En grande pompe !

La rédaction 3 octobre 2024

Lors d’un séjour Sandrine, 28 ans prend un petit boulot et commence à laver des voitures. Un soir son patron lui demande de s’occuper de la sienne…

Cette histoire de sexe amateur se passe un été où j’étais en séjour linguistique aux États-Unis. Pour me faire un peu d’argent, j’avais pris un petit job de laveuse de voiture dans une station-service à côté de ma résidence étudiante. J’y lavais des bagnoles avec un jet d’eau et une raclette, affublée d’une combinaison waterproof dans laquelle j’avais chaud, rien de très sexy. Je m’entendais très bien avec le gérant, un homme marié, qui s’est mis à me faire de l’œil au fil des jours. Ted était américain, 47 ans, visage un peu buriné par l’âge mais tout à fait séduisant, avec un petit côté Clint Eastwood. Ma foi, je n’y étais pas insensible. De surcroît je m’ennuyais un peu, et j’ai fini par me dire que le temps passerait plus vite si j’avais un amant avec lequel m’amuser pendant mes heures de travail !

Laver la voiture du patron

Un soir, nous étions seuls dans la station-service, en train de tout ranger pour fermer. « Tu ne voudrais pas en profiter pour laver ma voiture, ma belle ? Je t’offrirai une prime. » J’ai rigolé. « Ok, mais pas en combi, car elle tient beaucoup trop chaud. » « À ta guise… » Il s’est marré. « Tu peux même le faire en maillot de bain. » Par esprit de jeu ou par provocation, j’ai dit « chiche ? ». Je me suis déshabillée pour me retrouver en sous-vêtements. J’ai pris le seau, la grosse éponge que j’ai fait mousser et je me suis mise à astiquer sa caisse en petite tenue. Les coulées de mousse tombaient sur mon corps. Je suis montée sur le toit du bolide, à la façon d’un vrai numéro de strip-tease à l’américaine, version car-wash. J’étais en string, à quatre pattes sur son engin, en train de m’amuser à titiller cet homme marié – pour voir enfin s’il avait ou non des principes.

Il a sifflé d’admiration : « Waouh, je n’en attendais pas tant ! On va pouvoir sortir un calendrier du garage. » Et il m’a prise en photo en train d’astiquer sa voiture et de me trémousser dessus. Le mec ne devait pas avoir eu beaucoup d’employées qui se soient permises de faire un truc pareil. Il avait fallu une petite Française pour venir foutre la pagaille dans son business ! Comme je le tenais par les sentiments, j’ai lâché l’éponge et je suis descendue sur le capot pour continuer mon petit show sexy et lui montrer mon cul d’un peu plus près. J’étais à genoux, à me caresser la fente avec les mains par-derrière, écartant mon cul et ma vulve pour qu’il puisse se rincer l’œil. Je n’avais plus aucun filtre, très amusée de venir dévergonder un Américain plutôt conservateur et bon père de famille. C’était grisant.

Sur la banquette arrière

Et puis à force de me toucher, je me suis mise à vraiment mouiller et à me faire moi-même un sacré effet. J’avais envie qu’il me prenne désormais. Fini de niaiser, je voulais me taper le patron, une bonne fois pour toutes ! Il s’est approché, a ouvert la portière de sa caisse, m’a attrapée dans ses bras et m’a déposée sur le siège passager. « Tu cherches les ennuis, toi… » C’était exactement l’effet que je recherchais, le rendre barjo au point d’oublier tous ses principes. Il a tourné la clé de contact pour mettre la radio et baisser les vitres de la bagnole afin de laisser entrer la fraîcheur du soir. Nous avons écouté la musique en nous caressant l’un l’autre, pour faire monter encore la tension d’un cran supplémentaire. Puis, comme dans un film américain, je l’ai sucé sur le siège pilote. Il avait bon goût et il était particulièrement vaillant sous mes assauts. Il a caressé mes cheveux lentement avant de m’entraîner vers la banquette arrière. C’était un peu l’inverse de la scène de cul dans Titanic car il faisait très chaud au point de nous faire suffoquer.

Malgré mon petit show mouillé avec l’éponge et l’eau, j’avais déjà séché. Il a versé un peu d’eau en bouteille sur mon corps pour me rafraîchir, puis il s’est employé à la lécher avec sa langue. Il a bu cette eau à même mon corps comme un chat assoiffé. C’était vraiment sexy, comme démarche. J’ai trouvé ça tendre et inventif. Quand il a eu léché toute l’eau, je l’ai supplié de me baiser, comme on dit dans les films : « Fuck me. » Cette phrase est irrésistible. Il m’a bien fuckée sur la banquette arrière, ça je vous confirme ! Je me suis mise à califourchon sur sa bite et j’ai donné des grands coups reins à la façon d’une vraie rodéo-girl du sexe. Sa vigueur en moi était fort satisfaisante. Je me suis aidée à venir avec les mains en me caressant le clito pendant que je le baisais en amazone en basculant le bassin comme une furieuse. J’ai atteint un niveau de plaisir très fort, dans une montée très puissante et très rapide, comme une voiture de course. Ça valait le coup d’être restée faire des heures supp’ !

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