À quatre pattes, maintenant !
5 décembre 2021Je m’appelle Hervé, j’ai 38 ans et j’aimerais partager mon histoire porno avec les coquins d’Union.
Un retour tant attendu
On ne baisait plus trop avec Félicie avant qu’elle n’obtienne une promotion professionnelle. Non pas que je sois attiré par les femmes qui gagnent bien leur vie, mais maintenant qu’elle voyage un peu partout dans le monde, à la recherche de nouveaux clients, et que nous nous voyons de moins en moins, notre désir l’un pour l’autre est remonté en flèche. Elle peut parfois passer deux semaines en dehors du nid, alors quand je la retrouve, c’est la fête !
Dernièrement, elle m’a annoncé partir pour un mois au Portugal. « Un mois c’est long mon amour, alors quand tu rentres, on pourra tester le fantasme de ton choix ! » m’avait-elle annoncé. J’étais comme un dingue, je lui ai dit que je profiterai de ces semaines d’absence pour élaborer au mieux mon scénario. Quelques jours avant son retour, je lui ai avoué que je m’étais toujours senti une âme de dominant et que je voulais qu’elle s’abandonne totalement à mes désirs pour quelques heures. Qu’elle devienne la petite salope dont j’avais toujours rêvé. Je lui ai aussi indiqué qu’elle devait passer le pas de notre porte les yeux fermés.
Quand elle est arrivée, tardivement, ce fameux vendredi soir, elle a posé ses bagages dans l’entrée en attendant que je vienne la débarrasser de son manteau. Sa tenue de working girl sexy, avec une jupe stricte qui masquait de soyeux bas noirs m’a mis dans tous mes états.
Je lui ai passé un masque sur les yeux et lui ai ordonné de me suivre en me tenant la main. Nos deux paumes se sont électrisées l’une à l’autre, c’était le premier contact que nous avions depuis si longtemps ! Une fois dans la chambre, je lui ai demandé de retirer ses vêtements et de conserver ses sous-vêtements et ses bas. Je la contemplais s’exécuter avec grâce et appréhension. Il n’y avait eu aucun « bonjour », aucun « comment vas-tu ? » entre nous, aucune marque d’affection ou de tendresse, nous sommes entrés dans ce jeu rapidement, brutalement, et cela ajoutait beaucoup de piquant.
Une fois à demi-nue, j’ai pris quelques photos d’elle, je me suis même laissé aller à relever son soutien-gorge et à baisser sa culotte. Je voulais qu’elle se sente observée, sans pouvoir avoir le contrôle de son voyeur. Étions-nous plusieurs dans la salle ? La pièce était-elle rangée et accueillante ? Elle n’en savait rien ! Et surtout, elle ne devinait pas que j’avais demandé à mon pote Grégoire de prendre également quelques photos de nos ébats, comme un deuxième œil. Que devait-elle éprouver à se retrouver comme cela, démunie, elle d’ordinaire tellement habituée à contrôler la situation ?
À quatre pattes !
J’ai ensuite retiré son masque et j’ai découvert ses petits yeux brillants. Elle voulait se jeter contre moi mais j’ai maintenu une certaine distance. « À quatre pattes ! Maintenant ! ». Elle a eu un petit regard d’effroi en voyant mon pote dans notre chambre. Elle n’avait pas l’habitude de s’exhiber surtout dans cette tenue, plus qu’indécente. Pour la rassurer je lui ai murmuré à l’oreille : « Ne t’inquiète pas, il va juste prendre quelques clichés, il n’a pas le droit de te toucher. Maintenant, à quatre pattes ! ». Elle s’est exécutée et ses deux trous m’étaient offerts.
Finalement la mise en scène, et son envie de me retrouver avaient autant attisé son désir que le mien, et sa chatte brillait d’humidité. J’étais complètement excité ! Je lui ai demandé de venir sur moi et de bouger son corps pour « faire durcir son homme ». Elle se tortillait dans une danse sensuelle, ma bite glissait sur son ventre, c’était tellement bon. Grégoire mitraillait nos ébats, tel un réalisateur de film X. Puis je l’ai prise en levrette, violemment. Je la contraignais à rester cambrée en la tenant fermement par les épaules et le haut des bras. Elle regardait l’objectif de Grégoire avec un regard bien appuyé.
Ma bite s’enivrait de mille plaisirs, la perçait de partout, mes couilles tapaient fort contre son petit cul. Je ne me retenais pas, je lui faisais confiance pour endurer mes assauts. Elle hurlait à gorge déployée. «Je vais me vider en toi ! » ai-je conclu en déchargeant en elle. Elle a retourné sa tête rayonnante vers moi. Ses cheveux, collés sur son visage, lui donnaient un air bestial. Elle m’a regardé, avec ce sourire de soulagement et de plénitude que l’on connaît tous après avoir baisé. Grégoire a pris un dernier cliché puis s’est éclipsé dans la cuisine en nous laissant seuls.
« Bonjour mon amour, ça fait plaisir de te retrouver ! » m’a-t-elle juste dit, en se levant pour aller récupérer ses valises.
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