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La rédaction 6 juin 2021

Roger, 58 ans est un libertin invétéré. Avec le Covid, le voila bien embêté mais c’était sans compter la surprise que lui ont réservé ses amis pour son anniversaire !

Je m’appelle Roger, je suis un mécanicien de 58 ans et libertin à mes heures perdues. Comme vous pouvez vous l’imaginer, mes habitudes de parties fines commencent vraiment à me manquer en ce moment. Mais c’était sans compter sur les petits chenapans qui sont mes amis et qui m’avaient réservé une surprise pour mon anniversaire. Je vous raconte dans cette histoire porno.

Ce soir-là, je me suis rendu chez mon meilleur pote Laurent, qui avait invité pour l’occasion trois couples. J’ai poussé la porte de chez lui et il était là, encadré de ravissantes inconnues. C’étaient ses connaissances libertines qui, comme moi, se languissaient des fiestas ! Ce n’était pas très sérieux, surtout que nous n’étions tous pas très jeunes, mais Laurent m’a certifié que tout le monde s’était fait tester et s’était calfeutré dans la semaine en prévision de ces bacchanales. J’étais estomaqué, et frétillant d’impatience ! Laurent avait tout prévu, buffet, lampes et bougies pour pouvoir avoir un éclairage tamisé, des coussins ou des matelas disséminés un peu partout. J’étais excité comme un pou !

Nous avons d’abord été à peu près civilisés, à siroter du vin et à manger le buffet. On a mis de la musique. Un couple de quadra est venu m’entreprendre. La femme, une beauté ronde aux longs cheveux noirs bouclés, avait des vues sur moi. Elle était bien appétissante, son mari sur ses talons à reluquer son cul et à guetter le moindre de ses battements de cils. J’avais à peine eu le temps de finir mon verre de vin qu’ils m’ont entraîné vers un coin matelas. Je me suis retrouvé assis là, disposé à subir toutes les envies de cette pécheresse qui allait me combler pour mon anniversaire.

Assis sur le matelas, je l’ai laissée me sucer à quatre pattes tandis que derrière elle, son mari passait ses mains sur son cul rebondi, le dévoilait, le palpait, l’embrassait ou lui donnait des fessées selon son humeur. Celle-ci se laissait malmener pendant qu’elle s’occupait de moi. Autour de nous, les autres couples avaient commencé à baiser et je voyais des hommes aux bites tendues commencer à entreprendre leurs femmes ou la femme du voisin.

Ce ballet des corps m’envoûtait et me faisait bander encore plus dur dans la bouche de la gourgandine. Elle continuait à se régaler de ma queue et l’homme derrière elle à se régaler de son cul, à tel point qu’il s’est mis à la prendre en levrette en même temps qu’elle me pompait. Je pouvais donc voir son cul relevé derrière elle et lui qui s’y enfonçait en regardant ce postérieur imposant et en le vénérant. C’était vraiment une belle image. Elle a fini par lâcher ma queue pour s’offrir totalement à son homme qui lui ramonait la chatte.

Moi, j’avais désormais jeté mon dévolu sur une autre femme qui m’a entraîné vers une banquette ou elle m’a laissé lui faire un cuni pendant qu’un homme debout à côté d’elle sur le sofa se faisait sucer par elle. Quel beau tableau ! J’étais vraiment comblé de pouvoir vivre une pareille aventure par ces temps sinistres. Je regardais autour de moi les autres personnes qui prenaient du plaisir à abolir toute forme de gestes barrières et c’était un plaisir pour tous les sens que de participer à cette orgie d’êtres humains bien vivants, suffisamment pour mettre toute précaution entre parenthèses, pour s’adonner à leur besoin vital de sexe, la source à laquelle ils avaient besoin de boire pour se ressourcer.

Des hommes prenaient des femmes en levrette sur les matelas, d’autres se faisaient sucer langoureusement par deux minettes en même temps, et des femmes les escaladaient en s’appuyant sur leurs mains et leurs genoux pour les diriger entre leurs cuisses. Les bouches étaient ouvertes sous la pression du plaisir qui se fraye un chemin dans tous les corps, ces corps haletants et pratiquant des poses acrobatiques pour se faire du bien.

De mon côté, un autre couple était venu s’occuper de moi. L’homme me branlait d’une main pendant que sa femme s’accroupissait sur mon visage pour que je la lèche, perchée sur des hauts talons, sa jupe relevée, son sexe qui descendait dans ma bouche prête à l’accueillir. La main de l’homme sur ma queue était précise et franche.

En voyant sa femme au-dessus de moi en contre-plongée, son sexe sur mon visage, les plis de ses seins généreux, cette proximité tellement bandante, cette vision de rêve associée aux saccades sur ma queue ont fini par en tirer tout le jus, prêt à se répandre tel le nectar d’un fruit, tant les stimuli étaient nombreux. J’avais déchargé, mais il y avait autour de moi tellement de nouvelles possibilités que j’espérais rebander bien vite et poursuivre cette nuit folle.

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