L’ami de mon père

La rédaction 9 mai 2021

Ingrid, 24 ans n’a pour de rien et craque pour l’ami de son père très sexy.. qui en a 44 ! Elle aime ce gout de l’interdit, 20 d’écart c’est l’idéal !

Ce soir-là, j’étais chez un ami de mon père, Max, un quadra sexy. Marié, je précise. Moi, je suis une jeune brunette coquette de 24 ans. Il en a 44, mais je n’y peux rien, je suis obsédée par lui, je n’arrête pas de chercher à capter son attention et j’ai depuis longtemps nourri un fantasme pour cet homme. J’avais donc cherché un moyen subtil de le voir en privé. Ce soir-là, j’étais chez lui, car il devait me donner un appareil photo dont il n’avait plus l’usage, ce qui avait du sens car j’entamais alors des études de photographe. Je vous raconte mon histoire de sexe.

C’était un vieil appareil numérique, mais il était drôle, rose, un peu vintage, acheté à l’étranger. J’étais assez troublée de me retrouver seule avec lui. Il a voulu me montrer comment l’appareil fonctionnait et il s’est mis à me prendre en photo. C’était très marrant, parce que j’adore ça et j’ai vraiment plaisir à jouer des rôles devant l’objectif. J’ai sorti ma trousse de maquillage et je me suis peinturluré les lèvres de rouge. Il a pris des gros plans de mes lèvres peintes, on aurait dit que j’allais au carnaval, ça rendait bien, ça me faisait une bouche à croquer.

En faisant ça, il se compromettait déjà, et moi aussi. Je l’ai regardé, ces yeux vert d’eau sous ses mèches sombres, il était à tomber, et me regardait lui aussi avec la même insistance. Est-ce que je me faisais juste des films ou est-ce qu’il y avait vraiment quelque chose ? Je lui ai proposé de le maquiller aussi. Avec application, j’ai écrasé mon tube de rouge contre ses lèvres sensuelles et légèrement craquelées.

C’était un geste si tendre et il était si beau avec ses lèvres d’un rouge éclatant, son sourire à tomber. J’ai ri. Mon visage était tout contre le sien. J’ai essuyé un peu de rouge qui avait dépassé à la commissure de ses lèvres. Je ne me faisais pas de films, il me voulait lui aussi. Il a déposé des baisers sur mes épaules, sur mes bras, pour les tatouer de peinture écarlate. Il a embrassé mon décoletté. Je décollais. Est-ce qu’on allait vraiment le faire ? Est-ce que j’allais vraiment faire cocue une femme de quarante ans ? Il semblait bien que oui. Max a tracé amoureusement  des cœurs sur ma peau dénudée au bâton de rouge. Ces contacts me confirmaient mon immense attraction pour cet homme… J’étais dépassée. Il a fini par m’embrasser et nos bouches rouges se sont confondues.

C’était comme un jeu puéril, si simple, si ingénu, mais joué par des adultes. On en avait partout, tant l’empressement à nous dévorer nous étreignait l’un et l’autre. Il a photographié mon visage rougi par le maquillage et m’a embrassée avec d’autant plus de passion. Il m’a portée dans ses bras pour m’emmener dans sa chambre, m’a jetée sur le lit. Je me suis recroquevillée contre lui sur le matelas et j’ai pris sa bite qu’il tendait vers ma bouche avidemment. Elle glissait contre mes dents, mes lévres délicates. Entre mes jambes, un lac de feu… Ou d’eau ! J’ai glissé une main dans ma culotte pour me doigter comme j’aimais, mes doigts entraient en moi tandis que sa bite se frayait un chemin dans ma bouche. Mon rouge à lèvre s’étalait sur sa queue bien dure.

Rien à voir avec les corps hésitants et maigres de mes camarades de fac ! Cet envahissement de ma bouche m’exaltait. Dans ma culotte, ma main s’agitait, de plus en plus furieuse, provoquant une friction à deux doigts de la douleur. Sa bite dans mes lèvres, son visage sur moi, le rouge partout, l’appareil photo et mes doigts qui frottaient, qui frottaient. C’était un cocktail explosif. Il a pris le relai sur ma main en frottant ma chatte à son tour, caressant mon corps étalé de côté dans le lit, pendant qu’il se faisait du bien dans ma bouche, jusqu’à la jouissance. Moi aussi, j’ai joui, c’était le premier orgasme qui n’avait pas été provoqué par mes propres doigts, mais par la rugosité étrangère d’un corps nouveau, interdit, dangereux et tendre à la fois.

Le sperme avait coulé de ma bouche, se teintant de carmin. Nos visages sur les photos étaient étincelants du plaisir de cet instant de perdition totale. Son sperme avait le goût du tube de rouge. Il allait falloir trouver le démaquillant de sa femme.

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