Quel jus !

Avant, le sexe ne m’intéressait pas du tout ! Je ne comprenais même pas pourquoi ça fascinait autant de gens. Je n’étais pas prude pour autant, je n’ai jamais eu de problème à m’exhiber, à écouter mes amis me parler de leurs aventures sexuelles ou à lire des articles web dessus. Mais, ça ne me faisait ni chaud, ni froid.

Et puis un jour, au gré d’une recherche sur le web, je suis tombée sur un porno qui a mis tous mes sens en éveil : celui d’une jeune fille qui se faisait éjaculer à la figure. Ça peut paraître bizarre, mais après avoir visionné la vidéo, je me suis mise à me masturber presque tous les jours en pensant au sperme, à des hommes cagoulés qui m’éjaculeraient dessus, à mes doigts qui s’emmêleraient dans leur fluide et qui se colleraient à ma fente pour ensuite remonter jusque ma bouche… tout ça commençait vraiment à me chauffer. Je vous raconte mon histoire porno.

À l’époque, j’étais en couple avec un mec, à distance, un gars sympa que j’avais rencontré lors d’une soirée chez des amis et avec qui j’avais une vraie complicité. Mais côté cul, j’ai vite compris que ce ne serait pas lui qui répondrait à tous mes désirs. J’ai donc cherché rapidement un plan cul pour réaliser mes fantasmes. Je ne sais pas pourquoi, je sentais qu’il y avait urgence à passer à l’acte, j’étais comme une camée.

Rien n’est très difficile au Havre pour trouver ce genre de profil. Je me suis connectée sur une application de rencontreS et le soir même, j’avais un mec qui m’invitait chez lui, du côté de Saint-Vincent, près de l’église. Bien-sûr, j’ai un peu hésité avant de me rendre chez un total inconnu, mais le risque, le danger, m’excitait un peu aussi. J’ai annoncé à mon copain que je dormais chez mes parents le soir en question, que je ne pourrais certainement pas l’appeler avant de dormir, et je suis allée chez ce type, Léo, un mec de 35 ans qui vivait dans un super appart.

Le type n’était pas aussi canon que mon copain, mais il a su très vite me mettre à l’aise, et a planté directement le cadre « c’est pour du cul, rien que du cul et pas de sentiment ». Je lui ai parlé de mes fantasmes de sperme, de l’éjaculation faciale. Quelque part, ça me rassurait de savoir qu’il n’avait aucun impact dans ma vie, je pouvais me livrer assez facilement, sans aucun tabou. Il ne m’a pas jugée et m’a dit qu’il « produisait beaucoup de semence et que ses couilles étaient bien juteuses ». Je voyais bien qu’il testait ma réaction, et tout de suite, je suis rentrée dans son délire. Il m’a demandé de le “traire” pour que tout le sperme sorte, et, c’est difficile à avouer, mais la façon avec laquelle il me parlait, crue, directe, m’excitait à mort et me donnait envie d’obéir à 100%.

Je me suis donc mise à le sucer en m’abandonnant totalement et quelques secondes à peine après, je me suis retrouvée avec le visage totalement barbouillé de son sperme. « Va t’essuyer dans la salle de bain, j’ai envie de t’enculer pour mon second tir. T’as déjà fait ? » Je lui ai avoué que non et il m’a dit, dans un sourire « Eh bien, on va tester ! Moi c’est mon kiffe ! » Je pense qu’il faisait exprès de me parler de façon odieuse, mais plus il en rajoutait, plus ma libido s’éveillait et j’étais prête à assouvir le moindre de ses désirs. Pas juste pour lui faire plaisir, parce que sa satisfaction sexuelle me faisait du bien, à moi.

Je me suis donc aussi fait enculer, et c’est passé comme une lettre à la poste. Il y est allé assez doucement, me prouvant que derrière ses airs macho, il faisait réellement attention à moi. Je me suis endormie chez lui et suis rentrée chez moi, au petit matin. Le soir même je parlais à mon petit copain au téléphone comme si de rien n’était. Il m’a demandé comment allaient mes parents et je lui ai répondu qu’ils avaient quelques problèmes de santé et que je n’étais pas à l’abri d’y retourner prochainement.

Si Léo n’avait pas prévu de me revoir, je me suis dit que d’autres mecs de l’application pourraient peut-être se dévouer pour éveiller à nouveau ma libido…

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