Une femme fontaine expressive

Paule 24 octobre 2023

Olivia 18ans, passe ces premières vacances à Palavas-les Flots seul, elle rencontre Corentin qui maîtrise toutes les techniques sexuelles.

L’huile d’Olivia

Été 2002, je suis en vacances à Palavas-les Flots. J’ai passé ma majorité et ce sont mes premières vacances seule. Le temps est magnifique, les boîtes de nuit nombreuses et peuplées de beaux gosses que je drague à la chaîne.Voici mon histoire de sexe.

J’ai découvert le sexe plus tard que la moyenne, cela fait quelques mois que j’ai perdu ma virginité ! J’ai été dépucelée par un copain de fac, un peu maladroit puis j’ai commencé à prendre mon pied avec un quarantenaire, lui m’a fait monter au rideau ! Il m’a initié à tant de choses ! La fellation, comment branler un mec, goûter le sperme chaud, jouer avec des objets hétéroclites, jusqu’à la sodomie, pratique qui me répugnait et qui m’a fait jouir comme une damnée.

C’est donc armée de tous ces nouveaux « talents » que je séduis des hommes, jeunes ou plus mûrs. Ce sont des coups d’un soir, de la baise pure, du sexe pour le sexe. Eux sont ravis et moi, je ne veux pas m’attacher, juste prendre mon pied. Jusqu’à Corentin. Lui, son truc, c’est le cunnilingus. Je ne sais pas comment il a maîtrisé toutes les techniques de la chose, mais il est un véritable dieu lorsqu’il donne de la langue. Le premier soir, je le suce dans les toilettes d’une discothèque branchée, il me jute dans la bouche après un temps incroyablement long qui m’a presque laissée paralysée de la mâchoire.

Je vais pour lui enfiler une capote sur sa grosse bite encore en érection, mais il m’attrape, me plaque les seins contre la cloison et enfoui son visage entre mes cuisses. Mes talons hauts cambrent mes reins et me permettent de bien écarter le cul, il empoigne mes fesses pour s’ouvrir le passage et me bouffe tout ! Le trou de balle, les lèvres, les nymphes puis glisse entre mes pieds dans une posture acrobatique pour s’occuper de mon clito. Il me fout deux doigts dans la chatte et me travaille tout en finesse pour finir par des va-et-vient agacés qui tapent pile au bon endroit. Je lui gicle dessus en étant incapable de retenir un cri strident qui déclenche le rire des personnes présentes de l’autre côté de la porte.

Mon premier orgasme par – derrière

On s’échange nos numéros et le lendemain, il m’accueille dans la villa de ses parents. J’ai pensé à lui toute la journée en me touchant plusieurs fois tellement ce qu’il m’avait fait était délicieux. Nous ne daignons même pas la peine de nous baigner dans l’immense piscine, un grand lit nous tend les bras (plus glamour que les chiottes du club de la veille), il me déshabille sensuellement, il est beau, puissant et musclé, ses gestes sont sûrs et apaisants tout en révélant chez moi une libido décuplée. Il aime les préliminaires et me repais de sas caresses, de ses divines léchouilles, il prend son temps et m’offre sa queue à sucer. Il me photographie pendant que je lui administre une fellation dont j’ai le secret, cela m’excite au plus haut point, surtout lorsqu’il me montre l’écran sur lequel je vois ma bouche déformée par son gros chibre dur.

Il m’enduit le corps d’huile de massage et me délasse en profondeur, la pine dans la raie de mon cul, qui va et qui vient au gré de ses mouvements de mains qui parcourent mon dos. Je ne réalise même pas son approche lorsqu’il me sodomise, l’onguent a fait son œuvre sur mon rectum, anneau devenu élastique et hospitalier. Il m’encule lentement, je ressers mon sphincter et je le sens bien, totalement planté dans mon orifice anal. Il me caresse les seins, nous sommes poisseux de sueur et d’huile, ça hume le musc et l’ambre, c’est délicieux. Il me prodigue mon premier orgasme par-derrière, bien que son pénis soit un des plus imposants qu’il m’a été donné de connaître, il me prend crescendo et je viens doucement, c’est bon la façon dont ça monte en moi, très progressivement jusqu’à une extase absolue.

Il retire son préservatif et glisse une serviette éponge pliée en deux sous mes fesses, je ne comprends pas où il veut en venir, mais ses doigts s’agitent dans mon vagin comme la veille au soir, sauf que là, en plus, il appuie du plat de sa main sur mon bas-ventre, prenant ma matrice en étau, j’entends un gargouillis de plus en plus sonore entre mes cuisses, je saisis le pourquoi du drap de bain, un geyser, il n’y a pas d’autres mots, surgit de mon con, j’inonde tout, le visage de Corentin inclus, même ses cheveux sont trempés.

Cet homme, qui m’a révélée femme fontaine, qui m’a poussée à des exhibitions exponentiellement cochonnes et qui depuis, m’a donné maints orgasmes, est devenu mon mari, il y a de cela quinze ans. II me fait toujours autant jouir et rire et je lui dédie ce texte et ces photos glanées dans nos albums coquins.

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Paule


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