Un naturiste m’a prise en levrette

Demande d’Asie …

Avec mon homme, Dan, nous avons soldé nos vacances entre mai et juin dernier. Une semaine à Porquerolles avec quelques incursions en bateau sur l’île du levant et ses coins naturistes. C’est là que nous avons croisé Jean-Michel. Ce célibataire frisant la soixantaine faisait bronzette et visiblement mon anatomie lui a tout de suite plu, son sexe s’est en effet dressé et je l’ai vu se toucher subrepticement lorsque je me suis penchée, lui présentant ma croupe bien ouverte avec ma chatte toute lisse et brillante d’excitation. Sa queue m’a interpellée, très courte, elle était d’un diamètre impressionnant. Dan, qui me connaît par cœur et qui est volontiers partageur, m’a immédiatement proposé d’aller lui parler.Voici mon histoire de sexe.

Décontenancé au début, il a fini par nous inviter à boire un verre sur son bateau, mais nous n’avons finalement pas pris l’apéritif !

À peine entré dans sa cabine, je me suis jetée sur le lit et je lui ai fait signe d’approcher tandis que Dan attrapait son portable et commençait à nous photographier. Lui aussi bandait dur, contraste de sa longue bite fine et courbée comparée au poteau épais que je m’apprêtais à accueillir dans ma bouche. J’avais mal anticipé l’effort que cette fellation allait me demander, le pénis avait encore pris du volume et il m’a fallu écarteler la mâchoire pour loger le vit entier en moi.

Le sel de l’eau de mer m’a tout de suite apporté beaucoup de salive, ma chatte était inondée, j’adore voir l’excitation de mon compagnon quand je me fais baiser comme une petite catin devant lui. Cela n’a pas raté, Dan affichait une érection XXL et effleurait son gland de sa main libre, il sait que cela me tue lorsqu’il se touche ainsi du bout des doigts. Je me suis appliquée néanmoins pour offrir une pipe de qualité à mon amant qui soufflait de plus en plus fort, le visage rubicond

J’ai couché avec un inconnu devant mon mec

J’ai écarté les cuisses et je me suis caressée, mon clito était tout sorti et je n’ai eu aucun mal à me faire jouir tout en pompant un Jean-Michel aux anges, mais un peu dépassé par le tour que prenaient les évènements.

Je ne voulais pas qu’il éjacule avant de m’avoir prise, j’ai donc abandonné ma sucette pour m’allonger face à lui, la chatte bien fendue au centre de mes jambes largement ouvertes. Il a léché quelques instants mon minou, mais s’est vite redressé pour me pénétrer. Cela tombait bien, je n’attendais que cela.

Quelle sensation ! Son chibre s’est engagé en moi sans difficulté, il est arrivé très rapidement en butée, ses couilles contre mon petit trou, mais ma grotte était remplie, mes nymphes tendues autour de la hampe massive. Il n’a plus bougé pendant quelques secondes, profitant de la satisfaction que lui conférait mon vagin très étroit, il a pincé les bouts de mes seins pointus – j’ai gémi, je suis très sensible des tétons – pour enfin lancer les va-et-vient tant désirés.

Son rythme de baise était abrupt comme j’aime, son pénis court ne lui demandait que peu de recul avant de m’enfiler à nouveau, ça entrait et ça sortait en clapotis évocateurs et Jean-Michel, connaisseur du plaisir féminin, a eu la bonne idée de me caresser simultanément le bourgeon de son pouce, en gestes légers et circulaires. J’ai décollé en quelques secondes, j’ai senti mes chairs se resserrer autour de cette bite aux dimensions impressionnantes, plusieurs spasmes, et l’orgasme a inondé tout mon corps. J’ai poussé d’infimes cris, griffant le bidon naissant de mon amant. Ce dernier est resté plaqué contre mon ventre, son pieu fiché le plus loin possible en moi.

Il a demandé s’il pouvait me baiser en levrette, je me suis directement mise en position, j’adore me faire prendre à quatre pattes. J’étais désormais mouillée et lubrifiée un maximum, il a repris le chemin de ma fente et m’a écarté les fesses pour bien regarder sa grume me perforer. Quand j’ai senti ses caresses sur mon petit trou, j’ai frémi. Il a essayé de m’enculer, en vain, mon anneau n’a pu accepter que son gland, mais j’ai pris un vrai pied à cette mini sodomie en me tripotant et en palpant la grosse paire de couilles de Jean-Michel.

Je me suis remise sur le dos, je voulais voir cette queue éjaculer ! J’adore observer les jets de foutre jaillir par saccades du méat de ces messieurs. Jean-Michel m’a baisé fort, très fort, son souffle est devenu court, il est sorti de ma chatte et, sans se toucher, a giclé avec une puissance phénoménale. La jute brûlante a maculé ma chatte, visqueuse comme j’aime j’ai goûté la semence crémeuse du bout des doigts, cela a déclenché l’orgasme de Dan qui a souillé le parquet !

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