La grosse saucisse de Morteau

La rédaction 30 août 2023

Charline est l’amie photographe à qui Karen raconte toutes ses parties de jambes en l’air avec Thomas, son copain. Jusqu’au jour où Charline les rejoins…

Ma meilleure amie, Charline, est photographe. Nous nous disons tout, nous montrons tout, jusqu’au plus intime. Avec Thomas, mon petit ami, ça a été le coup de foudre sentimental et sexuel immédiat. J’ai tout raconté à Charline. Comment il me prenait et me léchait, comme je le suçais et le goût de son foutre. Évidemment, nous nous sommes pris en photos pendant nos galipettes. Voici mon histoire de sexe ;

C’est l’amour fou !

On fornique partout, toilettes de restaurant, cabine d’essayage, banc d’un parc. Je suis folle de sa grosse queue tout le temps au garde-à-vous. Thomas s’entretient et ça se sent quand on baise, il est d’une endurance folle ! Nous avons donc commencé à nous immortaliser, close-up, plans larges, scènes de sexe pur ou bien encore folie dans les couloirs d’hôtels.

Quel bonheur que de se sentir ainsi en danger, de ne jamais savoir si quelqu’un va pousser une porte et nous surprendre en plein milieu d’une fellation ou d’un coït sauvage ! Cet aiguillon est un puissant aphrodisiaque. Nous avons eu quelques spectateurs, moins souvent des spectatrices, là aussi, cela a décuplé notre excitation.

Puis nous avons franchi le pas et invité Charline et son boitier pro à venir nous shooter lors d’un après-midi de baise torride à l’hôtel.

Thomas a d’abord joué le badboy, cigarette aux lèvres pendant que je le suçais et faisais grossir sa bite idéale. Une fois bien bandant et au bord de la rupture je l’ai encouragé à me dévêtir entièrement. Charline nous voulait dans le plus simple appareil pour la séance, heureusement qu’elle nous avait donné quelques indications au préalable parce qu’une fois dans le feu de l’action, nous n’avons plus rien entendu de ce qu’elle a pu nous dire.

J’ai tout de même pris quelques poses indécentes sur le lit, écartant bien ma petite moule glabre devant l’objectif, Thomas n’en ratait pas une miette tout en astiquant son pieu d’airain d’une main molle. J’excelle dans mon rôle d’agent provocateur, c’est un fait. Même si j’avoue que la lente masturbation de Thomas me troublait au plus haut point. Il m’a enfin rejointe sur la couette fleurie pour m’enlacer et m’embrasser avec passion, sa masculinité battait la chamade juste contre ma joue, je me suis fait un plaisir de parsemer des centaines de baisers sur sa hampe avant de la lécher puis de l’engloutir. Même si l’avaler entière relève de l’exploit impossible.

Son long bras s’est tendu pour caresser mes cuisses que j’ai écartées instinctivement. Je voulais ce contact sexuel, immédiat, presque brutal. Je mouillais encore plus que d’habitude de voir mon amie, appareil photo en main, nous tourner autour et nous observer avec l’acuité de la professionnelle qu’elle était.

Baisée de partout !

Aucune pudeur ne m’a freinée, j’ai tout donné à l’homme que j’aime et à l’amie qui a su transcender ce moment. J’ai demandé à Thomas de me prendre fort, sans plus de préliminaires que cela, il s’est exécuté, s’est glissé entre mes jambes, son gland a trouvé d’instinct le trou moite, une forte poussée de son bassin et j’ai crié lorsqu’il est entré en moi avec force. Quel amant ! Il m’a pilonnée comme une forteresse volante américaine, les coups de reins pleuvaient, mon con était fracassé de sensation, j’ai griffé son dos, agrippé ses lourdes bourses remplies, je me suis tournée pour qu’il me défonce en levrette (ma position sexuelle préférée). De nouveau, j’ai été la cible d’un matraquage en règle, me tenant par les fesses, qu’il écartait pour que Charline puisse shooter la pénétration, il m’a déchiré les entrailles jusqu’à ce que je me rende dans un râle de plaisir et de bonheur.

Son pouce était encore planté dans l’anneau serré de mon cul, impossible de lui refuser ce plaisir, surtout devant mon amie.

« Tu as envie de m’enculer ? » lui ai-je lancé, tellement sûre de sa réponse. Je ne lui ai, du reste, pas laissé l’opportunité de répondre. Toujours à quatre pattes j’ai attrapé sa queue qui ne débandait pas et j’ai reculé mon bassin en ondulant comme un serpent jusqu’à faire disparaitre le sexe sodomite en moi. J’ai respiré à fond, prendre un tel morceau dans le fondement n’est pas aisé même pour une pratiquante de l’anal comme moi.

Ça n’a pas raté, comme à chaque fois que je l’accepte par-là, il n’a fallu que quelques allers-retours pour qu’il s’épanche en moi. Mon anus a capté un brusque raidissement, puis plusieurs soubresauts assortis d’un labourage en règle de mon popotin. Un long cri guttural et le sperme s’est libéré en puissantes pressions jusqu’à en être éjecté de mon orifice et venir tomber en larmes blanchâtres sur l’intérieur de mes cuisses.

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