Histoire de sexe : Orgie en colocation
24 juin 2020Karima et ses colocataires profitent d’un problème de chauffage en plein mois de novembre pour se rapprocher petit à petit…
Je m’appelle Karima, j’ai 21 ans, j’étudie le droit à Montpellier et voici mon histoire de sexe. Je suis en coloc’ avec trois super copines. On se connaît depuis le lycée. Moi, je suis la belle métisse à la peau caramel, bien dans ses courbes et dans sa tête. Sophie, la brune aux longs cheveux bruns, est celle qui me ressemble le plus niveau personnalité. Elle est extravertie et coquine. Samia, elle, est plus discrète, mais avec ses boucles folles et son air mutin, elle cache bien son jeu 🙂 Il y a aussi Carole, cheveux au carré et la plus jeune d’entres nous (19 ans seulement), timide mais toujours partante pour des soirées folles entre filles ! Ensemble, on a fait les 400 coups au lycée et on continue à bien s’amuser.
On vit dans notre super coloc’ depuis septembre. L’appart’ est vraiment cool, mais on a découvert un problème de chauffage en novembre, quand il a commencé à faire plus frais à Montpel’. Impossible d’éteindre le radiateur du salon une fois allumé… Il faisait 27 degrés dans la maison et on était obligées de se balader en petite culotte pour ne pas crever ! J’ai contacté notre agence immobilière, mais malgré mes messages, je n’ai pas eu de réponse. Jusqu’à un jeudi matin. Il était 8h et on venait de se réveiller. Toutes en culotte ou en serviette de bain, on prenait un café tranquille dans la pièce principale (un salon avec cuisine ouverte), quand on a entendu sonner à la porte. Je suis allée ouvrir après avoir enfilé un t-shirt, en pensant que c’était la factrice. Je me suis retrouvée devant un mec, la quarantaine, et ses deux collègues un peu plus jeunes.
« Bonjour, on est envoyés par l’agence pour le chauffage », a-t-il dit avec un grand sourire. Apparemment, il était content de tomber sur une jeune fille peu vêtue… Les deux autres étaient déjà en train de reluquer ce qui se passait derrière. Sophie, la belle brune, s’est levée de table, pas gênée de ne porter qu’un boxer en coton : « Ah ben c’est sympa de prévenir à l’avance ! Imaginez si on avait été à poils ! » Les filles autour de la table ont éclaté de rire, y compris la timide Carole, qui jetait des œillades vers les trois ouvriers.
La blague de Sophie a détendu l’atmosphère. Les types sont entrés et le plus âgé, qui devait être le boss, a enchaîné : « C’est bonne ambiance, chez vous. Vous nous faites un café ? » Samia s’est levée à son tour… en laissant tomber la serviette qu’elle avait nouée autour de la poitrine. Puis elle est allée jusqu’à la cafetière. Le boss s’est approché d’elle et a tendu la main vers son petit cul nu. J’ai retenu mon souffle, émoustillée et en même temps inquiète de la réaction de Samia… Elle s’est retournée vers le gars et lui a souri. Ça a été le signal. Carole s’est levée aussi et, d’un air de défi, a baissé sa culotte en dentelle. Elle avait une jolie minette bien bombée, que j’ai toujours trouvé sexy. Un des deux trentenaires l’a admirée quelques secondes, avant de rejoindre mon amie et de l’embrasser. D’abord doucement, puis de plus en plus profond… Carole s’est mise à gémir et le type a recourbé ses doigts, qu’on a vus disparaître entre les cuisses de notre jeune coloc’.
Pendant ce temps, le boss s’était mis à quatre pattes aux pieds de Samia, qui ne s’occupait plus du tout du café. Il a penché la tête et l’a enfouie entre ses fesses. Ma coloc’ s’est cambrée en s’accrochant au plan de travail… J’étais surexcitée, alors je me suis désapée pour m’offrir aux yeux de toute la bande. Le dernier type m’a rejointe tandis que je m’allongeais sur un des canapés et il s’est mis nu, puis s’est calé au-dessus de ma bouche…
Pendant que mes amies Samia et Carole gémissaient sous les caresses, j’ai entrouvert mes lèvres et j’ai tendu la langue vers les couilles de Monsieur l’ouvrier. C’est très vite parti en pipe, vu qu’il était très insistant… Les grognements et petits cris montaient de plus en plus fort, au point que Sophie, ma coloc’ grande gueule, ne savait plus qui mater !
Le boss, qui bouffait toujours le cul de Samia, a vu que son collègue prenait son pied avec moi. Il a profité de ma posture (toujours allongée sur le canap’) pour venir se faire un petit plaisir entre mes cuisses. Capote, salive, et hop ! Il était dedans. Voyant Samia abandonnée, Sophie s’est décidée à prendre la tête des opérations. Elle a installé les filles dans différentes positions et les a proposées aux ouvriers : « Approchez, voyez comme Samia la Bouclée est appétissante en levrette ! Carole a été bien doigtée, c’est à son tour de vous satisfaire ! Et ma bouche, elle vous plaît ? Venez donc y faire un tour ! »
On s’est mises à tourner entre les trois hommes. Au bout de cinq minutes, ça pompait, ça baisait, et au final, Sophie n’arrivait plus à orchestrer le bazar. On n’entendait plus que des « Vas-y ! Oui ! » surexcités, des claques sur le cul ou des bruits de gorge ! Sans vouloir me vanter, c’est moi qui ai eu le plus de succès, même si Sophie a eu sa part. Le patron lui a giclé dans la minette et un de ses employés l’a fourrée juste après, mais avec capote. Puis il est ressorti et il s’est fini sur mon ventre. Son pote m’a ensuite baisée en regardant le foutre qui me coulait dessus. Il s’est terminé de la même façon, pendant que mes copines applaudissaient et poussaient des « Bravo ! », comme si elles assistaient à l’arrivée d’une course un peu spéciale…
Une fois douché, le trio a réparé notre radiateur. On s’est échangé les numéros, histoire de faire grimper la température de la coloc’ à nouveau 🙂