réclamait ma langue. Notre complice a lancé : « Tu sais ce que je veux, Jihane ? Que tu me branles dans la bouche de Karine. » Sa phrase m’a fait jouir d’un coup et j’ai été vite rejointe par ma meilleure amie, qui se masturbait le clitoris sur ma langue bien tendue. Ruisselante de mouille, je me suis agenouillée devant Antoine et je l’ai branlé, Karine, la bouche grande ouverte, gémissait d’impatience. Un long jet brûlant est venu lui tapisser la figure. Moi, j’ai léché ses lèvres collées de sperme. Un délice.
Nous nous sommes endormis dans le lit d’Antoine, tous les trois tendrement enlacés. Karine et moi, une fois réveillées, nous sommes échappées au petit matin en riant comme deux gamines, plus complices que jamais.
(Photo à la une : Getty Images)
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Notre super plan à trois…
« Nous avions souvent parlé de faire un plan à trois avec un autre mec, et je savais qu’il était à son goût. Je lui ai soumis l’idée de l’inviter à se joindre à nous. Elle m’a répondu que non, mais j’ai très vite compris qu’elle n’osait pas dire oui. Je la connais ma chérie. » Michigan.
Trio humide
« Je vais vous raconter comment un après-midi avec mon mari, Dominique, nous avons découvert le triolisme. J’ai invité mon amie Martine à venir à la piscine avec nous. Martine est une femme gaie, libérée, bien dans son corps, avec une poitrine développée aux tétons saillants et aux jolies fesses. Elle attire les regards. » Anne.
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