J’ai godé la fiancée

La rédaction 27 avril 2019

Jacques, 47 ans, Marseille.

Salut interstron.ru, je suis sûr que tes lecteurs ont déjà assisté à des enterrements de vie de jeune fille. J’en ai fait un l’an dernier et j’ai vu ce que c’était de l’intérieur !

Math et ses copines étaient bien éméchées quand je les ai croisées du côté du Vieux-Port. Elles vendaient des capotes pour payer le resto. Quand Mathilde m’en a tendu un, j’ai décidé de lui filer un euro parce que je la trouvais marrante. Ses potes l’avaient attifée comme un sac : des bas, une sorte de peignoir moche, des bijoux brillants et un gros gode qu’elle tenait comme un sceptre. Heureusement qu’elle était jolie au naturel, sinon, je ne l’aurais même pas regardée. J’ai filé ma pièce et là, Mathilde a commencé à rechigner : « Mais vous m’avez acheté ma dernière capote, et on n’a pas assez de sous pour le restaurant… » J’ai saisi ma chance et j’ai lancé : « Je vous propose de passer chez moi, c’est à côté, je vous donnerai une boîte ! » Les filles ont commencé à roucouler et à pousser des petits cris d’encouragement. Mathilde, qui devait vraiment être beurrée, a couiné : « C’est une bonne idée, je viens ! »

Dix minutes plus tard, elle était sur mon canapé à siroter une bière fraîche, pendant que j’allais chercher les capotes. Je me suis assis à côté d’elle avec la boîte et j’ai regardé le gode qu’elle avait posé sur ses genoux. Elle a rigolé : « Il est vibrant, vous savez ! » J’ai attrapé le jouet et je l’ai enclenché. Mathilde a souri. Elle était vraiment mignonne, alors j’ai tenté le tout pour le tout : j’ai approché le gode de sa bouche tout doucement.

J’ai vu dans son regard une lueur bizarre et elle a entrouvert les lèvres. J’ai glissé le gland en plastique entre ses lèvres et je lui ai fait sucer tout doucement. Ce petit jeu à duré plusieurs minutes : j’enfonçais et je retirais le gode, et Mathilde le pompait comme si c’était une vraie bite. Au bout d’un moment, je lui ai demandé si elle ne voulait pas qu’on essaie autre chose. La bouche pleine, elle a hoché la tête. Je l’ai donc installée en levrette et j’ai relevé son peignoir puis baissé son slip.

Sa chatte était superbe, on voyait qu’elle n’avait pas beaucoup servi. Quant à son cul, il avait l’air plus serré que celui d’une vierge… J’ai commencé par la lécher comme il faut, jusqu’à ce qu’elle soit très excitée. Elle faisait des petits bruits, comme si elle ne voulait pas qu’on l’entende en train de tromper son fiancé. J’ai pris le gode, bien décidé à la faire crier fort, et je l’ai rentré petit à petit. La chienne a commencé à onduler, jusqu’à ce que la bite en plastique soit bien enfoncée dans sa chatte. Mais elle couinait toujours, alors j’ai essayé le trou du dessus.

Après lui avoir craché sur la rondelle, j’ai enfoncé le bout du gode dans son cul, très lentement. Elle m’a demandé d’y aller doucement, mais en même temps, elle reculait sa croupe, pour bien montrer qu’elle en voulait plus. J’ai poussé plus fort et, au bout d’une minute, elle a eu l’engin bien calé entre les miches. Mathilde beuglait maintenant comme il fallait, surtout dès que je poussais le gode au fond. N’y tenant plus, je l’ai retiré d’un coup. Il est sorti avec un bruit mou, et j’ai pu contempler sa rosette ouverte. J’ai sorti mon chibre et je l’ai enfoncé sans hésiter. La chienne était étroite comme une pucelle, quel régal !

J’ai enculé Mathilde comme ça pendant un long moment, jusqu’à ce que ses cris énervent les voisins d’à côté : ces peine-à-jouir ont commencé à cogner contre le mur ! Pas de chance pour eux, se savoir écoutée a excité Mathilde encore plus : elle est partie dans des hurlements à faire éclater les fenêtres. Elle a fini par jouir mais a continué à pousser des cris, comme si elle n’arrivait pas à redescendre. J’ai sorti mon vié et je l’ai foutu dans sa bouche. Elle l’a enfin fermée et j’ai laissé couler mon foutre entre ses lèvres, soulagé. J’ai revu Mathilde une seule fois, juste avant son mariage. Cette fois, elle s’était fait belle et avait mis de la jolie lingerie. On a pu tester plein de trucs, comme le fist et la double pénétration avec son gode, qu’elle avait laissé chez moi. Depuis, elle s’est rangée avec son mari, mais je suis presque certain qu’elle pense à moi quand il la tronche.

(Photo à la une : Getty Images)

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