J’ai toujours préféré au voisin les voisines
6 août 2025Jonathan, 21 ans, a une voisine tellement sexy, qu’il va chez elle pour aller faire plus ample connaissance…
Jonathan nous fait part de son histoire de sexe amateur !
Je m’adresse en particulier à tous ceux qui vivent en appartement, qui connaissent bien les problèmes de voisinage et la vie en communauté. Ils comprendront très certainement le fantasme que j’ai vécu.
Je m’appelle Jonathan, j’ai 21 ans, et j’ai quitté mes parents en début d’année. Ils habitent en province et j’avais besoin de faire mes preuves dans la capitale.
J’ai toujours voulu être comédien, pour l’instant je gagne ma vie en étant serveur à mi-temps, mais on me trouve plutôt bon dans les différents castings que je passe.
Bref, niveau thune, je ne suis pas richissime, et j’habite donc dans un grand studio en région parisienne. Mon chez-moi est plutôt propre et assez spacieux, même si je n’aime pas trop le quartier, j’ai surtout un vis-à-vis terrible sur le balcon juste en face de chez moi.
Une voisine de rêve
Et devinez qui habite en face ? C’est comme dans la chanson de Renan Luce, une vraie bombasse !
Je la voyais souvent accrocher sa petite lingerie fine sur l’étendoir qu’elle dépliait qu’à moitié, faute d’espace. Je l’ai d’ailleurs d’abord découverte à travers ses vêtements, sans savoir à quoi ressemblait leur propriétaire.
Petits boxers en coton, strings en dentelles, brassière de sport… Tout me rendait dingue ! Quand j’ai vu à qui j’avais affaire, j’ai cru défaillir.
Elle avait un corps sublime, fin, élancé, et un visage tout à fait adorable.
J’avais essayé quelques fois de lui faire des signes de la main, des gestes amicaux, hein, pas des trucs de lourd. Parfois elle y répondait timidement, parfois pas du tout, elle m’ignorait totalement.
Je me couchais tous les soirs en pensant à elle. Je guettais même son heure du coucher, quand la lumière de son studio s’éteignait.
Ensuite je me branlais en pensant à elle et à sa lingerie, et en me disant qu’elle devait faire la même chose dans son lit. Dans ses petits pyjamas ou nuisettes que je voyais parfois sur l’étendoir.
Faire le premier pas
Ça a l’air un peu pathétique dit comme ça… mais j’ai quand même osé un jour aller lui parler.
J’avais remarqué qu’elle passait tous ses dimanches chez elle, j’ai donc pris mon courage à deux mains un week-end et j’ai frappé à sa porte.
(J’ai dû laisser un de ses voisins m’ouvrir en passant derrière lui, prétextant que j’avais oublié mon code. Ce n’était pas la même entrée.)
Bref, une fois qu’elle est apparue devant moi en petite tenue, je n’avais plus de mots dans ma bouche pour expliquer ma présence. J’ai balbutié un peu n’importe quoi.
Et heureusement, sans que je ne dise une phrase, elle m’a dit « Moi aussi, je te trouve craquant ! » C’était complètement fou ! Jamais je n’aurais imaginé qu’une fille puisse avoir le courage de dire ses mots.
S’en est suivi une baise effrénée, d’abord sur son canapé puis dans son lit. Elle me regardait de ses petits yeux adorables alors que je lui enfonçais ma queue dans la chatte ou dans sa bouche. Elle avait l’air d’adorer ça, de prendre vraiment son pied.
« Éjacule sur ma bouche ! » m’a-t-elle même ordonné voyant que j’allais jouir. Je lui ai balancé toute ma sauce sur la joue (je n’ai jamais été bon aux jeux de tir, et je me suis loupé) et ça l’a beaucoup fait rire !
Nous avons même pris une photo pour immortaliser la situation, ainsi que d’autres, lors de nos futurs rendez-vous.
Parce que – oui – des rendez-vous, il y en a eu d’autres, beaucoup d’autres.