L’origine du plaisir

La rédaction 16 juin 2024

Tony – 46 ans – Chateaudun, donne du plaisir à sa femme en essayant de reproduire les positions sexuelles des couples dans les films pornographiques.

Margot, ma copine, parle, pense, vit sexe. C’est son truc, depuis toujours. Elle m’a raconté, à nos débuts, toutes ses expériences sexuelles. Biberonnée au porno, elle a tout de suite voulu tout essayer dans sa sexualité et reproduire ce que les actrices faisaient à l’écran. D’ailleurs, son premier vrai rapport pénétratif s’est fait… par l’anus ! Il est rare qu’une jeune femme se fasse dépuceler le petit avant la chatte, mais elle avait l’intime conviction, après s’être masturbé le trou du cul avec un concombre, qu’elle était très portée sur le plaisir anal. Effectivement, elle ne s’est jamais départie de son appétence pour la sodomie et j’en conçois un plaisir sans borne. Voici mon histoire de sexe.

Les divines pipes de ma copine

De temps en temps, elle veut que nous immortalisions une baise, lorsqu’elle est très excitée comme sur ces quelques clichés pris à la volée. Je sais alors qu’elle est au firmament de sa libido et qu’elle n’a envie que d’une chose, que je lui prenne le cul.

Ma belle coquine s’est d’abord offerte à moi dans la tenue que je préfère lui voir porter, un porte-jarretelles et des bas blancs, sans soutien-gorge ni culotte. Je l’ai shootée ainsi, jambes écartées, visage et corps en extase, ses yeux fermés, perdue dans un de ces films qu’elle se passe dans sa tête et où les fantasmes les plus fous se bousculent et la font mouiller comme jamais. Lentement, j’ai assisté à la crue de sa jolie moule. D’abord sèches et veloutées, ses lèvres intimes se sont embuées jusqu’à laisser couler un sirupeux filet de cyprine huileuse. Je lui ai demandé de se toucher, ce qu’elle a fait avec beaucoup d’application. Ses doigts en ciseaux ont ouvert son abricot, un jus encore plus abondant en est sorti avant qu’elle ne s’enfonce plusieurs doigts dans le vagin et dans l’anus.

J’étais chaud bouillant, ma queue était dressée et aussi dur qu’un obélisque en granit, Margot l’a remarqué et s’est levée pour me rejoindre au pied du lit. Accroupie devant moi, ses lèvres se sont posées sur mon gland et sa bouche incandescente a accueilli tout mon vit. Ma compagne a un don pour les pipes, elle sait parfaitement doser la pression, le rythme des va-et-vient, l’alternance entre aspiration et branlette. J’ai pris deux trois photos et je me suis laissé porter par cette fellation experte. Mais la belle n’avait pas oublié ce pour quoi elle s’était ainsi apprêtée, elle a laissé un filet de salive couler dans la paume de sa main et, se rallongeant, s’est lubrifié le petit trou avec le majeur et l’annulaire. Ses deux doigts fichés dans l’anus, elle les a écartés afin de faire bâiller son anneau et l’assouplir quelque peu. Elle a enlevé bas et porte-jarretelles et s’est renversée sur le dos afin de me présenter la cible qu’elle désirait que j’atteigne avec mon gros chibre.

Une cible, son petit trou !

Lui prendre le cul dans ces conditions, c’est pénétrer une motte de beurre bien chaude et bien moelleuse, un plaisir vif, une expérience unique que de regarder mon pieu s’enfoncer doucement dans son petit derche qui m’avale entièrement. Elle n’aime pas que je sois doux lors de ces prémisses sodomites, au contraire, elle apprécie particulièrement que je sois viril, que mes coups de bite soient massifs et forts, presque agressifs. Je me lâche alors, la pilonnant, l’assommant par mes aller-retours de plus en plus enfiévrés. Jusqu’à ce qu’elle jouisse sans même se tripoter la minette. L’orgasme la transperce, ses yeux se révulsent, elle se pince les lèvres, son plaisir est, bizarrement, toujours muet lorsqu’il vient par derrière. Je sais qu’elle prend un pied dingue par les resserrements de son anneau sur ma queue et les tremblements qui gagnent petit à petit tous ses membres. Les derniers spasmes s’accompagnent toujours de son retour à la réalité, et elle dédie systématiquement cet instant à mon plaisir.

Elle me connaît par cœur et c’est sans un mot qu’elle se retourne et se met en levrette, le cul toujours bien écarté. Je choisis alors l’orifice dans lequel je veux me lâcher. Cette fois-là, ce fut dans sa chatte. Elle aime sentir mon gros gland lui écarter les parois puis, une fois bien calé dans son fourreau, que je lui chatouille les fesses avec ma toison pubienne fournie. J’ai saisi son joli boule à pleines mains et je l’ai burinée decrescendo, finissant par des mouvements quasi imperceptibles. J’ai senti mes couilles se resserrer, mon scrotum a été parcouru par des fourmillements et j’ai éjaculé tout au fond de sa grotte fuchsia. Plusieurs jets puissants qui ont ruisselé hors du vagin. La chance du photographe ? Arriver à capturer la petite goutte de sperme qui flotte comme en apesanteur !

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