L’envie d’Adèle !
15 juin 2024Julien, 42 ans, Poitiers, découvre les joies du covoiturage en baisant avec la fille d’à côté durant le voyage.
Mon train de retour de vacances avait été annulé en raison de grèves. Je m’étais donc résigné à prendre un covoiturage pour rentrer chez moi, à Poitiers. Je ne l’ai pas regretté ! Je me suis retrouvé à bord d’un SUV très confortable et en charmante compagnie. La voiture était conduite par Armand, un quadragénaire comme moi, ingénieur, tout à fait sympathique. Sur la banquette arrière, à ma gauche, il y avait une covoitureuse dont le charme m’a tout de suite fait de l’effet, Adèle. Je ne m’y attendais pas et elle n’était même pas mon genre de femme. Rousse, look de bourgeoise avec lunettes ovales très sérieuses, un cardigan bleu pâle. Bref, une apparence plutôt austère, à dire vrai ! Mais sous la glace, le feu, dit-on… Voici mon histoire de sexe.
J’ai engagé la conversation avec le chauffeur et ma co-voyageuse, qui a paru à son tour sensible à mes charmes à mesure que je lui témoignais de l’intérêt. Elle était institutrice et écrivait des livres à côté. Après une heure de trajet à parler à bâtons rompus, elle me confia qu’elle écrivait souvent des romans érotiques pour arrondir ses fins de mois. Elle s’y appliquait avec rigueur et ardeur, en convoquant ses propres souvenirs sexuels… Poussée par nos questions, cette femme qui semblait si classique au premier abord s’est mise à nous révéler qu’en fait, elle s’ennuyait ferme dans sa vie de célibataire et qu’elle rêvait de plans à trois torrides avec de parfaits inconnus… L’un de ses romans racontait cela et elle s’est mise à nous en détailler toutes les péripéties. Un silence chargé de tension sexuelle s’est installé dans l’habitacle. En l’écoutant, je me suis mis à bander et à voir le visage du conducteur dans le rétro, j’en ai déduit que lui aussi. Notre grande proximité, du fait du voyage en voiture, ajoutée à ces confessions contribuaient à notre trouble. Nous nous sommes retrouvés pris dans des bouchons au moment où Adèle nous décrivait par le menu toutes les frasques sexuelles de son héroïne. Je n’en pouvais
plus…
Une grosse cochonne assoiffée de sexe !
Adèle s’est éventé le visage avec la main. J’ai baissé la vitre car nous suffoquions. « Moi, si j’étais ton mec, je ne te laisserais pas t’ennuyer », ai-je osé. Elle m’a souri et a détaché sa ceinture pour se rapprocher de moi sur la banquette. « Si seulement… » Elle était si proche que je pouvais sentir son odeur, qui m’attirait comme tout le reste de sa personne. « C’est peut-être l’occasion de ne plus vivre mes fantasmes qu’à travers mes romans… » Il fallait une sacrée dose de courage pour tenter ce genre de rapprochement ! Elle m’a enlacée et je l’ai laissée m’embrasser à pleine bouche. Subitement, ce corps que j’avais convoité se lovait contre moi, sa bouche cherchant la mienne, nos souffles s’accélérant au contact de l’autre. Elle a replié une jambe sur la banquette pour me donner accès à son entrejambe. Sous sa jupe, une culotte de coton blanc. Sous la culotte, sa vulve palpitante et suintant le désir. J’ai passé mes doigts entre la peau et le tissu pour la caresser délicatement. J’ai accentué mon mouvement en sentant qu’elle haletait et coulait sur ma main. Le conducteur, poussé par l’ambiance devenue brusquement très chaude, a tendu la main vers elle depuis son siège. Sa main est venue caresser la chatte d’Adèle en même temps que la mienne et le ballet de nos doigts dans sa culotte lui a soutiré des gémissements de plus en plus animaux. Armand passait sa main contre ses fesses et son entrejambe offerte, tout en tenant son volant de l’autre. Je craignais que les autres automobilistes ne nous matent, mais au fond, cela m’excitait au moins tout autant que ça m’angoissait. Quand le bouchon s’est fluidifié, Armand a pris une sortie d’autoroute. Il avait vu qu’un hôtel se trouvait à proximité sur l’application de voyage et a proposé d’y faire une halte. La tension sexuelle était telle qu’il nous fallait la décharger avant de reprendre la route. Adèle semblait plus que d’accord… Nous nous sommes laissés porter par la folie, le coup de sang de cet instant.
Une fois la chambre prise, nous nous sommes retrouvés autour du lit et la belle n’a pas laissé le temps à la moindre gêne de s’installer car elle s’est déshabillée pour nous révéler son corps à la peau blanche, ses seins mignons comme deux pommes à croquer, sa chatte prête à nous avaler. Elle s’est assise dans un fauteuil et m’a demandé de m’approcher pour qu’elle puisse me sucer. Elle a pris ma queue et n’en a fait qu’une bouchée, tandis que Armand, plutôt voyeur, a entrepris d’immortaliser ces moments. Elle était à poil, mais avait gardé ses lunettes, ce qui avait le don de m’exciter encore plus. J’étais désormais nu moi aussi, et nos deux corps se sont unis sur le lit aux draps blancs. Adèle s’est allongée sur le dos pour que je la prenne dans un bon vieux missionnaire, qui m’a semblé un sommet de raffinement érotique tant nous étions excités. Armand a photographié notre jouissance, aussi rapide que puissante, et il a trouvé son propre plaisir dans cette observation participante… Quand nous sommes remontés en voiture, Adèle et moi avons sombré dans un sommeil profond. En nous quittant à l’arrivée, nous nous sommes promis de revoyager ensemble à l’occasion.
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