Poupées russes en Thaïlande

La rédaction 4 décembre 2019

Mathieu, 43 ans

La dernière fois que je vous ai écrit, c’était en janvier ou en février 2010. Je venais d’arriver à Belfort et j’avais acheté votre revue. Je vous avais envoyé une photo avec une annonce. Depuis, je prends interstron.ru de temps en temps, car j’adore lire les récits de vos adeptes. Malheureusement, je suis actuellement en maison d’arrêt pour deux mois, faute d’avoir pu présenter un permis de conduire. Bref, j’ai décidé de vous raconter une belle aventure de vacances qui date d’il y a quatorze ans. Si cela donne des idées à des lectrices qui n’ont pas trop peur de ma situation, je serais content de les rencontrer en sortant.

Un soir de fête, j’ai fait un pari. Si je perdais, je devais partir en Thaîlande… Et j’ai perdu. J’y suis donc allé pendant un mois, en 2012. Dès notre arrivée à Bangkok, mes trois potes et moi avons filé au Raja Hotel, où j’avais une belle suite pour moi tout seul. Comme n’importe quel homme qui vient de débarquer là -bas, je me voyais déjà  en train d’embrasser les seins et les petits culs des Thaîlandaises.

La première nuit, je devais rejoindre mes copains qui avaient rencontré des filles et les avaient emmenées dans leur suite. Nous nous sommes bien lâchés sur l’apéro. J’étais tellement entamé que je suis ressorti de la suite tout nu, avec une boîte de préservatifs dans une main et une bouteille de tequila dans l’autre. Quelques portes plus loin dans le couloir, une grande brune m’a tiré par le bras en parlant anglais. Je ne comprenais rien et j’ai dû la faire répéter pendant qu’elle me faisait entrer. Elle avait une copine à l’intérieur.

Ces filles ! C’étaient deux bijoux de Russie qui allaient bientôt rentrer au pays. Nous avons bu un coup pour fêter notre rencontre, puis une des deux nanas s’est mise à se frotter contre moi comme si j’étais une barre de strip-tease. L’autre l’a bientôt imitée. Elles s’embrassaient en m’accompagnant vers le sol. Tout à coup, j’ai vu deux paires de lèvres s’abattre sur mon gland. À€ croire qu’elles se battaient pour gagner le manche ! La plus grande était très excitée, elle s’est posée sur moi et s’est laissé aller à des va-et-vient sauvages comme si elle n’avait rien fait depuis des mois. L’autre, qui avait une paire de fesses saisissante, voulait que je lui titille l’anus pendant qu’elle essayait de choper les mamelons de sa copine.

Elles ont échangé de place deux ou trois fois, puis celle qui avait des fesses bien en chair s’est arrêtée et elle est partie dans la salle de bain. La grande m’a guidé vers son lit et s’est allongée sur le ventre. Je me suis mis à  l’embrasser partout, à frotter mon sexe sur ses fesses, à le faire glisser entre ses jambes. Plus je le frottais, plus elle se soulevait.

Au moment où j’ai enfilé le préservatif, elle s’est mise à genoux. Elle en voulait ! Je me suis lancé dans un va-et-vient très rapide et, d’un geste de la main, elle m’a fait dévier dans son rectum. L’adrénaline est montée d’un seul coup pour nous deux et nous avons joui. Je peinais à reprendre mon souffle, mais je l’aurais bien refait tout de suite. J’ai donné des baisers moelleux à mes deux poupées et je suis reparti, toujours à poil, avec ma bouteille et mes capotes.

Les trois jours suivants ont été spectaculaires, et la folie a continué sur l’île de Phuket. Morale de l’histoire, quand on part pour un de ces pays où il y a beaucoup de sexe, il ne faut pas trop se focaliser sur les demoiselles locales. On peut très bien passer des nuits inoubliables avec des vacancières et y repenser tous les jours en espérant que cela se reproduira. Enfin quand la punition sera finie ! Je ne manquerai de vous raconter tout ça. Et merci à  interstron.ru pour la détente.

(Image à la une : Getty Images)

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