Le cul de la crémière

La rédaction 12 octobre 2024

Martin, 51 ans du Gard aime la crème, le fromage et surtout le cul de la crémière. Il profite de l’absence de sa femme pour gouter au fruit défendu.

Une nouvelle fromagerie venait d’ouvrir dans mon village, tenue par une jeune femme absolument délicieuse, Oriane. Avec elle, j’ai pu partager une histoire de sexe amateur des plus mémorable.

Une fromagère sexy et une livraison à domicile.

Elle devait avoir autour de 35 ans, c’était une petite brune mince, mais avec un cul rebondi comme je les aime. Ses jeans lui faisaient toujours un fessier vertigineux, qui tendait le tissu du vêtement du fait de sa fermeté conquérante. La fromagère faisait un tabac, car tous les hommes du coin venaient dans son magasin pour acheter leur fromage et la mater au passage. Les femmes étaient jalouses, dont la mienne, qui avait bien vu que je me troublais au moment de régler nos achats. Et elle avait raison de s’en inquiéter, vu la tournure que prendrait la suite.

Je devais organiser un grand dîner d’une quarantaine de personnes chez nous et j’avais passé une très grosse commande de fromages. Oriane m’avait donc proposé de la livrer en personne à mon domicile. J’ai pris soin de lui donner rendez-vous quand ma femme serait absente… Elle est apparue sur le seuil de la porte, toute en rondeur et en sourire, ses cheveux bruns rassemblés en un chignon qui dévoilait son cou et sa nuque ravissante. Je lui ai proposé un café et elle m’a aidé à ranger les fromages dans le frigo de l’arrière-cuisine. Elle s’est retournée un peu rapidement et nous nous sommes presque heurtés l’un à l’autre. Elle s’est excusée et s’est rattrapée au dernier moment, mais trop tard, elle était tout contre moi, les yeux levés vers mon visage, car elle est plus petite que moi.

Elle a passé les mains autour de mon cou et m’a offert sa bouche en offrande. Elle avait autant envie de moi, que moi d’elle. J’ai craqué et je me suis jeté sur ces lèvres charnues dont j’avais déjà maintes fois rêvé. Le baiser s’est transformé en tripotage en règle, et je l’ai plaquée contre le mur pour ressentir ses formes au plus près sous la pression de mon propre corps. Ses seins s’écrasaient contre mon torse, et ma bite contre son bas-ventre. J’ai pris ses fesses dans mes mains. Enfin je pouvais toucher ce derrière convoité par toute la région !

Adultère dans la chambre conjugale.

Je l’ai emmenée, sacrilège ultime mais très excitant, dans la chambre conjugale, où nous nous sommes déshabillés tels des jeunes amants en pleine ébullition des premiers émois. Elle voulait être sur moi, je lui ai proposé de me chevaucher en me montrant son dos, façon polie de lui laisser entendre que je voulais la baiser tout en ayant une vue plongeante sur son beau et gros cul. J’ai pris des photos de ces deux pommes dodues au-dessus de sa fente où disparaissait mon sexe. Elle avait deux fossettes au creux des reins et la forme de ses fesses était parfaitement ronde, parfaitement galbée, je ne m’en remettais pas. La chute des reins, la joliesse de son dos jusqu’à la nuque sous le chignon : chaque détail de son corps confinait à la perfection. Moi, j’étais allongé sur le dos, elle s’agitait sur ma queue qui entrait en elle selon son propre rythme, et je n’avais plus qu’à admirer sa plastique qui changeait au gré de ses mouvements gracieux. J’étais au paradis, en somme.

J’ai zoomé avec mon téléphone pour faire un gros plan de ma queue dans sa chatte, et même cela, qui est souvent vulgaire, m’a semblé aussi admirable que le tableau d’un grand peintre. Tantôt elle se penchait en avant, tantôt elle se redressait et je pouvais écarter ses fesses, caresser sa raie et le bas de ses reins, ce qui lui donnait des frissons. J’ai fini par lui prendre l’anus avec un doigt et elle s’est mise à bondir sur mon sexe pour le prendre en même temps que ma phalange, bougeant le bassin de l’un à l’autre, se branlant littéralement de l’intérieur avec ma queue et ma main, si bien que je voyais ses deux orifices bouger et s’ouvrir sous mes percées. C’était trop beau, de voir son plaisir ainsi déchaîné. Après avoir goûté aux fesses de la crémière, je ne regarderai plus jamais un fromage de la même manière.

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