Dans la cave de la voisine
4 octobre 2021Bilal, 29 ans, trouve sa nouvelle voisine très intéressante. Un jour, il l’accompagne jusque dans le sous-sol pour l’aider avec ses cartons…
Mon histoire de sexe a commencé il y a 2 mois, quand ma nouvelle voisine, Melody, a aménagé dans mon immeuble. Je l’ai aidée à monter ses cartons et depuis, quand elle a besoin d’un petit service, elle passe me voir. Moi, ça me va, étant donné qu’elle est ultra bonne. Brune, cheveux lisses qu’elle attache en queue de cheval, des yeux de gazelle, un bon boule… Bref, ma came.
J’ai enfoncé sa porte
Je trouvais que le courant passait bien à chaque fois qu’on se parlait. J’ai eu confirmation le samedi matin qu’elle me kiffait. Il devait être 10h quand Melody a sonné chez moi. J’ai ouvert, mal réveillé, en vieux jogging et torse nu.
Elle a eu l’air d’apprécier la vision : «Hey, salut beau gosse ! Désolée de t’embêter encore, mais je n’arrive pas à ouvrir la porte de la cave, et je voudrais descendre des affaires. » J’ai répondu : «Je passe un tee-shirt et j’arrive. ». Dans l’ascenseur, j’ai maté la bombe. Elle était en legging moulant et débardeur… Pas idéal pour bouger les cartons, mais trop sexy ! Elle aussi, elle me regardait avec un sourire qui en disait long. On sentait déjà la tension sexuelle entre nous.
Dans le couloir qui allait à sa cave, Melody est passée devant moi. On pouvait voir la marque de son string sous le legging, ça m’a rendu dingo… Arrivée devant la porte, elle m’a filé les clés. C’est vrai que la porte était bien coincée, mais en m’acharnant, j’ai réussi à l’ouvrir. On est entrés tous les deux.
Ça sentait le vieux à l’intérieur, et il y avait juste un matelas par terre. Melody m’a dit : «Ben merci ! Tu m’as encore sauvée», et elle s’est plaquée contre moi pour m’embrasser sur la joue. Mais moi, petit rigolo, j’ai tourné un peu la tête… Et on s’est embrassés sur la bouche !
Elle devait en avoir envie autant que moi, parce qu’elle a vite rajouté la langue et on s’est mis à se peloter. La meuf était vraiment très chaude : en même temps qu’elle me galochait, elle a passé la main dans mon jogging et s’est mise à masser mon gland qui ne faisait que grossir.
La chienne avait faim
Ça lui a plu : elle a commencé à gémir comme une petite chienne. J’ai baissé mon fut’ pour qu’elle puisse en profiter un max. Mais, au lieu de me branler, elle s’est agenouillée sur le matelas et a tiré sur le bas du jogging… Elle voulait me sucer, vraiment ? J’hallucinais totalement. Mais puisque c’était elle qui demandait…
Je me suis calé bien droit au-dessus d’elle et je l’ai regardée faire. Elle a attrapé mon chibre et a sucé le bout comme un bonbon. J’ai tellement kiffé que j’ai levé les yeux au ciel de plaisir. Puis elle a commencé à avaler de plus en plus loin. Au bout d’une minute, elle l’avait carrément au fond de la gorge et allait d’avant en arrière. Je n’en pouvais plus : j’ai attrapé sa longue queue de cheval et j’ai impulsé le rythme.
La situation était à la fois glauque et trop sexy. Cette cochonne à mes pieds, sur un vieux lit crado, dans une cave… On aurait dit un mauvais scénario de tournante. Mais en même temps, Melody pompait trop bien. Ça coulissait dans sa bouche et je n’avais qu’à la guider par les cheveux pour qu’elle fasse ce que je voulais. Plus vite, plus lentement, à gauche, à droite… Elle était ma marionnette. Et en plus, elle aimait ça ! Je voyais même dans ses yeux qu’elle avait envie d’aller au bout.
Quand j’ai été au summum de l’excitation, je lui ai susurré : « J’ai envie de te gicler dans la bouche… Ça te dirait ? ». Elle a juste fait « Hon ! Hon ! » et j’ai tiré sur ses cheveux pour qu’elle accélère. Allez, un dernier effort… Encore ! Oui ! Je l’ai plaquée des deux mains sur mon zob et je l’ai entendue s’étouffer à moitié. Puis il y a eu un gargouillis : Melody était en train d’essayer de reprendre son souffle, en avalant mon sperme en même temps.
Quand on est remontés dans l’ascenseur, je lui ai filé un vieux mouchoir que j’avais dans la poche. Elle avait des coulures de mascara plein les joues et le coin de la bouche tout blanc. On s’est « smackés », puis elle est rentrée chez elle. Juste avant de refermer la porte, elle m’a dit : « Peut-être que je peux repasser chez toi ce soir ? ». Il me tarde trop de voir ce que cette salope me réserve.