Voyage libertin
3 avril 2020Jessica, 35 ans.
Mon mec et moi, on est de vrais latins : on parle tout le temps, très fort et en bougeant les mains. Même au lit, je suis une belle beugleuse et mon Fabio se donne aussi.
Depuis quelques mois, on est sur un trip échangisme. Pas pour de vrai, mais on se raconte au lit des situations qui nous excitent. Mon kif : expliquer à Fabio qu’une belle jeune fille s’occupe de moi pendant qu’il nous mate. Ça le rend tout dur, alors j’en rajoute sur les détails : la mouille de la fille dans ma bouche, ma foufoune toute rosie de ses caresses, nos tétons qui se frottent… J’en ai tellement fait des caisses que la jolie voisine d’à côté, Louisa, en a aussi profité.
Fabio et moi, on l’a croisée un soir sur le palier. On a papoté et elle nous a expliqué qu’elle venait de quitter son mec, qu’on avait vu quelques fois. Avec un air un peu tristoune, elle a lâché : « Ça ne risque pas de vous arriver, à vous ! Vous avez l’air d’être un couple trop chaud pour ça… » On a ricané, un peu gênés, puis on lui a demandé de quoi elle parlait. C’est là qu’elle nous a avoué qu’elle entendait nos délires à travers le mur qui sépare nos apparts.
Bizarrement, je ne me suis pas sentie mal. Je suis fière de ma sexualité et puis Louisa est quasi une copine. Pour lui remonter le moral, je lui ai proposé de venir chez nous boire un verre, histoire de lui raconter comment avoir une relation de feu. Elle a rigolé et dit OK.
L’atmosphère est vite devenue festive dans le salon. On avait sorti des shots de téquila et on a joué à un jeu à boire, en parlant beaucoup de cul. Louisa a remis l’histoire des parois trop fines sur le tapis. Elle m’a balancé : « Toi Jessica, je sais ton secret. Tu rêves de baiser avec une fille devant Fabio. » J’ai bu un shot de plus et j’ai dit : « Oui. Ça te tente ? » Il y a eu un silence, puis on a tous éclaté de rire. Sans me dégonfler, je me suis doucement penchée vers ma voisine et je l’ai embrassée sur les lèvres.
Nous gloussions un peu, puis le baiser est devenu de plus en plus intense. J’ai pris la belle par la main et je l’ai emmenée dans la chambre, Fabio sur mes talons. Nous nous sommes déshabillées toutes les deux. Timidement au début. Et puis Louisa a libéré ses bons gros seins de son soutif et j’ai perdu la tête.
Je l’ai basculée sur le lit et j’ai commencé à lui bouffer les loches comme une goulue. Fabio, dans un coin de la pièce, avait les yeux hors de la tête. Je suis descendue le long du ventre de Louisa. Elle avait une odeur de pain d’épice très agréable… L’intérieur de ses cuisses, surtout, sentait fort. J’ai plongé la tête dedans, la léchant au travers de sa culotte. Elle était trempée.
Louisa a commencé à se tortiller, demandant d’une petite voix que je la caresse. Je lui ai dit : « Parle plus fort, je ne t’entends pas. » Alors elle s’est lâchée, jusqu’à oser crier qu’elle voulait que je luis mette des doigts dans la chatte. J’ai obéi à cet ordre très excitant, écartant la petite culotte mouillée et introduisant doucement mon index en elle.
C’était mou et chaud à l’intérieur. Du bout des lèvres, j’ai commencé à titiller le clito de la douce, histoire de voir le goût qu’elle avait. Salé et pas très différent de ma mouille à moi… Alors j’ai plongé à nouveau, remplaçant mon doigt par ma langue.
Fabio était maintenant à poil et se branlait en nous regardant. Vu qu’il avait mon cul pile en face, je me suis cambrée encore plus. J’imaginais comme ça devait lui plaire de me voir à quatre pattes comme une petite chienne, à bouffer le frifri de notre belle voisine…
Louisa réagissait si bien à mes caresses que j’ai eu envie de ressentir moi aussi ce plaisir lesbien. Je me suis allongée près d’elle et j’ai guidé ses mains sur moi. J’avais tellement envie d’elle que ma chatte brûlait. La belle m’a surprise : à peine avait-elle touché mon sexe qu’elle s’est redressée, puis s’est placée en ciseau entre mes jambes. « J’ai envie de sentir ta chatte contre la mienne », a-t-elle lancé. Ses paroles m’ont envoyée sur la lune…
Nous avons ondulé l’une contre l’autre pendant de longues minutes, miaulant de plaisir en faisant s’emboîter nos lèvres et frotter nos clitoris.
Fabio s’est approché doucement et s’est mis à tirer plus fort sur son chibre, en grognant sourdement. Je l’ai regardé et j’ai ouvert la bouche. Mon amoureux a glissé son sexe entre mes lèvres, le regard planté sur nos minettes qui faisaient un bruit mouillé en frottant de plus en plus fort. Quand je l’ai senti prêt à venir, je lui ai dit : « Finis-toi sur nous, mon amour. » Louisa a gémi en voyant Fabio se mettre juste au-dessus de nos entrejambes…
Mon mâle grognait si fort maintenant que tout l’immeuble devait l’entendre. J’ai accéléré le rythme entre les cuisses de Louisa. Tous les trois, on s’est mis à beugler à l’unisson, fous de plaisir. C’est là que Fabio a balancé sa pluie de foutre sur nous, ses gouttes déclenchant un éclair orgasmique en tombant sur nos chattes.
Nous avons dormi tous les trois enroulés dans les draps. Depuis, Louisa est revenue à la maison et a complètement oublié son chagrin.
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Ma première expérience libertine
« Moi allongée sur le lit, en train de sucer l’un, pendant que l’autre me fouille l’entrejambe avec sa langue. Je suis sur un nuage et je n’ai qu’une envie : leur donner autant de plaisir que j’en reçois. Je veux leur offrir chaque centimètre carré de mon corps. Je passe par de nombreuses positions pendant plusieurs heures… à tour de rôle, ils m’attrapent. J’ai toujours une queue enfoncée dans ma chatoune ou dans mon cul qui me lime à la perfection et de quoi satisfaire ma bouche. » Tania, 42 ans.
« La partie de baise était beaucoup plus intense, beaucoup plus intime aussi. J’avais l’impression de redécouvrir sa bite alors que je la connaissais par cœur ! Elle me semblait plus pénétrante, plus grosse, plus « présente ». Je n’avais jamais remarqué avant ce soir à quel point il avait un regard de dingue, évidemment avec sa gueule d’amour il ne passait pas inaperçu. Ses yeux me faisaient chavirer. Je lui ai même montré un de mes sextoys préféré et il a joué avec toute la nuit. » Marina, 29 ans.