Le photographe immortalise deux nudistes !

Nudistes avec Lou, ma compagne, nous avons tous deux le culte du corps. Nous pratiquons pas mal de sports, mangeons sainement et adorons nous regarder lorsque nous nous envoyons en l’air. L’année dernière, pendant les vacances sur la côte ouest, nous avons dégoté une petite plage naturiste, encaissée dans une crique à l’abri des mateurs. C’est là que nous avons été abordés par Cédric, il était photographe et nous a montré son travail. Des corps, tous plus beaux les uns que les autres, nus, bien éclairés, mis en valeur, mais également des couples faisant l’amour. Nous étions bronzés, en confiance, cela nous a donné la même idée, au même moment.

La séance a eu lieu le lendemain, elle a commencé par un shooting somme toute classique, plus centré sur Lou et son charme gracile. Debout, allongée, prenant des poses de plus en plus coquines, puis à mes côtés sur le canapé. Doucement nous nous sommes détendus et embrassés, langoureusement, bercés par les déclenchements qui résonnaient dans la pièce.

Lou prise devant le photographe

Puis Lou m’a attiré vers elle pour me sucer, elle a d’abord joué avec ses lèvres sur mon frein, le recouvrant de salive, agaçant mon scrotum de ses ongles pointus avant de m’accueillir entièrement en bouche. Debout à ses côtés, la regardant gober mon offrande, j’ai saisi sa chevelure d’une main tandis que, de l’autre, je la doigtais de plus en plus fort. Son con était plein d’un jus qui affluait sur mes phalanges, qui lui coulait le long de la raie, j’en ai profité pour visiter son œillet serré. Elle gémissait tout en me pompant, nous avions oublié la présence d’un étranger qui ne ratait rien de ce qui se déroulait sous ses yeux.

Nous avons poursuivi nos préliminaires, Lou adore que je me faufile entre ses cuisses qu’elle remonte à l’équerre. J’ai tout loisir alors d’ouvrir ses pétales fragiles et de venir butiner son miel, elle ruisselle toujours beaucoup, mais cette fois, c’était une véritable rivière de mouille qui glissait dans ma gorge.

L’incandescence de notre désir nous a vite poussés à nous unir plus profondément, je suis venu entre ses jambes, ma queue était raide comme jamais, la fente lubrifiée m’a accueillie jusqu’à la garde d’un trait. Mes impulsions de reins, doux et lents au départ, se sont discrètement faites plus denses, plus rapprochées, jusqu’à se transformer en énormes coups de boutoir qui ont soulevé le corps de Lou et l’ont amenée à son premier orgasme. Mais ma chérie est gourmande et il était hors de question de s’arrêter en si bon chemin. Une traditionnelle levrette s’imposait, elle s’est donc retournée et installée, le popotin bien relevé vers moi.

Une levrette d’enfer

Cela me fait toujours le même effet de voir son sillon s’écarter, bordé par ses deux belles pommes bien fermes et sportives. De ses doigts, elle entrebâille ses lèvres secrètes et pousse sur son sphincter pour gonfler et rétracter son anus tout rose. Je me suis penché sur elle, son intimité était luisante tant sa cyprine était abondante, j’ai de nouveau laissé errer ma langue sur toutes les volutes et les plissures à ma disposition, sans me priver de lui administrer une sensuelle feuille de rose bien profonde ! Lou raffole de mes attentions rectales, elle adore m’offrir son joli fion et ne se lasse pas d’ouvrir amplement ses longues gambettes afin de me faciliter au mieux l’accès à cette zone enfouie.

Je me suis relevé et l’ai encore prise, cette fois en y mettant toutes mes forces. Son beau postérieur était parcouru de vagues, l’onde de choc de mes coups de boutoir animait ses fesses qui me rendent dingue. De mon pouce, je titillais son petit trou, largement préparé et dilaté par mes léchouilles, lubrifié à souhait. J’ai percé le sphincter sans difficulté, l’élargissant en pénétrations concentriques de plus en plus généreuses.

Dommage, elle n’a pas voulu que je l’encule devant notre photographe, mais je l’ai tout de même doigtée avec index, majeur et annulaire réunis, un bon diamètre pour lui éclater le fripé ! Elle aime tellement ça qu’elle a joui en libérant plusieurs jets de cyprine sur le canapé.

Puis Lou s’est remis sur le dos, c’est définitivement sa position préférée, elle a joué de son regard coquin, sur ma queue, dans l’objectif de l’appareil photo, de nouveau sur ma bite qui allait et venait de plus en plus vite dans son fourreau serré. Elle a capté mes premiers signes de plaisir et a gémit plus fort pour me pousser à éjaculer sur elle. Je suis sorti en hâte et me suis astiqué de toutes mes forces, mon foutre a giclé avec une puissance incroyable pour aller s’écraser en flaques crémeuses sur les abdos en béton de ma compagne.

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