Découverte du libertinage

La rédaction 10 avril 2020

Gérard, 60 ans et Stéphanie, 52 ans.

Bonjour les interstron.ruistes, voici une lettre écrite à quatre mains : celles de Gérard et Stéphanie, tout nouveaux dans le monde merveilleux du libertinage. Notre première fois à plusieurs a eu lieu à l’automne dernier et a changé notre vie de couple !

Nous nous présentons : Gérard, 60 ans, jeune retraité, cheveux gris mais toujours en pleine forme. Et Stéphanie, 52 ans, épicurienne toute en rondeurs, à la longue crinière rousse. Nous nous sommes rencontrés il y a 10 ans et n’imaginions pas trouver l’amour après nos divorces respectifs. Et pourtant… Entre nous, c’est la passion ! Nous l’entretenons en pratiquant des activités sympathiques, comme ce week-end gastronomique dans le Bordelais avec un couple d’amis.

Eux, ce sont Alain et Marie, que nous avons rencontrés dans notre club de Scrabble de Limoges. Alain à
la petite soixantaine, grand et charpenté, toujours partant pour de nouvelles aventures, là où Marie, une blonde aussi charmante que menue, est plus réservée. Ce week-end, elle nous a prouvé qu’elle était finalement plus délurée que ce que nous pensions. Après notre arrivée à l’hôtel, le vendredi soir, nous avons décidé de nous faire un bon resto. Le vin était excellent et, à la deuxième bouteille, Alain a commencé à plaisanter… et à flirter franchement avec Stéphanie, tout ça sous le regard coquin de son épouse Marie. De retour dans notre chambre, nous en avons bien sûr reparlé : il était clair que le couple avait des vues sur nous. De quoi nous flatter… et nous exciter, aussi.

Cette nuit-là, nous avons fait l’amour intensément. Le lendemain, nous sommes partis tous les quatre dans un domaine viticole. Après avoir fait le tour de la propriété avec Aline, la jeune sommelière, nous avons voulu déguster quelques produits. Le regard d’Alain et Marie sur la brune gironde était sans équivoque : la tension commençait à monter. Aline était aussi d’humeur badine, complimentant le dynamisme de notre petit groupe et ondulant à l’envie dans sa jupe de tailleur moulante. Arrivée dans le grand chai humide et à peine éclairé, la belle nous a sorti de belles bouteilles – du vin, mais aussi une eau de vie « qu’on ne sort que pour les grandes occasions ».

La dégustation a fait augmenter la chaleur d’un cran, Aline nous régalant de ses mimiques à chaque fois qu’elle recrachait le précieux liquide, la bouche en cœur. Alain a fini par lui dire d’un ton badin : « Ma chère, vous avez là un parfait outil pour les plaisirs de la table ! » Ce à quoi la sommelière a répondu de but en blanc « Mais pas seulement, Monsieur ». Notre couple en est resté saisi, mais Alain et Marie, eux, ont compris qu’ils avaient affaire à une personne du même monde qu’eux. Marie s’est approchée de son époux, l’a regardé droit dans les yeux puis lui a plaqué un baiser humide sur les lèvres. Quand elle s’est tournée vers Aline, la jeune femme s’est approchée à son tour et a embrassé notre amie avec la plus grande sensualité…

La suite nous a enchanté : Marie a ouvert le pantalon d’Alain et en a sorti une érection de belle taille, qu’Aline s’est empressée de goûter. À genoux et guidée par les mains expertes de notre amie, elle lui a administré une fellation des plus enthousiasmantes… Qui nous a convaincu de participer aussi ! Quelques minutes plus tard, la gironde sommelière avaient deux belles grappes à disposition, et deux épouses pour diriger ses léchouilles et avalages en profondeur. Les gémissements de plaisir des mâles se mêlaient si bien aux soupirs d’excitation des femelles, que le point suprême a fini par s’annoncer imminent.

Les épouses ont d’abord entouré Aline, la plaquant vivement contre Alain. Et cette fois, pas question de recracher : elle a reçu la semence puis la gardée en bouche, avant que ces dames ne reproduisent l’opération. Quelle vision extraordinaire que de voir sa bouche gourmande, déjà remplie de sperme, avaler un nouveau sexe turgescent ! Là encore, elle a recueilli le liquide telle une professionnelle. Puis, toujours à genoux, elle a dardé ses prunelles sombres sur notre groupe, le gosier grand ouvert. Nous avons vu le nectar disparaître lorsqu’elle a penché la tête en arrière, s’en régalant comme d’un cru gouleyant.

La fin du séjour bordelais a été brûlante, Alain et Marie nous rejoignant par deux fois dans notre chambre d’hôtel. Depuis, nous fréquentons des établissements libertins, et avons même en tête d’organiser des soirées à Limoges.

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La rédaction


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