Le remède miracle

La rédaction 21 août 2024

Josie, 62 ans, chauffe un jeune de 25 ans et avale tout le sperme jusqu’au fond de la gorge.

Quand je vois les pubs pour les régimes, ça me rappelle toujours une histoire de sexe extraconjugale au bureau en 2008, en mars plus exactement, je me souviens même que c’était le jour de ma fête ! À 54 ans, je suis encore bien foutue, mais il faut faire attention. Je fais un petit 38, néanmoins, avec mes 48 kg pour 1,50 m, il me faut impérativement perdre minimum un kilo. Ce matin, mon mari m’a reproché de m’habiller comme une « pute ». J’ai juré de me venger. À midi, Karim, l’homme à tout faire entre dans mon bureau. Les copines m’attendent au resto, mais à vrai dire, je n’avais pas trop envie de m’empiffrer encore une fois : ligne oblige ! Voici mon histoire de sexe.

La braguette magique

Cela fait déjà un certain temps que Karim traîne dans le secteur de mon bureau, juste pour mater. Et ce jour-là, je suis décidée. La bosse de sa braguette est prometteuse et à mon âge, faire bander un homme de 25 ans mon cadet, c’est vraiment la proposition qui ne se refuse pas.

Je me dirige vers lui et ma main part fouiller à l’intérieur de la braguette. Je masturbe une bite courte, mais large avec un gland épais et circoncis. Manifestement, il ne s’attend pas à ça et il jure à voix haute : « Quelle chaudasse ! » Afin de lui prouver que c’est vrai, je me penche pour le sucer et il en profite pour passer une main sous ma jupe puis dans ma culotte. Typiquement le genre de truc qui m’excite. Je stoppe illico presto ma fellation et je retire ma culotte : « Baise-moi, j’en ai envie ! »

Une levrette sportive

On est dans mon bureau exigu : juste une table d’ordi et une chaise. Mais, elle en a déroulé du câble la Josie, j’ai de l’expérience et c’est debout en levrette qu’il va me baiser. Cramponnée au dossier de la chaise, perchée sur mes talons, j’écarte les jambes en cambrant les reins et son gros membre n’a aucune peine à s’enfoncer dans ma chatte brûlante de désir. C’est gros, c’est dur, c’est bon. Karim en profite pour dégrafer mon corsage et peloter généreusement mes énormes nichons qu’il pince et martyrise. Je couine comme une chienne quand il m’ensemence en me traitant de tous les noms.

Après, je suce son chibre maculé de sperme et de ma mouille, en avalant tout. Ce n’est pas vraiment que j’aime ça, au contraire, le goût du sperme m’écœure… Cependant, juste parce qu’il me le demande, et que je ne sais pas dire non quand il s’agit de sexe, je prends tout à grandes goulées. Du coup, ce sperme coulant dans ma gorge me donne la nausée et je n’ai plus faim du tout. Impossible d’aller déjeuner, maintenant ! Je me remets au boulot, bien nourrie du foutre de Karim.

Mais le soir, je suis montée sur la balance… Et vous n’allez pas le croire, j’avais perdu 1,5 kg ! J’ai fait croire à mon mari que j’avais fait un régime protéiné et il a gobé le truc ce con… Alors, j’ai recommencé sans modération.

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« En écartant le slip diaphane, j’y ai glissé un doigt. Il s’est d’abord promené sur mes poils — les rescapés d’une épilation maillot. La peau autour était fine et douce. Et puis, il s’est inséré dans ma fente chaude, humide de fluide, en écartant les grandes lèvres. Que c’était agréable ! Je n’ai pu résister à l’envie de glisser ce doigt mouillé dans ma bouche. J’ai goûté mon jus de femme. Puis c’est mon slip, le dernier paravent de ma pudeur, qui a filé le long de mes jambes fuselées, à mes pieds. »Anne-Sophie, 27 ans. 

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« Elle gémissait à la fois du baiser et de la caresse. Je sentais sous mes mains les beaux globes charnus et élastiques, là  où se niche la féminité la plus totale. Je l’ai poussée dans sa chambre, j’ai défait son corsage et sa jupe. J’ai arraché son soutien-gorge pour dégager des seins moyens en volume mais agréables de forme et de douceur. Elle se laissait faire, la bouche ouverte, suant de désir. J’ai mordu son sexe à travers le petit slip. » Quentin, 41 ans.

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