Une souplesse réjouissante

La danseuse m’a fait valser les valseuses !

Les mariages, quelle plaie ! Surtout quand on est célibataire. J’ai été invité par un collègue d’origine hongroise et un groupe folklorique est venu pour un spectacle. C’était le pompon ! Enfin … jusqu’à ce que je repère une brune magnifique, regard presque mordoré, des seins à en faireexploser son chemisier et une façon de danser qui m’a foutu une trique en plein milieu des invités qui hurlaient des encouragements en magyar ! Je vous raconte mon histoire de sexe.

À la fin du show, je suis allé fureter dans l’arrière-salle, la belle brune était là, seule. Je lui ai mimé « boire un verre » et j’ai eu l’air d’un crétin fini lorsqu’elle m’a répondu sans le moindre accent « Il y a du champagne ? »

Je me suis excusé platement et je lui ai rétorqué que oui, il y en avait de pleines caisses dans les frigos. C’était un restaurant d’hôtel, j’ai joué le tout pour le tout. « Pourquoi ne pas louer une chambre, on serait plus tranquille ? ». Elle m’a cueilli pour la seconde fois de la soirée en acceptant ma proposition sur le champ.

À peine étions nous au calme qu’elle a dégrafé son corsage, ses nibards étaient énormes avec de gros mamelons foncés qui bandaient déjà, ma queue était dans le même état, elle l’a vu et s’est empressé de me débraguetter pour titiller mon gland et me sucer. Je n’avais que mon téléphone sur moi, je l’ai sorti de ma poche de pantalon qui a bientôt fini par terre, comme tous mes vêtements !

Après m’avoir bien chauffé en léchant et en pompant ma pine un bon moment, elle s’est foutue à poil à son tour. Il n’y avait rien à jeter ! Jusqu’à ce que je m’inquiète de voir pendre un truc bizarre de son cul, j’ai craint que ce ne soit un tampon, mais surprise, c’était un plug anal ! Cette petite cochonne avait dansé toute la soirée avec ça dans le fion ! Elle a joué un moment avec le cordon puis l’a extirpé de sa cachette. J’ai regardé son œil de bronze s’épanouir pour laisser passer l’olive d’acier puis se refermer à moitié.

La générosité de Olga

Je me caressais la bite, elle est revenue vers moi à quatre pattes pour me lécher les bourses cette fois-ci avant de rejoindre un fauteuil. Pas farouche, la demoiselle faisait tout pour être sûre que je ne rate rien de son anatomie la plus intime. Olga écartait les cuisses, ouvrait ses fesses, me dévoilant ainsi une chatte totalement imberbe et un trou du cul qui, visiblement, ressentait un certain vide depuis l’éviction du plug.

N’étant pas homme à compter le plaisir féminin pour quantité négligeable, je me suis d’abord mis en devoir de rendre la politesse linguale qu’elle m’avait donnée. Là encore, Olga a su faire preuve de générosité, de ses index et majeurs réunis de part et d’autre de ses grandes lèvres, elle a fait éclore son coquillage rose et charnu. Sa vulve était trempée, brillante d’une mouille parfumée et de relents musqués qui provenaient de son petit trou affamé. Elle a avancé son joli derrière jusqu’au bord du fauteuil et a monté les pieds si haut qu’elle aurait pu toucher le mur dans son dos ! Les danseuses sont toujours d’une souplesse réjouissante !

Je n’avais plus qu’à plonger dans cette flaque de désir brûlant. Ma langue s’est enthousiasmée de sentir les chairs réagir au fur et à mesure qu’elle progressait dans les muqueuses moites. Olga gémissait de plus en plus fort, elle aimait visiblement mon petit jeu. Puis je me suis souvenu de ce que son anneau contenait quelques minutes auparavant, cela voulait certainement dire que la dame était en attente d’autres intromissions. Et c’était bien le cas !

J’ai sucé mes doigts et j’ai commencé par sa fente, c’est rentré comme dans du beurre, son vagin était déjà largement dilaté et il mouillait à foison, sa liqueur ruisselait jusqu’au trou plus bas, je l’ai investi aussi. Le ventre de la belle se gonflait et s’abaissait en même temps que mes va-et-vient et quand ma bouche a tété son bouton, elle a joui en expulsant tout !

Olga s’est alors offerte à moi, en levrette sur le lit king size, de nouveau impudique, ne me guidant en rien, me laissant libre de tout lui faire. Je la savais chaude comme la braise, j’ai quand même opté pour la pénétrer par devant pour commencer. Ses fesses fermes et bronzées mettaient en valeur un anus tout en camaïeu. Après l’avoir fait jouir une seconde fois, je n’ai plus opposé de résistance et je l’ai enculée. Je n’avais que peu pratiqué la sodomie jusque-là, encore moins donné un orgasme à une femme en la baisant par le petit. Cela a été chose faite quelques minutes plus tard, elle a hurlé en empoignant la couette et j’ai éjaculé tout ce que je pouvais dans son puits serré.

Vivement le prochain mariage !

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