Dame zizi

La rédaction 12 octobre 2019

Liliane, 57 ans

Dame zizi histoire de sexe

Je m’appelle Liliane, j’ai 57 ans et je travaille comme dame pipi dans un square à Besançon. Malgré mon âge et mon travail, j’aime rester sexy, je ne manque pas de coquetterie. Disons que je me tiens toujours « prête » parce que j’en vois passer des drôles, dans mes toilettes publiques !

Un jour, un mec a débarqué avec les deux bras dans le plâtre. Je me suis dit : « le pauvre, il n’y arrivera jamais ! » Mais il n’osait pas me demander. Je me suis lancée : « Vous avez besoin d’aide ?« . Il a seulement hoché la tête en bredouillant un truc inaudible, un peu gêné. Le galbe de ma jolie poitrine semblait l’impressionner. J’ai jeté un coup d’oeil par la fenêtre, on ne voyait pas grand monde dans le parc. Je n’ai pas hésité une seconde. J’ai mis le panneau « Partie pour déjeuner, retour dans 15 minutes« , j’ai tiré le loquet et j’ai empoigné mon bel inconnu par son polo pour l’entraîner dans une cabine. Le deal venait de changer entre nous, et il n’avait pas l’air trop réticent… Quand j’ai fourré la main dans son pantalon, je suis tombée sur une belle chose déjà toute gonflée : sa bite approuvait. Elle raidissait au fur et à mesure que je pressais le gland dans ma paume. Il soupirait d’aise, le cochon.

J’ai relevé son maillot et j’ai embrassé son beau torse à peine assez musclé, encore un peu juvénile. A présent, je le branlais carrément, et il soufflait fort dans mes cheveux tandis que je dirigeais mes baisers vers son ventre, son bassin… La belle agonie ! J’ai donné une léchouille affectueuse sur le dos de son gland. Puis, j’ai entièrement avalé sa bite. Je suis restée comme ça un instant, sans bouger. Il ne respirait même plus. J’ai recraché l’engin en finissant par un coup de langue appuyé. J’avais tout bavé dessus. Je le sentais déjà tressauter, je ne voulais pas non plus le gâcher. Je l’ai assis sur la cuvette pour en profiter un peu avant qu’il n’explose. Je n’ai pas pris la peine de relever ma jupe, j’ai simplement fait glisser ma culotte en dentelle pour dégager ma chatte, humide comme un mois d’octobre, chaude comme un feu de bois. « Viens là mon larron, je vais te faire passer la douleur ! » Le plaisir a submergé tout mon corps lorsque je me suis plantée sur son Excalibur. J’y suis allée doucement en écartant les cuisses d’une poigne ferme, il remontait dans mon intimité autant qu’il le pouvait avec ses deux bras abîmés, le pauvre gars ! « Te bile pas l’artiste, je vais tout te donner… » Sur quoi, il m’a fait : « Mais Madame, c’est que je vous veux tout entière. Vous me plaisez beaucoup !« .

J’avais branché le décodeur : il lui fallait mes seins sur la tronche et mon petit trou au bout de la queue… Je me suis dégagée, sa bite avait encore gonflé depuis que je l’avais prise en bouche. Je me suis sentie vide. Cela m’a donné encore plus d’entrain ! J’ai tombé mon chemisier comme un maillot de corps et j’ai coincé son visage entre mes deux gros nichons, au coeur du soutien-gorge, là où ça sent le plus le parfum. Il s’agit d’un luxe que je me permets encore, j’asperge ma poitrine d’eau de toilette de marque. Il me dévorait, j’ai ouvert mes bonnes fesses, saisi le manche et ses baisers se sont arrêtés un instant, le temps qu’il comprenne qu’il allait m’enculer. Dès qu’il a commencé à entrer, il m’a lapé comme un chiot qui découvre la vie. Je l’ai chevauché proprement. Je me laissais aller pour cet homme qui me faisait jouir par le cul. Il était à moi, littéralement, il ne pouvait rien faire d’autre que de me baiser. Je me suis emportée… Et il a joui dans de grands jets de sperme chauds qui ont coulé le long de ma lune d’amour. Il a voulu m’embrasser, je lui ai dit : « Non Coco, je ne vais pas refaire mon maquillage, ahah ! » Il était content quand même. Je l’ai reculotté, et nous avons chacun repris nos vies…

Depuis, c’est toujours la même chose, quand il n’y a personne, tous les mecs qui entrent, soit je les suce, soit c’est pire. Une fois, j’ai même surpris un gros black en train de choper une superbe petite. J’étais jalouse, alors j’ai joué l’offusquée et j’ai mis la nana dehors. Le garçon par contre, je me le suis gardé, il était déjà tout prêt… Je n’allais pas gâcher ça. Je lui ai exposé l’affaire : « C’est comme tu préfères, j’appelle les flics ou tu me fais le cul ? » Il était bien embêté, le jeune homme. J’ai baissé le visage vers sa braguette pour l’inspirer. Vous connaissez la suite…

(Image à la une : Getty Images)

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