Minou rose pour blouse blanche

La rédaction 3 mars 2020

Louise, 30 ans

Je suis infirmière, et je travaille en entreprise. Tous les bobos des salariés, c’est pour moi !

Un matin, tôt, une jeune stagiaire toute mignonne est venue en consultation. Elle voulait que je la dépanne d’un anxiolytique. Comme je ne peux délivrer ce genre de médicament, je lui ai demandé de m’expliquer pourquoi elle prenait cela. Justine semblait très stressée. Elle a fini par m’avouer qu’elle avait peur d’avoir attrapé une infection sexuellement transmissible.

Quand je l’ai interrogée sur ses symptômes, elle m’a répondu avec candeur qu’elle avait souvent son string ou sa culotte mouillés, et qu’elle trouvait ça bizarre. Je lui ai demandé si elle avait une rougeur de la vulve, des brûlures… Justine a secoué la tête négativement. Ses joues étaient très rouges, je la trouvais craquante. Je suis lesbienne, alors les jolies filles me laissent rarement indifférente. Surtout quand elles ont une taille fine, un joli cul haut et une grosse poitrine comme la petite stagiaire qui se trouvait en face de moi.

J’ai voulu jeter un coup d’œil. Elle a ôté son jean en stretch et son string noir en fine résille, puis s’est allongée sur la table de consultation. Elle a ouvert les jambes, et une odeur forte et racée m’a prise aux narines. Sa petite lune, toute lisse, était intégralement épilée. J’ai écarté un peu ses grandes lèvres, pour découvrir deux fines lamelles de chair mauve qui dépassaient un peu. « A priori, il n’y a pas d’infection », lui ai-je soufflé d’une voix blanche, en tirant les deux petites nymphes qui dissimulaient son clitoris. Justine s’était mise à sécréter de la mouille en abondance. Mon cœur a fait un bond dans ma poitrine. La situation me collait le feu au cul.

La stagiaire m’a demandé si mouiller autant était normal. Je lui ai répondu que oui, que c’était même une preuve de bonne santé, et qu’il fallait juste qu’elle évite les matières synthétiques ou les jeans trop serrés. « Mais rassurez-vous, votre petit minou a l’air tout à fait sain. Il est même très joli », ai-je ajouté, consciente que je dépassais les limites de ma profession. Justine m’a expliqué : « Moi, je suis très complexée par mes petites lèvres qui pendent » en portant sa main à sa chatte. « Il n’y a pas de raison, je vous assure. » Elle a susurré : « C’est vrai, vous la trouvez jolie ? » Et dans son ton, j’ai entendu comme une invitation.

J’étais tiraillée entre la volonté de rester professionnelle et le désir bestial qui m’envahissait en voyant ce jeune minou humide. J’avais une envie dévorante de lui bouffer la chatte. Sans réfléchir. J’ai enfoncé mes doigts dans l’entaille de son sexe, et je lui ai stimulé le clitoris. Justine a fermé les yeux. J’ai continué à lui tripoter l’intimité, elle s’est cambrée, comme pour appeler mes doigts plus profond. Mon index a serpenté le long de son minou jusqu’à trouver sa grotte, et s’est enfoncé dans ce repaire accueillant. La stagiaire a gémi en se trémoussant. Je me suis penchée et j’ai léché sa vulve douce. J’ai déplissé ses longues nymphes du plat de la langue, puis suçoté son bouton de rose en y mettant des petits coups de langue de temps en temps. Mes mains sont allées lui agripper les seins par-dessus son chemisier. Enfin, j’ai entré d’un coup quatre doigts en elle, et je les ai agités vigoureusement.

Je ne me contrôlais plus, je voulais la faire jouir. J’y suis allée avec force et précision. Justine s’abandonnait, ses jambes pendaient de part et d’autre de la table surélevée, des soubresauts lui agitaient le bas-ventre, elle s’est mise à ahaner. Moi, je mouillais comme une folle, des décharges de désir me traversaient les entrailles.

J’ai sorti les doigts de sa grotte pour en enfoncer deux dans son petit cul, et là, ça a été l’explosion. Je me suis reçu des jets abondants de liquide transparent, sur ma blouse blanche, ma figure, mes cheveux. Incroyable ! Je me suis un peu reculée. Justine a rouvert les yeux et elle m’a regardée amoureusement. Je n’ai plus jamais rien refait avec elle, mais elle est souvent venue pendant son stage en consultation.

(Image à la une : Getty Images)

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