Le fruit de la jeunesse

La rédaction 7 octobre 2021

Je m’appelle Jean-Pierre, j’ai 40 ans et j’ai une histoire porno à partager. Me croirez-vous si je vous dis qu’un jour, ma petite voisine m’a demandé de la déniaiser ?

La fougue de la jeunesse

Un soir, elle est venue me trouver chez moi. Elle avait rendez-vous avec « l’homme de sa vie » quelques jours plus tard, m’a-t-elle confié. Malgré ses dix-huit ans, elle était très peu au fait des choses du sexe et, le plus naturellement du monde, elle m’a sollicité pour la conseiller et l’exercer avant le jour J.

Interloqué, je lui ai tout d’abord opposé quelques remontrances de principe, mais les jeunes filles d’aujourd’hui sont très têtues ! Devant son insistance, j’ai fini par l’emmener dans mon étude pour lui confier un ouvrage d’éducation sexuelle. Au passage, j’en ai profité pour évaluer et apprécier son élégance naturelle, sa démarche gracieuse… Ses jambes puissantes, sa taille fine et ses fesses rondes m’ont empli d’allégresse, un vrai petit mannequin. Je ne sais quelle diablerie m’a saisi, mais je n’ai pas pu me retenir !

Je l’ai attirée contre moi pour l’embrasser fougueusement. Après ce moment d’égarement, tout est allé très vite. Elle s’est accrochée à mon pantalon et ne l’a plus lâché… J’ai ouvert ma braguette, et elle s’est agenouillée. Elle avait de la suite dans les idées, la petite voisine ! Le regard timide, elle a saisi ma queue entre ses doigts hésitants et, après quelques coups de langue, l’a embouchée. Elle y mettait une telle ardeur que j’avais déjà envie d’éjaculer.

Son jeune fruit

Un instant, ma bite était dans son tendre gosier, un autre, sa langue parcourait toute ma tige en lapant. Elle semblait impressionnée par la taille de mon anatomie, mais elle faisait les plus grands efforts pour m’avaler jusqu’aux couilles ! Ses lèvres chaudes et humides coulissaient le long de ma queue. Ahhh, j’allais jouir ! J’ai dû l’interrompre: « Tu t’y prends très bien de côté-là , ma chérie. On va essayer autre chose, si tu veux bien.« Je l’ai installée sur le canapé. Elle a levé les jambes pour retirer sa petite culotte blanche. Puis elle m’a regardé dans les yeux en souriant et a commencé à dégrafer son chemisier à fleurs. Elle ne portait rien en dessous. Je suis devenu fou de sexe ! J’ai écarté ses cuisses.

Devant moi, son sexe était ouvert : une rainure luisante et rosée, ornée de poils bruns. Elle était détendue, naturelle. Je n’en pouvais plus ! J’ai approché mon membre et je l’ai enfoncé doucement en elle. Aussitôt que je me suis trouvé en elle, elle s’est démenée comme une diablesse. Si bien que j’ai joui très vite. Je me suis retiré et je me suis branlé sur son ventre doré. J’ai éjaculé jusqu’entre ses seins, elle en avait même une goutte sur le menton. Elle l’a essuyée d’un doigt et l’a avalée avec un air gourmand.

Je lui ai dit qu’elle m’avait bien roulé avec son genre novice. Elle a confessé l’avoir déjà fait plusieurs fois, mais elle a ajouté: « Je voulais essayer avec toi avant de fixer mon rendez-vous de la semaine prochaine. C’était un fantasme ! »

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