Jouir à l’unisson

La rédaction 14 décembre 2022

À mon départ de mon ancienne entreprise, mon employeur a organisé un karaoké pour fêter tous ensemble ce changement de carrière. Nous sommes allés dans un karaoké de la ville, où il y avait des coins isolés pour chanter tranquillement et s’époumoner sans déranger les autres salles et les autres clients. Notre box était plongé dans l’obscurité. Je m’appelle Vanessa, j’ai 43 ans et voici mon histoire porno.

Box privatisé

Il n’y avait là que quelques banquettes dans le fond et un écran qui prenait une bonne partie du mur. Nous étions tous très excités de nous adonner à ce petit jeu, qui nous faisait revisiter nos classiques. Il y avait Tom parmi les convives, un collègue que j’ai toujours trouvé attirant et sexy et que j’avais déjà draguouillé lors de fêtes d’entreprise. Mais je ne l’avais jamais vraiment complètement entrepris, car je suis mariée. J’aimais bien le petit jeu de séduction auquel nous nous adonnions sans qu’il ne se passe jamais rien, et je m’en servais pour alimenter mes fantasmes.

L’ambiance dans le karaoké était bon enfant et nous enchaînions les tubes. Je m’amusais énormément, je me sentais sexy dans mon tailleur noir et mon décolleté. Je trouvais des occasions de me rapprocher de Tom et je tâchais de me retrouver en duo avec lui sur les chansons un peu romantiques. Il jouait très bien le jeu. Nous hurlions ensemble dans le micro en nous regardant et en souriant, c’était assez jouissif. Nous étions clairement les plus chauds de la bande (peut-être parce que nous étions déjà enflammés l’un pour l’autre), à tel point que lorsque les autres ont commencé à partir vers minuit, nous avons décidé de payer une heure de plus. Nous avons continué les interprétations plus ou moins réussies de nos chansons préférées pendant que nos collègues ramassaient leurs affaires. 

Nous étions seuls en train de finir une chanson, quand la dernière personne a claqué la porte du box en nous jetant un regard amusé. Il restait encore une vingtaine de minutes avant la fermeture. Nous avons fini de hurler dans nos micros les dernières paroles de « Sous le vent » et, quand la chanson s’est terminée, nous nous sommes jetés l’un sur l’autre.

La tension avait été trop intense et je pense que, chacun de notre côté, nous étions déjà en train de nous faire l’amour mutuellement en pensées. Nous nous sommes roulés des pelles debout face à l’écran, puis je me suis retrouvée sur lui à califourchon sur sa braguette pendant qu’il me pelotait le cul et les seins. Son désir brûlait sur ses mains et sa bouche, il m’embrassait comme ça faisait longtemps que mon mari ne m’avait plus embrassée.

Je frottais mon entrejambe contre la sienne et le désir m’envahissait moi aussi. À tel point que je suis descendue entre ses jambes pour me mettre à le sucer tout en étant agenouillée sur le sol pendant que lui était assis sur la banquette. Sa bite était soyeuse et bien propre, j’aimais la sentir entre mes lèvres et sur ma langue. Elle réchauffait ma bouche et la remplissait de la sensation délicieuse de sa peau. 

La musique cachait nos ébats

Puis c’est lui qui m’a demandée de m’allonger sur la banquette et écarter les cuisses après avoir retiré mon string. Je portais des porte-jarretelles sous ma jupe crayon et des sous-vêtements en dentelle noire qui me font me sentir très sensuelle. Je me suis dit intérieurement que j’avais bien fait de mettre ça ! Sa langue glissait sur ma fente et agaçait mon clitoris en l’enduisant de sa caresse et de sa salive. C’était comme un petit vibromasseur sur ma chatoune, et encore meilleur même, car le contact de sa peau contre la muqueuse délicate de cet endroit si intime me faisait vraiment décoller. « Tu aimes ? », a-t-il demandé. « J’adore, tu m’excites tellement, je veux que tu me prennes », ai-je répondu en me mettant à quatre pattes sur la banquette. 

Le skaï faisait du bruit sous nos mains et nos genoux, il était moelleux sous le poids de nos corps. Tom m’a empoignée par les hanches pour se glisser en moi. Je portais toujours mes porte-jarretelles et ma jupe était remontée sur mon cul qu’il pouvait manier à sa guise. Mes seins étaient à moitié sortis de mon soutien-gorge, j’étais dans un état d’ensauvagement. Je cambrais au maximum les hanches pour recevoir sa queue du mieux possible. J’avais envie de me faire dominer pendant ces dernières minutes qui nous restaient et je criais mon plaisir de me faire baiser par le mec que j’avais désiré de façon cachée et interdite pendant toutes ces années dans cette entreprise. 

La musique tournait encore sur l’écran et couvrait les bruits de nos ébats. Tom s’est replacé en position assise sur la banquette et je me suis réinstallée à califourchon sur lui pour me pénétrer avec sa queue. Elle s’enfonçait bien en moi dans cette position et je n’avais qu’à remuer un peu les hanches pour la manier à ma convenance. Je durcissais mon périnée autour de sa tige et je la sentais ainsi plus fort encore. C’était moi qui le « prenais », moi qui le baisais et me baisais avec.

Il était facile pour moi de donner le rythme dans cette position et j’accélérais le mouvement pour bien prendre son chibre tout en serrant ma chatte de plus en plus autour d’elle et en frottant mon clito contre son ventre pendant que sa queue tapait dans le fond de mon vagin. Tom profitait que je maîtrisais le rythme pour embrasser mes seins. Il léchait mes tétons tout en gémissant et en étant essoufflé par notre baise. Je cambrais encore les reins et le buste pour avoir la sensation de son sexe bien profond et de sa bouche sur mes seins en même temps.

Enfin, j’ai penché la tête en arrière et j’ai joui en ayant cette image de nous en train de baiser devant mes yeux, me donnant un orgasme intense. Lui aussi a joui en me voyant jouir et ma fente bougeait autour de sa bite dans un dernier élan de désir, en même temps que nos orgasmes se consumaient, à serrer et desserrer, à vibrer des dernières gouttes de plaisir comme j’avais joui des dernières notes de musique…

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