Laure à l’appel !
1 juillet 2024Laure – 42 ans – Eure-et-Loire, adore avaler beaucoup de bites et s’en donne une nouvelle fois à coeur joie.
Vous allez sans doute penser que j’ai un grain, ce n’est pas grave, j’adore le sexe, surtout lorsque j’ai plusieurs bites à me mettre sous la main, ou en bouche, ou dans n’importe lequel de mes autres orifices. J’ai un homme dans ma vie, mais il ne me suffit pas, cela dit, il se régale de me partager avec ses amis ou les miens et, franchement, trouver des amants n’est pas compliqué. Jean, mon compagnon, affectionne de me mater dans mes exploits et surtout les immortaliser en prenant des photos. Voici mon histoire de sexe.
Une femme affamée de queues
Je vous envoie un florilège de mes folies, comme cette fois en plein bois. Un type m’a vue, alors que j’étais accroupie derrière un bosquet de fougères en train de faire pipi, et il s’est rapproché. Je me suis tournée pour qu’il puisse bien regarder ma fente et mon jet puissant qui éclaboussait le sol. Je lui ai fait signe de venir près de moi et en quelques secondes, je lui suçais la bite. Elle était superbe, bien raide avec un beau gland comme j’aime, il a craché son foutre en un rien de temps, j’ai tout avalé, nettoyé son sublime appareil et m’en suis allée en roulant du cul, ma robe encore au-dessus de mes fesses.
Mais là où je prends vraiment mon plaisir, c’est lorsque je réunis deux ou trois amants dans la même chambre, Jean me baise et se laisse un peu pomper le dard, mais il photographie surtout sa chérie en train de prodiguer plusieurs fellations simultanément ou de se faire démonter en levrette, en double pénétration ou bien de se faire asperger de sperme de pied en cape !
Quelle fierté de voir bander à mort trois superbes mâles, tous âges confondus, de regarder toutes ces queues gaillardes se dresser pour vos seins, votre cul et votre chatte, avides de votre bouche, de vos caresses, de vos trous accessibles et affamés.
Offerte à ses amants
Pas encore tout à fait nue, je suis assaillie par ces tiges turgescentes, des méats suintent une liqueur épaisse et salée, des mains se posent sur moi, me frôlent, m’explorent, me fouillent. On me doigte, on m’arpente, on me surprend mouillée et déjà offerte, on m’écartèle, me demandant de montrer mes orifices le plus largement ouverts possible. Je me sens fondre de la chatte, mon sillon s’imbibe d’une cyprine lourde de parfums et qui s’écoule entre mes fesses jusqu’à oindre mon anus fébrile.
Les sexes masculins se matérialisent alors devant mon visage, je suce ces bites avec gourmandise, affamée, j’en prends une dans chaque main et accueille la troisième dans la fournaise de ma bouche. J’entends le déclenchement de l’appareil de Jean et cela m’excite encore davantage. Parfois il glisse un majeur décidé dans mon trou de balle, il sait que j’aime me faire tripoter par là.
Des doigts habiles finissent par me débarrasser de mes vêtements, je garde souvent mes bas et mon porte-jarretelles, cela trouble beaucoup ces messieurs. Mes seins sont pétris, mes fesses malaxées, mon con ouvert par des phalanges de plus en plus nombreuses à en passer le seuil. Je m’abandonne, je m’offre, je veux que mes amants prennent tout de moi avant de tout me donner.
Tout au fond de la gorge
Après avoir rendu tous ces bâtons de plaisir bien durs, on me prend en main, je n’ai plus rien à faire que jouir, jouir et encore jouir. Un gland s’insinue dans mon anus, un autre dans mon sillon trempé, les coups de boutoir se lancent, désespérés, vifs ou lents, ils me labourent les entrailles, me dilatent l’œillet ou investissent pleinement mon vagin, ils se glissent dans ma bouche et leur propriétaire se masturbe en s’enfonçant tout au fond de ma gorge.
Certains amants sont moins résistants que d’autres et jutent rapidement, ce n’est pas grave, j’avale, je lèche, je nettoie avant de sucer pour redonner toute sa superbe à une verge devenue flasque. L’engin repart de plus belle, doté, cette fois, d’une énergie et d’une endurance formidable. Je tiens toujours à ce que chacun visite mes trois attractions. Avec mon petit trou, je fais comme avec les poupées russes, je me les enfile de la plus petite à la plus grosse, mon dernier orgasme vient souvent du cul et de la chatte en même temps, le plus imposant calibre disponible m’enculant le plus loin possible.
Enfin, on me couvre de sperme, j’adore les bukakke, allongée ou à genoux, je caresse les bourses pour aider ces messieurs à jouir, je suçote les glands, je joue avec mes nichons ou m’enfonce un doigt dans l’œillet et c’est comme un feu d’artifice, ça gicle de partout, ça m’éclabousse, ça coule, c’est gluant, sucré, salé, j’ai du foutre de toute part et je suis heureuse d’avoir donné autant de bonheur et de plaisir.
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