Une page d’amour
29 juin 2020Histoire de sexe : « Entre mes cuisses, le rythme s’accélérait et j’avais de plus en plus de mal à me retenir de frétiller sous ses caresses… «
Je travaille depuis deux ans déjà sur ma thèse consacrée au marquis de Sade. Beaucoup de pression… Et de plaisir à fouiller d’histoire de sexe en histoire de sexe.
Il y a quelques semaines, je passais encore une fois la journée à la bibliothèque, quand j’ai repéré Juliette. Fine, blonde comme les blés, elle avait un regard sombre et vif que je surprenais derrière ses lunettes. Elle m’observait. Les jours suivants, la belle s’est rapprochée de la place que j’occupais. Nous avons fini par papoter : elle était étudiante en lettres et également passionnée par le Divin Marquis. Nous avons peu à peu pris des pauses ensemble, autour d’un soda et d’un texte de notre auteur préféré. Au début, nous lisions des passages peu évocateurs, puis de plus en plus brûlants. Jusqu’à ce que le désir nous enflamme toutes les deux.
Un lundi, après un break, nous sommes retournées nous asseoir sur nos chaises. Une douce chaleur avait envahi mon entrejambe pendant la lecture et j’imaginais la mouille qui devait tacher mon slip en coton. Sur la chaise d’à côté, Juliette respirait de façon saccadée. Tout à coup, j’ai senti sa main se poser sur ma cuisse. J’ai alors fermé les yeux et je l’ai laissé remonter jusqu’à ma jupe, puis à mon intimité.
Délicatement et tout en observant les gens alentour, la jolie blonde a écarté ma petite culotte. J’ai senti un index ferme trouver mon bouton d’amour. Puis un majeur s’introduire délicatement entre mes lèvres baveuses. Je me suis collée à mon siège, les yeux mi-clos. Juliette savait si bien y faire qu’il fallait me retenir pour ne pas soupirer de plaisir. La belle s’est approchée de moi et a commencé à me murmurer des paroles si crues à l’oreille que j’ai rougi. Entre mes cuisses, le rythme s’accélérait et j’avais de plus en plus de mal à me retenir de frétiller sous ses caresses… J’ai fini par bloquer sa main et par l’entraîner à l’abri des regards, derrière les rayonnages de la bibliothèque.
J’avais beau n’avoir aucune expérience avec les femmes, j’avais à ce moment-là une idée très précise de ce que je voulais avec Juliette : son sexe dans ma bouche, sa mouille sur ma langue et sa jouissance au bout de mes doigts. Après avoir vérifié que personne ne pouvait nous voir, je l’ai plaquée contre une étagère et je me suis mise à ses pieds. Son short est tombé sur ses chevilles, puis un petit string bordeaux. Devant moi, enfin, son sexe blond et charnu s’offrait. J’ai commencé par lécher superficiellement la fente de cette sublime vulve. Plus les jambes de Juliette vibraient et plus j’appuyais avec ma langue, jusqu’à ce qu’elle s’engloutisse entre ses lèvres. Son trou béant a été l’étape suivante : j’y ai dardé ma langue, provoquant des spasmes de plaisir. J’ai ensuite alterné avec mes doigts, allant jusqu’à en introduire trois à la fois au fond de ma Juliette. Le bruit mouillé qui en sortait était la musique la plus excitante que j’ai jamais entendue…
J’ai écarté mes doigts, sentant les bords du vagin de Juliette se distendre. Je m’imaginais à sa place et imitais les gestes dont j’aurais eu envie, afin de provoquer son orgasme. J’y étais presque, je le sentais, alors j’ai léché de plus belle son clito tout en continuant de fourrager en elle. Elle a enfin joui et j’ai eu le sentiment de venir moi aussi : des étoiles dansaient devant mes yeux… J’ai appuyé ma tête sur la fente palpitante de la belle, écoutant son souffle et le battement de son pouls.
Nous avons continué nos escapades entre les rayonnages les jours suivants : coincée entre les livres, j’ai connu l’extase pendant que mon amante me léchait durant de longues minutes, mais aussi le plaisir de la recevoir entre mes cuisses à même la moquette de la bibliothèque. Par miracle, nous ne nous sommes jamais fait prendre mais nous préférons désormais poursuivre notre aventure dans les draps de nos lits respectifs. Je peux ainsi hurler de désir en remerciant Sade et la belle Juliette.
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« Jean a suggéré que l’on poursuive sur le lit conjugal. Antoine a entrepris de me faire un cunnilingus. Il était très doux, sa langue semblait être une verge entrant et sortant de mon vagin. Notre invité, debout près du lit, nous regardait faire en prenant des photos. Il a demandé à mon amoureux s’il pouvait me prendre. Celui-ci m’a possédée en missionnaire, nos bouches se sont nouées. » Juliette, 24 ans.