J’offre une amante à mon homme
8 mai 2024Frida – 37 ans – Montmorillon, offre une amante à son homme parce qu’elle veut se dévergonder et essayer une histoire de sexe à trois.
Denis, mon mari, aime les blondes bien gaulées, avec des seins plutôt menus, des hanches fines et qui soient de véritables bombes sexuelles au lit. Je le sais parce que toutes celles qu’il a eues avant moi collaient à cette description et c’est mon cas également ! Je ne crois pas que la capillarité sensuelle existe, mais lorsqu’après dix ans d’union, j’ai eu envie de me dévergonder, j’ai pris une amante qui correspondait en tous points à ce tableau. Évidemment, je me suis fait surprendre à envoyer des messages à Charlotte, en réponse à plusieurs selfies qui la montraient sous toutes les coutures. Il faut dire que je suis folle de sa chatte et de son petit cul bien bombé. Voici mon histoire de sexe.
Après moult explications, j’ai eu la promesse d’être pardonnée si j’organisais un plan à trois. Après tout, je devais bien cela à mon mari et l’aiguillon de la jalousie, en prévision de le voir baiser « ma » charlotte m’a excitée si fort que je lui ai demandé de me prendre à la hussarde, debout sur la table de la cuisine ! J’ai eu le droit à un véritable déchaînement sexuel, le cul fessé avec les spatules en bois, rougi de ces claques à répétition, pénétrée intensément puis pour finir, copieusement enculée, mon fondement servant de réceptacle au flot de sperme brûlant de mon cocu si sexy.
Un orgasme filmé !
Quelques jours plus tard, nous nous sommes retrouvés tous les trois dans notre chambre d’amis, j’y avais aménagé un baldaquin improvisé avec un ancien rideau et installé, au bout du lit, un trépied muni d’un caméscope afin de filmer cette grande première.
Charlotte n’a pas hésité un instant, elle s’est lancée dans une pipe fluide et profonde, elle a l’air aussi douée en fellation qu’elle l’est en cunnilingus. Elle avalait le manche de mon homme tandis que ce dernier écartait le pan de mon string pour me tripoter la chatte. Je mouillais comme rarement, mon huile nappait les doigts de Denis qui ne quittait pas la bouche ourlée de ma maîtresse, devenue sienne pour l’occasion.
Je me suis relevée pour m’installer accroupie au-dessus du visage de mon époux, ma cyprine lui coulait dans la gorge et il a sorti sa langue pour me lécher, sa queue servant toujours de sucette à Charlotte qui gémissait tant la situation l’excitait ! J’ai joui sous les attentions linguales qui parsemaient ma foufoune et mon petit trou. J’ai lâché des cris très aigus et Charlotte a suspendu sa turlutte pour me regarder prendre mon pied. Je n’avais jamais atteint ainsi l’orgasme devant deux personnes, encore moins filmée, cela a transcendé mon extase !
Un orgasme éclaboussant
À l’invité l’honneur du premier tour de manège. Denis, ravi, a compris qu’il devait rester allongé sur le dos à ne rien faire. Charlotte a saisi son manche délicatement du bout des doigts, elle a écarté ses lèvres intimes et s’est laissé coulisser pour finir empalée jusqu’à la garde. De là où j’étais, je voyais nettement son anus rosé ainsi que le chibre de mon mari disparaître dans un autre vagin que le mien. J’étais étrillée par la jalousie et dévastée par une excitation sexuelle si forte que je suis partie pour la seconde fois de la soirée, cette fois-ci en giclant carrément, mes jets éclaboussant le visage et le torse de mon homme.
Charlotte s’est baisée elle-même sur le phallus dressé encore et encore, elle ne parvenait pas à jouir, l’œil de la caméra la bloquait sans doute, je lui ai donc proposé de se retourner. Elle a pris appui sur ses cuisses musclées, ses fesses bien fermes se sont soulevées en rythme et elle s’est remise à se foutre de toutes ses forces sur le pieu de Denis. Le bruit provenant de son entrejambe était sans équivoque, des « splouchs » étouffés et humides qui ne laissaient aucun doute sur l’état de sa petite moule, cette belle salope dégoulinait et lubrifiait le pénis de mon mari qui allait et venait dans le fourreau huilé. J’ai caressé ses seins, je l’ai embrassée, lui ai pincé les tétons et astiqué le clitoris, mes doigts avaient du mal à rester au contact de sa perle tant elle se déchaînait, un peu comme un cow-boy de rodéo. Elle a fini par avoir un orgasme magnifique, long et très intense. Je voyais distinctement son sexe secoué de spasmes involontaires provoqués par le flux du plaisir qui l’envahissait.
Denis a eu le droit à sa récompense lui aussi, deux bouches féminines et affamées lui ont léché le gland, les couilles. Nous nous sommes roulé une pelle et malaxé les nichons à sa demande pour l’aider à venir et il a éjaculé sur nos deux visages, chacune essayant de capter le plus de sperme possible pour l’avaler avec gourmandise.
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