Étreinte en musique
13 janvier 2021Abdel, ingé son, a enfin réussi à mettre la bombe du quartier dans son lit pour une partie de jambes en l’air sensuelle et intense.
Ça y’est, j’ai couché avec Marwa! Une bombe. La bombe ! Elle savait qu’elle pouvait mettre tous les gars du quartier à ses pieds, elle se pavanait dans ses pantalons moulants avec ses copines, elle savait qu’elle était la reine, indétrônable, toute puissante. Voici mon histoire érotique avec elle. Dès que je l’ai vue, j’ai su que je la voulais. Que mon corps entier la désirait. Et à partir du moment où j’ai posé les yeux sur elle, j’étais devenu son esclave consentant. Alors j’ai bossé dur, j’ai sympathisé avec ses potes, je leur ai filé des plans pour aller des concerts (je suis ingé son, j’ai des places assez facilement), des albums gratos, avec l’intention secrète que ça arrive aux oreilles de Marwa. Et je crois bien que ça a marché ! Quand elle m’a croisé un jour dans le parc, alors que je promenais mon chien, elle m’a demandé comment je faisais pour obtenir autant de places gratuitement, je lui ai dit que j’étais un gros producteur de rap, ça l’a fait rire.
Je lui ai finalement avoué que j’étais ingé son et que je touchais un peu au synthé, que je faisais quelques compos – et je crois bien que le mélange artiste-rappeur un peu sensible a fait mouche. Je l’ai invité chez moi pour écouter mes arrangements, et elle a accepté un peu intriguée, je tremblais intérieurement, mais je n’ai rien laissé paraître. Je lui ai fait écouter mes sons, elle m’a complimenté, je ne sais pas si c’était sincère, mais j’étais fier comme un pou. Et puis le feeling est super bien passé, on avait le même humour, elle s’est lâchée un peu. Elle m’a parlé de ses potes, de la religion, de ses parents, de son taf d’esthéticienne, des clients relou. J’écoutais attentivement, j’ai toujours su faire ça avec les nanas. Et puis, quand j’ai su que c’était le moment, j’ai approché ma bouche de la sienne et elle m’a laissé l’embrasser. Je ne lui ai pas menti, je lui ai dit que je l’avais repérée et qu’elle me plaisait depuis longtemps. Elle s’est sentie assez flattée, elle a rougi un peu timidement. Et on n’est passé aux choses sérieuses !
Elle s’est doucement mise à nue devant moi, je lui ai fait comprendre qu’avec moi, c’était du solide, que je n’allais pas la laisser tomber parce qu’elle s’était lâchée dès le premier rendez-vous. Elle s’est sentie suffisamment en confiance pour s’occuper de mon entrejambe. Je n’étais pas son premier, loin de là, vu comment elle me suçait comme un roi. Sa bouche disait des mots d’amour à mon manche, dans un dialecte que lui seul connaissait, la fellation. J’ai vu qu’elle avait un piercing au nombril, et je me suis dit que c’était le genre de nana qui aimait les choses de la chair. Je l’ai retournée sur mon lit, un peu autoritairement, elle s’est laissé faire.
Puis je l’ai pénétrée, avec de la délicatesse, mais aussi un peu halluciné par la permissivité qu’elle m’autorisait. Je ne pensais pas pouvoir en obtenir autant d’elle en quelques minutes à peine. C’était tellement bon de sentir son vagin se contracter et se décontracter autour de ma bite, elle se laissait aller en fermant totalement les yeux et en poussant des gémissements absolument adorables… Je voulais la prendre dans mes bras et en même temps, continuer à la pilonner comme un sauvage ! Un mélange d’émotions qui me bouleversait. Rien à voir avec mes plans cul que j’expédiais habituellement, avec Marwa, j’avais envie de rester dans la chaleur de son corps pendant des heures et des heures.
Finalement, j’ai tout de même joui. Et elle s’est rhabillée rapidement, comme si elle avait fait une bêtise. Je lui ai caressé les cheveux tendrement en disant qu’à la prochaine compo, ce serait elle qui me dirait ce qu’elle en penserait. Elle serait ma première auditrice. Je crois que ça lui a fait plaisir. Je crois même que l’on va se revoir.
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