La bourgeoise bien salope

La rédaction 15 mai 2021

Dame bourgeoise sa fait baiser par Antonio, le mari de sa femme de ménage, dans sa magnifique villa de banlieue parisienne, alors que son mari s’est absenté…

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Voici mon histoire porno. Mon époux travaille beaucoup, tout le temps, trop ! Je suis seule dans une sublime villa de l’ouest parisien du matin au soir. Je ne me plains pas, bien entendu. Je me rends compte de la chance que j’ai … que nous avons devrais-je dire ! Trois cents mètres carrés habitables à dix minutes de Paris, hammam, sauna, terrain de tennis et piscine chauffée et du temps libre en veux-tu, en voilà. Seulement voilà, mon agenda est habituellement rythmé par le sport, les rendez-vous chez mon coiffeur, mon esthéticienne, avec mon coach sportif, par le bridge, ou le golf avec les amies, le théâtre, les sorties culturelles, bref, c’est simple, je n’ai jamais une minute à moi !

Et le confinement a fondu sur la France, l’Europe, le monde ! Ce satané coronavirus m’a engluée, immobilisée, anesthésiée ! Pierre-Emmanuel, mon cher mari, s’est retrouvé bloqué par ses obligations professionnelles je ne sais où ? A New-York ou peut-être était-ce Singapour … ou bien encore Pretoria ? Qu’en sais-je ?

Ma moitié à l’autre bout de la planète, mes amies, calfeutrées chez elles ou parties en « exil » à Saint Martin, Dubaï ou Miami, j’étais seule, seule, seule !

Et que faire ? Surtout quand, comme moi, on ne sait rien faire ? Si, bien sûr, j’ai passé les premières semaines à faire chauffer la carte « Platinum » sur différents sites marchands mais on se lasse de tout. Acheter des robots de cuisines, des consoles de jeux et des drones c’est bien beau, mais que voulez-vous que j’en fasse ?

Mais ce qui me manquait le plus c’était nos soirées « Eyes wide shut » qu’organise (et avec quel talent !?) Pierre-Emmanuel ! Tous les derniers mercredis du mois, ma moitié invite le gratin du gotha européen, le thème est différent à chaque fois et la nuit n’est que champagne, bons mots et … sexe ! Libre, sans complexe, débridé au possible !

Tenez, les dernières trouvailles de mon époux, une soirée bacchanales, orgie romaine et, idée de génie, agapes vespérales sur le thème du prolétariat. Décadente à souhait ! Tous nos invités étaient vêtus de bleu de travail, de vêtements sales et odorants portés depuis plusieurs jours, se forçaient à parler avec un accent tout à fait repoussant et n’ont eu de cesse de que de baiser en éructant des insanités telles que je n’en avais jamais entendues et qui m’ont tournée la tête tant elles m’excitaient.

J’étais en pleine rêverie d’un ces symposiums du sexe et de la luxure lorsque j’ai décidé d’aller passer un peu de temps à lire au solarium. C’est le dernier caprice de Pierem (Pierre-Emmanuel), faire construire un toit terrasse à côté du bassin de nage afin de pouvoir faire bronzette dès les premiers rayons du printemps. J’étais donc en train de sortir du sauna avant de plonger dans la piscine et de monter me faire rôtir au soleil lorsque je suis tombée sur un géant, barbe de trois jours voire plus, mâchouillant un bâton de réglisse et, pardon mais il n’y a pas d’autre mot, se grattant les couilles à travers une salopette en jean à l’aspect peu ragoutant.

J’ai hurlé, bien évidemment, mais que voulez-vous ; qui peut m’entendre dans cette immense maison désertée par les employé(e)s et sis au milieu de deux hectares d’un parc arboré … et giboyeux parait-il ? Personne, évidemment !

J’étais nue, désarmée, incapable de me défendre devant ce Gulliver patibulaire. J’ai rendu les armes, prête à sacrifier mon corps pour préserver ma vie.

« Bonjour m’dam, désolé d’vous avoir fait peur, j’pensais qu’vous seriez dans l’coin … »

J’ai vite croisé les bras pour cacher mes seins, pour ce qui était de plus bas, j’ai croisé les jambes et j’ai fustigé du regard le géant qui venait de me surprendre dans le plus simple appareil.

« Mais enfin, mais qui êtes-vous et qu’est-ce que vous faites là bon dieu ? » ai-je lancé au Goliath dont le regard vitreux n’augurait rien de bon.

« Ben, j’chuis Antonio, l’mari de Maria, vot femme de ménage et cuisinière m’dam, moi j’surveille la propriété, j’nettoie la piscine et j’fais les vitres de temps en temps, là par exemple, j’chuis v’nu faire les vitre pass’qu’la piscine est propre »

J’étais éberluée, je n’avais jamais vu ce … monsieur sur la propriété, je comprenais à peine ce qu’il disait mais un fait était sûr, j’étais totalement à poil devant un prolétaire, un vrai et cette situation me remplissait d’une multitude de sensations. Loin de moi l’idée d’être gênée d’avoir été surprise en tenue d’Ève, je bronze à poil la moitié de l’année, non, c’est ce parfum de film porno des années quatre-vingt qui a commencé à me faire mouiller, cette possible compromission des corps allant à l’encontre de la lutte des classes la plus élémentaire, cette fragrance de lady Chaterley mêlée aux remugles de vielle sueur de cet ouvrier qui me mettaient dans tous mes états !

J’ai levé la tête vers cet Hercule au col bleu puis je l’ai détaillé de pied en cap, des cheveux aux chaussures, des chaussures aux … mais … mais ? Quelle était cette bosse grotesque qui déformait son denim ? Oh, le petit saligaud ! Mais c’est qu’il bandait le petit salopard sous sa salopette ! Et pas qu’un peu même !

« Déshabillez-vous ! » lui ai-je intimé.

« Pardon m’dam ? »

« Déshabillez-vous et suivez-moi sous la douche, vous puez le bouc mon pauvre ami, c’est absolument répugnant ! »

À ce moment-là je crois qu’il a atteint le summum de la vulgarité et de l’ignoble, il a levé les bras et a reniflé se aisselles. Des exhalaisons malodorantes m’ont chatouillée les narines, j’ai haussé le ton.

« Bon, mon p’tit vieux, je suis à poil devant vous alors vous n’allez pas compliquer les choses inutilement, allez zouh ! virez-moi tout ça et je vous emmène à la douche, si vous ne savez pas vous laver correctement et bien je vais le faire puisqu’on ne peut compter sur personne à part soi-même ! »

J’ai bien vu ses yeux perdus, hagards, il avait complètement perdu les pédales le pauvre vieux, mais il a fini par se déshabiller devant moi.

Sainte mère de dieu, est-il possible d’avoir un corps pareil ? Engoncé sous sa cote et plusieurs couches de tee-shirts et autres pulls, Antonio cachait un vrai corps d’athlète, le clou du spectacle étant … ma foi, comment le dire autrement ? Sa queue ! A côté celle de Pierem est une maquette ! Je peux vous dire que j’en ai vu passer, du pénis, dans cette maison. Des beaux, des laids, des grandes et fines, des courtaudes et trapues mais, des mastodontes pareils. Jamais ! Quant à savoir si elle avait aussi fière allure à l’état flasque, je ne saurais vous le dire, cette force de la nature bandait comme un âne et son érection ne s’est pas calmée jusqu’à la fin de ce long après-midi de sexe torride.

A peine étions-nous arrivés aux douches qui desservent la piscine que j’ai plaqué mes mains sur cette statue grecque douée de vie et … d’un vit sublime. La tempérance était représentée, chez les Hellènes antiques, par de petites bites sur les statues, croyez-moi sur parole, Antonio avait du tempérament mais pour la tempérance, il faudra repasser.

Comme un petit garçon, il a commencé par se laisser faire, j’ai usé de gel douche d’un grand parfumeur parisien et, après l’avoir mouillé de pied en cape, j’ai recouvert son corps immense de mousse onctueuse. Me serais-je « légèrement » appesantie sur son fabuleux priapisme ? Sans doute ! Aurais-je collé mes seins contre son dos puis sur son torse, sentant ainsi son gland bien au-dessus de mon nombril ? Probable. Lui aurais-je, enfin, tendu des lèvres aussi tremblantes qu’affamées ? C’est vraisemblable.

Toujours est-il que c’est LUI qui a fait le premier pas, c’est LUI qui a attrapé mes fesses avec force et qui m’a soulevée de terre comme si j’étais une plume afin de glisser sa grosse langue répugnante dans ma petite bouche si distinguée. Qu’il embrasse bien ! Des baisers dispensés par de larges lèvres ourlées, des baisers qui vous font tourner la tête tant ils sont sauvages et vrais. Débordant de désir et de … sexe.

Il m’a reposée sur le sol avec une douceur que je n’aurais pu soupçonner chez ce titan. Que faire ? Comment le congédier maintenant qu’il était propre et sentait ce cocktail de musc, de poivre noir et de labdanum qui me rend totalement folle lorsque Pierre-Emmanuel s’en pare ?

Je me suis écroulée à ses pieds, prêtresse extatique toute dédiée au dieu phallus que je voulais adorer de toute mon âme, de tout mon corps. Et quoi de mieux pour entrer en comminterstron.ru avec une divinité que de le prendre en bouche ?

La belle perche du pisciniste était un monolithe, un menhir de chair gorgé de sang et de vie. J’ai attrapé cette hampe rigide et je l’ai penchée vers moi, sortant une langue timide j’ai d’abord goûté ce gland prolétaire, il était doucereux, délicatement parfumé, j’ai fait coulisser la peau du prépuce, ce dernier était à l’aune du personnage, énorme, recouvrant. Une fois totalement calotté, cela formait comme une grosse fleur dont les pétales fanés se rabougrissaient en une espèce de tube flasque. Je me suis amusé à ne prendre que cette partie entre les lèvres, cela avait presque la texture du chewing-gum, je m’amusais follement.

Antonio produisait une quantité phénoménale de liquide pré séminal, cette huile salée me donnait l’eau à la bouche, littéralement, j’en bavais tandis, qu’enfin, je commençais à le sucer vraiment. Je ne sais pas comment je ne me suis pas luxée la mâchoire, le vit de cet homme était tout simplement hors gabarit. J’ai néanmoins pris soin de pourlécher son gros fruit, sa happe avant de découvrir une paire de couilles grosse comme des pêches ! Décidément tout était surdimensionné chez ce colosse. Contrairement à nos habitués de partouzes, l’ensemble était orné d’une couronne de poils noirs et drus, des boucles souples et très harmonieuses, j’ose à peine imaginer ce qu’aurait donné ce paquet s’il avait été imberbe, les dimensions de ce service trois pièces auraient pris des proportions encore plus oniriques !

Mais je sentais chez mon amant surprise une petite impatience, j’ai lui ai laissé le soin de se déshabiller et, à passer pour une salope de riche, autant aller jusqu’au bout du jeu, tandis qu’il ôtait ses vêtements, je me suis allongée sur une grande méridienne face à lui et, jambes largement écartés sur mon joli sexe rose, je me suis doigtée tous les trous. Je ne sais pas si c’est mon épilation intégrale ou le fait que je me masturbe la chatte et le cul en même temps, toujours est-il que cela l’a rendu fou. Une fois totalement nu, Antonio s’est dirigé vers moi, de nouveau j’ai décollé dans les airs, il m’a retournée comme si j’avais été une poupée et je me suis retrouvée la tête en bas, mon sexe à sa hauteur et le sien à la mienne. En un soixante-neuf vertical et acrobatique. J’ai senti une chaleur envahir toute mon entrecuisse, diantre ! La langue était à la mesure du reste ! Je sentais mes nymphes aspirer puis recracher avec des bruits de succions très cochons qui m’ont retourné le bas-ventre … qui pour l’heure était en haut !

J’étais sans dessus dessous, je sentais ma chatte déborder de ma cyprine et de la salive d’Antonio, il arrivait à laper jusqu’à mon anus le petit chameau. Mais la tête commençait à me tourner d’être ainsi tête bèche, j’ai demandé grâce et je me suis senti revenir à une position normale, j’étais échevelée, ma longue crinière blonde en désordre, il a plaqué sa bouche contre la mienne en un long baiser et je me suis sentie coulisser lentement, son pieu énorme a scindé mes lèvres lentement, cela rentrait en moi, rentrait en moi et semblait sans fin quand, soudain, j’ai senti qu’il était entièrement englouti dans mes chairs intimes.

« Avoir le souffle coupé » n’est pas qu’une expression, je sentais mon vagin distordu à l’extrême, je crois que même mon utérus était remonté tant la longueur de la queue qui venait de m’empaler était sans commune mesure même avec le plus gros de mes jouets sexuels ! J’avais un peu mal aux cuisses mais quand Antonio a commencé à me soulever en rythme, très haut, si haut qu’il en faisait presque ressortir sa queue de moi, puis à me relâcher afin que je m’empale de nouveau, j’ai senti que ça chauffait de partout, il a glissé une main entre mes fesses et un de ses gros doigts m’a enculée en même temps. Quel pied ! Nom d’une pipe quel pied !

Je n’avais jamais joui dans cette posture mais quand l’orgasme est arrivé, sainte mère de dieu, j’ai cru m’évanouir ! Tant et si bien que, retenue par les bras puissants, j’ai laissé exploser mon plaisir en giclant du con ! Pierem arrive à déclencher ma fontaine avec les doigts, ce qui est déjà très bien, mais la sentir se mettre à éclabousser de partout juste avec une queue en moi ! Quel pied !

Mais Antonio, lui, était toujours aussi dur et visiblement son endurance n’avait d’égal que sa taille !

« Si j’osais, M’dam, je … »

Non ! Non ! Mais non ! Il n’y pensait pas !? pas à ça !? La suite m’a prouvé que si !

Il m’a gardée debout, les mains en appui sur le dossier du canapé, j’ai senti ses doigts me fouiller la fente, il a étalé ma mouille sur ma petite pastille. J’avais envie de lui faire plaisir et an même temps mon cœur battait à tout rompre. N’allait-il pas déchirer mon petit trou !?

Le temps que je me prépare mentalement, il était déjà entré ! Comme la peur de la piqûre avec une infirmière douée, je n’avais pas eu mal … je l’avais senti mais je n’avais pas eu mal.

Il m’a sodomisée avec toute la douceur du monde, c’en était touchant. Je l’ai senti s’enfoncer dans mon sphincter, il n’a glissé que la moitié de son énorme pieu et a fait des va-et-vient très lents, j’ai adoré cette sensation d’être enculée avec autant de précautions. Je me suis touché le bourgeon et je l’ai encouragé tout en lui pelotant les bourses. Il a éjaculé au fond de mon cul en râlant comme une bête sauvage.

Son engin a gardé un peu de superbe puis s’est rabougri à vue d’œil, sa crème coulait de mon cul encore dilaté sur mes cuisses, je lui ai pris la main et nous avons sauté dans la piscine.

Le mois prochain, reprise des parties fines à la propriété, Antonio vient en guest ! Je veux absolument que mes amies goutent à ce dieu du sexe ! Promis, je vous raconterais tout par le menu !

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