Le peintre dé-cul-rateur

La rédaction 2 février 2019

Alain, 42 ans, peintre décorateur.

Chers interstron.ruistes, j’ai 42 ans et j’exerce l’un des plus beaux métiers du monde : peintre décorateur. Je vais de maison en maison repeindre des cuisines, des salles de bains, des salons pour des gens divers et variés. J’adore pénétrer dans l’intimité d’une maison, me l’approprier, et surtout, y laisser ma trace. Et ma trace, je l’ai bien laissée lors de mes derniers travaux !

J’avais pour mission de repeindre en bleu lavande toutes les pièces du premier étage d’une quarantenaire fraîchement divorcée, qui ne supportait plus de dormir entre les quatre murs qu’elle avait partagés trop longtemps avec son ex-fiancé. Il fallait qu’elle « tourne la page d’un bon coup de peinture », disait-elle. Elle était assez grande, devait bien frôler le mètre quatre-vingt et portait fièrement une belle tignasse blonde, comme je les aimais. En me laissant les clés de la maison et ses instructions : « Partez avant 19 heures, c’est l’heure à laquelle je rentre et je ne veux pas vous croiser, en particulier si je suis accompagnée », elle a immédiatement tourné les talons me laissant seul, ma bite et mon pinceau à la main durant de longues journées.

Je dois bien avouer que je m’ennuyais un peu, j’avais commencé par son énorme chambre d’amis, et il m’arrivait parfois, dans des moments de solitude extrême, d’aller fouiller dans les tiroirs de sa chambre trouver une belle pièce de lingerie. J’aimais tout particulièrement ses culottes en dentelle blanche, sales, qu’elle laissait parfois traîner en bord de lit, à croire qu’elle le faisait exprès.

Un soir, alors que je recouvrais depuis une bonne dizaine d’heures le mur blanc de son couloir en contournant soigneusement toutes les prises électriques et les lampes murales, je n’ai pu m’empêcher de m’accorder une pause coquine, sur son lit, dans sa propre chambre (je n’y avais pas encore mis un coup de peinture, je la gardais pour la fin). En cherchant bien, j’ai trouvé une petite culotte en coton avec quelques tâches rouges dessus, oubliée derrière la table de chevet, et j’ai commencé à me branler dedans. Je repensais à la façon qu’elle avait eu de claquer sa langue en me disant : « Partez avant 19 heures », son décolleté plongeant et ses talons hauts qui mettaient bien en valeur la cambrure de ses fesses. J’ai craché sur mon sexe pour bien le lubrifier et pour rendre le glissement contre le coton plus agréable.

Ça sentait la peinture à plein nez dans toute la pièce, je n’arrivais pas à me concentrer. J’ai fermé les yeux et ai murmuré des insultes à voix basse : « Salope, pute, tu l’aimes mon pinceau ? » Quand j’ai tourné la tête, j’ai vu ma cliente dans l’entrebâillement de la porte, la bouche grande ouverte. Je me suis arrêté immédiatement, comme foudroyé. J’ai jeté un rapide coup d’œil à ma montre. Merde, il était 19 h 15, je n’avais pas vu le temps passer. Elle n’osait parler ou bouger et gardait son regard fixé sur sa petite culotte en coton… ou sur mon dard que son apparition n’avait pas fait débander, je ne sais plus. J’aurais dû me cacher ou m’enfuir, mais curieusement, je n’ai pas bougé, espérant qu’elle me laisse seul…

À l’inverse, elle est venue vers moi et m’a sucé, sans un mot. Elle avalait ma queue comme si sa vie en dépendait, comme une droguée qui retrouverait sa came. Je me suis laissé faire, c’était délicieux, un peu surpris par le revirement de situation. Elle s’est mise à quatre pattes sur le lit et m’a ordonné : « Prends-moi, ça fait trop longtemps ! » Ni une ni deux, je l’ai enfilée sur son lit en levrette. J’y allais doucement au départ, j’avais peur qu’elle se vexe. J’étais quand même son employé, il ne fallait pas que je commette un seul faux pas ! Mais elle m’a dit : « Vas-y, défonce-moi ! Donne-moi tout ce que tu as ! » Alors j’y suis allé ! Je lui ai claqué le cul comme jamais, j’ai serré ses seins et je lui ai même craché sur l’anus. Elle en redemandait, ses yeux se révulsaient, elle hurlait en s’accrochant aux draps. En quelques secondes à peine j’ai joui, répandant ma semence sur ses draps bien tirés. Je ne pensais pas que je lui repeindrais aussi le lit.

Comme quoi, je suis vraiment un employé sympa qui n’hésite pas à faire quelques extras, embauchez-moi !

(Photo à la une : Getty Images)

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