L’époux de ma soeur est mon amant

Amandine, c’est ma cousine …

Je passais tranquillement la soirée chez Amandine, ma cousine et Jean-Christophe, son époux, l’ambiance était détendue comme toujours et la discussion a glissé vers le sexe. Très proches, nous nous sommes toujours tout raconté et je savais que « Monsieur » était bien monté et un amant doué.Je vous raconte mon histoire de sexe.

Quand j’ai dit que c’était le désert depuis plus de six mois dans ma culotte, les deux se sont regardés, complices. J’ai tout de suite senti qu’il se tramait quelque chose. Je les connaissais de temps en temps libertins, mais certainement pas à ce point-là !

« Allez, vas-y, elle n’attend que ça ! » a dit Amandine à Jean-Christophe.

Je n’ai pas eu le temps de dire ouf que ce beau mâle, sur lequel je m’étais masturbée un paquet de fois, venait me masser la nuque avec une dextérité due à de longues années de pratique !

Je me suis retrouvée à quasi à poil sans même comprendre ce qui se passait, un peu honteuse d’exhiber mon collant résilles qui ne cachait rien de ma chatte nue et sans culotte.

Jean-Christophe s’est déshabillé également et son gros chibre s’est glissé dans ma bouche, à genoux devant lui, je me suis mise à le sucer comme si nous étions seuls. Amandine ne ratait rien de ce qui se déroulait sous ses yeux, une main logée dans son legging, l’autre s’activant sur son portable, la chipie prenait tout en photo.

Lui me jetait des mots crus au visage, cela m’excitait de plus en plus, je me suis retrouvée à ramper sur le tapis du salon, sexe et cul exposés à ces petits vicieux. Mon amant bandait superbement maintenant, je me suis repu de son gros calibre en le léchant et en l’avalant avant qu’il n’enfile un préservatif et qu’il me demande de lui présenter ma croupe, à genoux sur un grand fauteuil en cuir. Il a déchiré mes collants à l’entrejambes, libérant l’accès à ma vulve palpitante.

La première pénétration a été intense, lorsqu’il a saisi que j’étais trempée, il m’a transpercée d’un coup ! Effectivement, son membre était large, je me suis sentie emplie, il m’écartait les lèvres et j’adorais cela !

Ma première pénétration anal

Une main sur ma nuque et l’autre sur mes hanches, Jean-Christophe a pu donner tout l’élan qu’il voulait à ses coups de boutoir qui me faisaient hoqueter tant ils étaient puissants. Mes gros seins ballottaient dans le vide, cela a semblé l’exciter à mort, il se penchait même pour voir mes loches partir en tous sens. Mes bouts bandaient et il s’en est saisi pour la plus douce torture que j’ai jamais subie, les pinçant avec juste ce qu’il faut de pression pour déclencher mon premier orgasme.

Après cet épisode, tout lui était permis, et Amandine avait raison, il avait et de la technique et de l’endurance ! Il m’a tuée !

Assis sur le grand fauteuil, j’ai dû faire un véritable gymkhana pour grimper sur lui, sa queue à la verticale, n’attendant plus qu’une chose, que je m’empale dessus. Mes cuisses étaient à leur point de rupture, mais j’ai tenu bon. Me soulageant en soutenant mon bassin, j’ai pu me baiser sur lui de la plus belle des manières. Je sentais mon sexe s’ouvrir, corolle rougeoyante sous l’œil exigeant de ma cousine, la coquine avait désormais les fesses à l’air et se branlait, moule bien en avant. Je n’ai jamais été attirée par les femmes, mais la voir se toucher avec autant d’impudeur a fait monter d’un cran ma température. Quand Jean-Christophe m’a foutu deux doigts dans le petit trou, j’ai profité de l’instant quelques secondes, mais n’ai pu retenir la deuxième déferlante. Ça m’a emporté d’un coup, tellement fort que j’ai crié alors que mon méat laissait fuser quelques jets transparents.

Persuadée que j’allais avoir droit à une trêve, je suis descendue de mon perchoir, mais à peine étais-je sur mes jambes que J.C. était derrière moi, il m’a invitée à me remettre en levrette, debout cette fois-ci. Mes seins ont joué les balanciers une fois de plus et j’ai senti une main féminine qui étalait du gel sur mon anus. Je n’ai pas eu le temps de paniquer à l’idée de prendre un tel morceau dans le cul, j’étais toute chamboulée de ce contact saphique et si doux, surtout lorsque des phalanges se sont introduites en moi pour lubrifier mon conduit.

La sodomie a commencé en finesse, le gland est entré et sorti de mon anneau je ne sais combien de fois avant que je n’absorbe la hampe tout entière. Une fois totalement en moi, j’ai eu le droit à une autre palpation des nichons, les secousses sont venues tout de suite après. Je n’ai pas réellement joui, tant tout cela était nouveau pour moi, mais Jean-Christophe s’est répandu en moi en râlant, m’arrachant un sourire de satisfaction !

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