Une exhibition très hot..

La rédaction 10 septembre 2019

Anne, 43 ans

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Avec mon mari, nous aimons beaucoup nous prendre en photo quand nous faisons l’amour et nous avons une belle collection de clichés qui documentent notre sexualité depuis des années. Nous les rangeons même par catégorie : fellation, strip-tease, pénétration, etc.

Nous étions en train de rentrer d’un dîner, dans notre quartier pavillonnaire. Nous marchions dans la nuit sur le chemin du retour et, alors que nous nous embrassions bras dessus, bras dessous, nous avons eu furieusement envie l’un de l’autre.

Mon mari s’amusait à glisser ses mains sous ma jupe pour m’arracher des petits cris et me caresser les fesses. Ça m’excitait. Il a fini par me soulever pour me faire asseoir sur un petit muret et se placer entre mes jambes. Cette position permettait de faire se frotter nos sexes à travers nos vêtements, tout en nous roulant des pelles. Il a relevé ma jupe sur mon ventre et s’est mis à caresser mes cuisses, que j’avais galbées dans des bas noirs, tenus par des porte-jarretelles. Il savait que je portais ces sous-vêtements ce soir-là et il y avait probablement songé, rêveur, une bonne partie du dîner. C’est à ce moment-là qu’il a eu l’idée de sortir son portable pour me photographier. Je n’avais qu’à écarter les pans de mon manteau et à mettre mon string de côté pour avoir accès à mon abricot et le caresser pendant qu’il immortalisait ce moment, un morceau de cuisse à l’air libre, la dentelle soulignant la peau, et moi, avec les doigts se promenant sur moi, en train de m’explorer tranquillement tout en regardant vers lui. Ça l’a tellement excité de faire ce cliché qu’il a sorti sa queue de son pantalon pour se branler devant moi tout en me prenant en photo. C’était osé de faire ça au beau milieu de ce quartier sans histoires !

La vue de son sexe et de mes propres caresses m’avaient moi aussi bien émoustillée et je suis descendue du parapet pour m’agenouiller au niveau de son chibre. Je l’ai soupesé dans ma main et je l’ai porté à ma bouche pour l’exciter d’abord très légèrement, promenant ma langue sur le gland et sur sa longueur, agaçant le frein avec la pointe jusqu’à le faire gémir, puis engouffrant la chose dans ma bouche, d’abord de moitié seulement, puis aussi loin que je le pouvais, l’engloutissant jusqu’à frôler ma glotte. Il en a profité pour photographier mon visage en pleine action. Ma bouche maquillée entourait sa chair charnue et rose qui remplissait tout l’espace entre mes lèvres, sur ma langue. Cette bite qui me faisait perdre la tête et dont j’aime tellement l’odeur… Je fermais les yeux pour mieux ressentir toutes les sensations, en espérant que mon excitation se lirait sur la photo. Ce témoin de notre intimité qu’était l’appareil de son téléphone portable m’excitait et j’avais envie de lui donner un charmant spectacle.

J’ai attrapé le chibre de mon mari dans ma main pour le branler en même temps que je le suçais, puis je promenais ma bouche sur la partie du dessous, si délicate, et vers les couilles, que j’attrapais doucement dans ma bouche, que je léchais, embrassais, caressais de ma langue, pendant que ma main allait et venait de haut en bas sur son braquemart. Puis je la redirigeais vers ma bouche lascive et promenais le gland sur tout le pourtour de mes lèvres pour l’humidifier et offrir cette image à mon mari de ma bouche abandonnée et entrouverte sur laquelle glissait la pointe de son sexe dressé. Il continuait de prendre des photos de ce moment si agréable et complice. Puis ce fut à son tour d’attraper son engin pour l’enfoncer dans ma bouche et guider le mouvement. Il en saisissait le manche et le plongeait entre mes lèvres dans le bain de ma salive et sur le matelas humide et accueillant de ma langue. C’est là, que je me suis mise à le sucer plus franchement, l’avalant, me faisant remplir, le faisant disparaître. C’était tellement bon que nous avons oublié tous les deux le téléphone portable pour nous concentrer exclusivement sur ce contact entre ces deux parties intimes de nos corps.

Mon mari avait déjà été tellement excité par toute la mise en bouche de ce petit jeu et par les photos prises à la volée qu’il n’a pas tardé à éjaculer, également sous le coup du stress de se faire surprendre dans cette allée tranquille de notre quartier qui était subitement devenue, le temps de quelques minutes, le lieu de notre frisson.

(Photo à la une : Getty Images)

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