Martin, le gode et moi !

Nanou Redacteur 19 janvier 2022

Lila tombe du président de son association. Au détour d’un verre, ils vont s’aventurer dans une histoire de sexe aux plaisirs profonds !

Je m’appelle Lila, étudiante à la Sorbonne, je suis une jeune militante pour la cause animale, antispéciste revendiquée et voici mon histoire de sexe !

Le déclic ? J’ai cinq animaux à la maison, tous rescapés d’histoires terribles. Plus je vivais au quotidien avec ces boules d’amour et de tendresse, plus je sentais ma colère monter à l’égard de l’humanité et de leur maltraitance du vivant. Comment pouvait-on se montrer si insensible à ces petits êtres sans défense ?

Coup de foudre inespéré

J’ai décidé de me renseigner pour pouvoir élargir mon action et j’ai trouvé une association en bas de chez moi, assez importante et assez révoltée. Tout ce que j’aimais ! A la première réunion, nous étions une centaine de contributeurs assis sur des chaises pliantes. Nous attendions un discours de la présentation du calendrier des manifestations prévues cette année. Le président est monté sur scène. Immédiatement, je suis tombée amoureuse.

Il était grand, jeune, le regard malin, il se tenait droit et parlait avec beaucoup de charisme. Il s’appelait Martin. Il est devenu, très rapidement, mon obsession. J’ai mis six mois avant de l’embarquer dans mon lit. L’histoire est toute bête (si j’ose dire !). A la fin d’une manifestation, je lui ai demandé si nous pouvions prendre un verre pour rédiger ensemble le communiqué de presse à envoyer aux journalistes.

À la suite de ce verre, il m’a tout de suite avoué que je lui plaisais. Et je me suis jetée sur l’occasion, je lui ai dit « oui » tout de suite. En plus, je portais une jupe avec des bas qui montaient jusqu’à mi-cuisse, tous les voyants étaient au vert pour que je lui fasse passer un moment inoubliable.

Un président entreprenant

On est monté chez moi, et je l’ai laissé prendre la suite des opérations. Il leadait la situation comme un chef. Il me prenait en photo sous toutes les coutures et je m’improvisais alors en mannequin photo. Mais mannequin un peu coquine, façon actrice porno. Je m’agrippais au barreau et écartait en les tendant mes deux longues jambes, plantées sur le matelas.

Puis il s’est mis tout nu. Son corps était sculpté comme un héros grec. S’il était impressionnant sur scène, dans mon lit, nu comme un vers, il était carrément irrésistible. Très vite, il s’est enfoncé en moi, comme s’il savait précisément comment écarter ma croupe et se frayer un chemin, entre mes deux reins.

J’ai cambré un peu ma colonne, sortant mon cul, creusant mon dos. Il m’a dit « Tu sais Lila, quel est mon réel kif ? J’ai envie de t’enculer ! » En d’autres circonstances, j’aurai très certainement bondi ! Je me serai sentie outrée par cette proposition totalement déplacée, et cette pratique sexuelle, parfois douloureuse, qui ne m’attirait pas spécialement.

Mais c’était Martin et son tempérament de chef me donnait envie de tout tester. Il m’a demandé si j’avais un gode, chez moi. Rouge de honte, je lui ai avoué que « oui, j’en avais un dans mes tiroirs ». Un truc que j’avais acheté en ligne, un soir de déprime par mon récent célibat.

Une grande première

J’ai donc ramené, comme s’il s’agissait d’un plan à trois, mon amant de plastique, un gros gode tout en silicone, assez réaliste. Il l’a pris en main, l’a jaugé et m’a dit : « c’est parfait, il fera l’affaire ! ». Il s’est à nouveau enfoncé en moi, mais cette fois-ci, il m’a prise en double pénétration avec ce gode qui allait et venait dans mon cul !

Je pensais souffrir le martyr, mais c’était tout le contraire : la sensation était exceptionnelle, mon cerveau s’emballait totalement, tout était décuplé. Je sentais avec encore plus d’intensité sa bite en moi, et ce gode, dans mon cul. Et, bien évidemment, il a fini par retirer le gode en plastique et a fourré sa queue, maintenant que mes sphincters étaient bien dilatés. Je ne sais pas combien de cul il a fourré comme ça, mais il agissait en grand professionnel. Je n’ai pas du tout eu mal, et même, je crois bien que j’ai joui de l’arrière-train. Martin a fini par m’éjaculer dans l’anus et j’ai laissé couler, tranquillement, sa semence sur mes draps propres. Après tout, il pouvait se le permettre, c’était lui le boss, il avait marqué son territoire.

Une fois la partie de baise terminée, Martin a voulu me reparler manifestation et discours à la presse mais j’étais lessivée. Et puis j’avais envie qu’il me parle d’amour – pas de militantisme. Je l’ai viré de chez moi assez brusquement. Le pauvre, j’espère qu’il va s’en remettre. Et que très vite, il me fera explorer à nouveau de nouveaux territoires sexuels.

S’il mettait autant de fougue dans ses ébats que dans ses manifestations, à coup sûr, j’avais décroché un amant en or !

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