Cunnilingus dans le chalet !

La rédaction 4 avril 2020

Claire revient d’une longue journée de ski. Elle a fait une belle rencontre un peu plus tôt au bar de la station. Jean-Do, un Suisse, doit la retrouver dans son chalet pour faire monter la température après le grand froid !

cunnilingus dans le chalet

C’était la première fois que j’osais draguer un mec, certainement l’air de la montagne qui m’a fait tourner la tête. J’avais donné rendez-vous à Jean-Do, un très beau Genevois que j’avais repéré sur une piste noire, la dévalant comme un dieu. Comme il s’est assis quelques heures plus tard près de ma table, dans le bar huppé de la station, table que je partageais alors avec mes copines, j’ai sauté sur l’occasion pour faire mon petit numéro de charme.

Et ça a marché ! Les copines, en rigolant, m’ont laissé le chalet pour deux heures et j’étais impatiente de le recevoir le soir même. J’ai enfilé rapidement ma petite culotte fendue noire transparente, je l’avais emportée dans mes bagages au cas où. Et un petit haut sexy. Le petit haut n’a pas fait long feu.

Dès que Jean-Do est arrivé il s’est jeté sur moi et m’a mise à nue. Il savait très bien pourquoi je m’étais empressée de lui donner mon adresse et il avait certainement compris à mes regards lubriques mon envie insatiable de me faire prendre. Pas le temps de visiter le chalet, on est passé au lit directement. En gentleman, il a d’abord caressé ma petite fente avec ses doigts, puis avec sa langue. L’homme était habile, son torse musclé et sa belle gueule lui avaient certainement valu de connaître un nombre considérable de conquêtes.

Cela m’allait, j’avais besoin d’un virtuose du cul avec de l’expérience sur le CV pour me faire décoller en moins de deux heures. Sa langue s’agitait de plus en plus vite sur mon petit bouton dressé et je tenais sa tête fermement entre mes mains pour le guider au mieux vers mon plaisir. Il suivait mes instructions et improvisait parfois quelques passages délicieusement. Mes jambes se tendaient, mon rythme cardiaque s’accélérait, et tout d’un coup, un orgasme fulgurant m’a emportée comme par surprise.

J’ai tremblé comme une feuille morte en pleine tempête et je crois bien que quelques gouttes sont allées se perdre sur le bout de son nez. Je peux être fontaine quand la situation m’excite vraiment. Heureusement, il ne m’en a pas tenu rigueur. ll a ensuite relevé mes jambes, et, en tenant sa bite fièrement dressée à  la main, me l’a enfoncée profondément.

Il caressait mon corps très délicatement en fixant mon visage, d’un air très tendre. J’avais l’impression d’être une petite poupée à sa merci et j’en étais ravie. Il m’a ensuite retournée sur le ventre et m’a positionnée pour que je me cambre bien. Il a fait glisser sa queue près de l’entrée de ma petite fente et m’a à nouveau pénétrée.

Il s’activait derrière moi très vite, je sentais sa taille grossir, signe d’une éjaculation imminente. Moi qui pensais que les Suisses étaient plutôt lents, voilà de quoi me donner tort. Heureusement, il a eu la délicatesse de se retirer avant de jouir et il s’est répandu sans honte sur les draps. En m’endormant avant une nouvelle journée de ski, j’ai respiré son odeur pour me donner un peu de courage.

Qui sait quelle surprise m’attendra cette fois-ci en bas des pistes enneigées ?

Si vous avez aimé cette histoire, vous aimerez aussi…

Des livres et moi

« Je suis remonté le long de son ventre moelleux, puis j’ai dégagé ses seins lourds de sa robe pour les téter. Quel délice que ses mamelles : ma bouche ne suffisait pas à les engloutir ! Les mains de A. ont alors cherché mon sexe dans mon jean. Il a jailli, prêt à accomplir son devoir. La belle a passé une jambe autour de ma taille et m’a plaqué contre elle. D’un coup de rein, je me suis hissé à l’orée de sa vulve. Puis j’ai pressé doucement, me laissant aspirer dans la grotte sacrée… » Marc, 22 ans.

Une page d’amour

« J’ai ensuite alterné avec mes doigts, allant jusqu’à en introduire trois à la fois au fond de ma Juliette. Le bruit mouillé qui en sortait était la musique la plus excitante que j’ai jamais entendue… J’ai écarté mes doigts, sentant les bords du vagin de Juliette se distendre. Je m’imaginais à sa place et imitais les gestes dont j’aurais eu envie, afin de provoquer son orgasme. J’y étais presque, je le sentais, alors j’ai léché de plus belle son clito tout en continuant de fourrager en elle. »Agathe, 26 ans.

Étiquette:
À propos de l’auteur

La rédaction


Réagir à cet article

Votre adresse de messagerie ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *

interstron.ru