Voisins adorés
13 octobre 2019Fati, 37 ans
Je m’appelle Fati, et j’habite à Montauban avec mon mari Bernard. Nous vivons ensemble depuis deux ans, mais c’est de ma vie d’avant dont il sera question ici.
J’avais 35 ans, mariée à un homme séduisant mais insipide, deux enfants, travaillant à mi-temps dans une agence immobilière comme secrétaire commerciale. On dit de moi que je suis une belle brune qui respire la sensualité, je suis longue et fine avec quelques rondeurs, toujours habillée assez moulant mais avec élégance. Si, personnellement, je devais mettre un point en avant, je parlerais de mon sourire et de mes yeux clairs derrière de jolies lunettes rondes !
Nous habitions une petite maison dans la banlieue de Montauban, et de nouveaux voisins venaient d’emménager. Il s’agissait de Yannick et Denis, jeune et charmant couple d’imprimeurs homosexuels d’une trentaine d’années. Dès que j’ai fait leur connaissance, quelque chose m’a troublée, leur beauté, leur féminité, leurs rires, leur délicatesse. Je dois avouer que j’ai ressenti une certaine jalousie par rapport à leur amour, et comme une envie de m’immiscer dans leur harmonie.
Un après-midi de printemps, je traînais sur la terrasse et, les voyant derrière la haie, je les ai appelés pour boire un verre. Nous nous sommes installés au salon et, l’alcool aidant, la discussion a rapidement fini par s’orienter sur le sexe. Discrètement, Yannick, le genre grande brute aux cheveux clairs très courts, lorgnait de plus en plus sous ma jupe plissée noire. Quand je m’en suis rendu compte, un petit diable s’est emparé de ma conscience et, l’air naïf, je me suis trémoussée pour que Yannick puisse subrepticement voir le blanc de ma culotte. Feignant de chercher mon verre, j’ouvrais légèrement mes cuisses. Denis a compris le jeu lui aussi, et bientôt, leurs regards se sont fixés sur mon entrejambe.
Le téléphone a sonné et m’a sorti du rêve. Mon mari m’appelait pour me dire qu’il ne rentrerait que dans deux heures et passerait chercher les enfants. Il m’a demandé ce que je faisais, je lui ai répondu que je bouquinais.Yannick et Denis ont souri et, pendant que mon époux me racontait sa journée, ils se sont assis à côté de moi et ont caressé mes jambes nues. Du regard, je faisais mine de me vexer de leur audace, mais j’oubliais également de refermer mes cuisses. Un doigt mutin de Yannick a glissé sur ma culotte, me branlant entre les lèvres… Mon mari parlait, parlait, et mes deux amis se sont occupés de mes seins. Mon chemisier gris clair n’a pas résisté longtemps à leurs doigts agiles, mon soutien-gorge non plus. Une main s’est glissée sous ma culotte et immédiatement, un doigt est entré dans ma grotte humide. Leurs deux bouches me suçaient les seins. J’avais de plus en plus de mal à écouter mon époux.
Yannick s’était mis debout devant moi, a sorti de son jean une superbe verge en érection et a commencé à se branler doucement. J’ai dit au revoir à mon cher mari et, au moment où la communication a été coupée, une bite est entrée dans ma bouche. Je l’ai sucée comme une forcenée, bavant, grognant comme une salope. J’avais envie de les exciter, mes petits homos, de leur montrer qu’une femme pouvait aussi être un animal sexuel. Je me suis retrouvée à quatre pattes sur le canapé, la jupe noire retroussée et la culotte à mi-cuisses, avec maintenant la bite de Denis dans la gorge. Yannick me bouffait le cul et, avec sa langue agile, il tentait de me sodomiser. D’une main, j’écartais mes fesses pour l’encourager. Je sentais que ma chatte, même parfaitement lisse et entretenue, leur faisait moins d’effet que mon cul.
Denis m’a relevée et m’a basculée sur la lourde table de la salle à manger. La poitrine écrasée sur le meuble, j’ai senti une queue me perforer l’anus. Après quelques va-et-vient timides, le rythme s’est accéléré, et je me suis fait pistonner bestialement ! Sans dire un mot, chacun leur tour, ils m’ont enculée avec une douce violence. Je sentais la pression monter. Ils arrivaient de moins en moins à se contrôler. J’avais envie de sperme. Au moment où Denis est sorti de mon cul, je me suis retournée et je me suis accroupie devant eux deux, les cuisses bien écartées et la culotte aux chevilles. D’une main, je me branlais la chatte. J’ai ouvert grand la bouche pour goûter à leur foutre chaud. Ils se sont masturbés et ont giclé en même temps sur mon visage. Mes lunettes étaient maculées de sperme crémeux. Je tremblais tellement j’avais joui. Ils m’ont souri et ont léché leur foutre sur mes joues et mes seins.
Je suis allée me rafraîchir. Quand je suis revenue de la salle de bain, ils étaient partis. Ils m’ont raconté plus tard qu’ils avaient continué tous les deux, entre hommes, et que leur plaisir avait été immense. Régulièrement, ils sont repassés à la maison. Nous nous téléphonions pour trouver des créneaux horaires sûrs et pour élaborer des scénarios. Je me souviens de la fois où ils m’ont pris la chatte. C’était une première pour Denis, mais il m’a avoué qu’il préférait mon cul ou ma bouche… Moi aussi ! À une autre occasion, j’ai joué la belle au bois dormant, et ils ont usé et abusé de ma gorge et de mon anus pendant que je faisais semblant de dormir. Enfin, une autre fois, et cela a été la dernière avant leur déménagement, ils ont invité un ami, et j’ai été, pendant tout un après-midi, prise par tous les trous…
(Image à la une : Getty Images)
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Voisines en chaleur, justement !
« Je l’ai pénétrée violemment, les bruits que faisait mon sexe dans son intimité m’excitaient énormément« Malik
« J’ai continué à me tirer sur le nœud pendant que la brune préparait sa bite. Un peu de lubrifiant, quelques petites claques sur le cul bombé de la blonde et hop ! Elle l’a pénétrée d’un coup » Gérard
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Sarah
Le rêve… un fantasme ultime.
Plus qu’à chercher les bons garçons… ton témoignage me fait rêver et je me suis caresser en le lisant…-
Martial
Je veux bien
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Martial
Je kiffe