La cravate du notaire

La rédaction 7 décembre 2020

Aline, 46 ans, est mariée mais s’octroie une petite incartade avec le notaire très sexy qui s’occupe du dossier de sa nouvelle maison…

Je voulais vous raconter cette folle histoire de sexe que j’ai vécue, il y a très peu de temps. Bien que je culpabilise encore un peu, c’est important pour moi de pouvoir poser des mots dessus.

Avec mon mari, nous recherchions un petit coin de verdure loin de la ville. Le confinement avait été un catalyseur dans notre envie de retrouver la campagne et de sortir de la folle vie quotidienne de la région parisienne.

Nous avons donc enchaîné les visites dans la Normandie, et à la troisième bâtisse visitée : gros coup de cœur ! C’était celle-là dans laquelle nous nous voyions vieillir tous les deux, avec nos deux ados bientôt grands. Nous avions tellement peur qu’elle nous échappe que nous avons été très réactif pour la signature du compromis de vente et de toutes les étapes qui vont jusqu’à l’achat final.

Pour l’opération immobilière, nous avons été accompagné par un notaire qui m’avait été chaleureusement recommandé par une amie. Elle m’avait précisé à son sujet : « en plus d’être ultra réactif, ce qui est un luxe dans la profession, il a un cul à tomber ! ». Nous avons fait quelques rendez-vous à trois, avec mon mari, pour qu’il nous présente ses projets de compromis et la partie administrative, souvent rébarbative, qui jalonne l’achat d’un tel bien.

Mon amie avait vu juste : non seulement il avait un cul à tomber, mais surtout il avait ce regard vif, ce sourire enjôleur irrésistible, ses commentaires étaient très pertinents et il se montrait d’une patience infinie sur le traitement de notre dossier.

Grâce à lui, nous avons signé en trois mois à peine, et mon mari a décidé de l’inviter dans un restaurant chic près de notre ancienne maison (qui était alors en plein chantier, envahie par les cartons) pour le remercier autour d’un dîner.

Quelques heures avant le dîner, mon mari m’envoie finalement un SMS pour me prévenir que son closing s’éternisait (il est avocat en droit des affaires), et qu’il en aurait certainement pour une partie de la soirée. Je me suis donc retrouvée en tête-à-tête avec Bertrand, notre super notaire, autour d’une belle entrecôte saignante et d’une bouteille de bon vin, apprêtée comme si j’allais à un rendez-vous galant.

Par habitude, et un peu sous la pression de devoir tenir la conversation sans l’appui de mon mari, je l’ai appelé “maître” et je l’ai vouvoyé au début du dîner et, bien qu’il m’ait suppliée de le tutoyer et de l’appeler par son prénom, comme notre dossier fut clôt, je continuais ce petit jeu par provocation… je crois bien que cela m’excitait un peu, aussi.

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Cela l’a finalement amusé et nous avons conservé le vouvoiement et les politesses excessives tout le long de dîner. Il m’a parlé de son parcours professionnel brillant, je lui ai parlé de cette nouvelle maison qui était pour moi une promesse d’évasion dans un quotidien stressant. Il m’a avoué rêver lui aussi d’évasion. Alors, je lui ai proposé de me suivre dans ma maison remplie de cartons, tant que mon mari n’était pas encore rentré.

Je ne sais pas pourquoi ce besoin de prendre des risques inouïs me travaillait les tripes, certainement ce changement de vie, et la certitude que les petites escapades infidèles seraient assurément plus difficiles à masquer à la campagne. Je voulais mon bouquet final avant le calme absolu.

Maître Bertrand m’a donc accompagnée, un peu gêné, conscient des risques qu’il prenait lui aussi si mon mari rentrait plus tôt. Non pas professionnellement, mais personne n’aime être l’amant caché dans le placard qui risque sa peau. Je crois que ce parfum d’interdit a augmenté de façon considérable notre excitation commune.

Arrivée à la maison, je mouillais comme une folle, serrée dans mon body de dentelle. Je l’ai balancé sur le canapé, après avoir bazardé les costards qui traînaient dessus, et je me suis lancée dans un show digne d’une strip-teaseuse de compétition. J’avais envie de me sentir femelle, salope, animale. J’avais envie qu’il se souvienne de ce moment à jamais, comme une façon de marquer mon passage avant mon retrait de la folle vie parisienne.

Doucement, en conservant son regard plongé dans le mien, alors que je me trémoussais devant lui, il a débraguetté son pantalon et a commencé à se masturber devant moi. Calmement, comme des applaudissements discrets à ma prestation totalement improvisée. Sa queue, bien veinée, un peu poilue, et déjà bien dressée disparaissait et réapparaissait au rythme de ses va-et-vient. Mes yeux étaient braqués sur son gland violacé, et cela m’excitait de le voir bander ainsi pour moi.

Je jetais également des coups d’œil précipités à mon téléphone, pour voir si je ne recevais pas une notification de mon mari. Rien, toujours rien. Il restait inlassablement silencieux. J’ai donc pris mon courage à deux mains, je l’ai attiré dans notre chambre conjugale et je me suis lascivement allongée sur le lit. Nous allions quitter la maison, et je me suis dit que j’avais donc le droit de “souiller” celui-ci.

C’est un peu nul comme explication, mais dans la précipitation, on trouve toutes les excuses que l’on peut pour se déculpabiliser. Maître Bertrand n’a pas voulu me suivre sur cet autel sacré, cela devait peut-être lui poser un problème moral et je l’ai vite compris. Il est resté debout, moi je m’étais allongée et je me suis dit que la position était idéale pour le sucer en gorge profonde, la tête totalement retournée.

Je me suis précipitée sur son sexe du bout des lèvres. J’avais envie de lui offrir la pipe de sa vie. Tout en le regardant dans les yeux, j’ai englouti sa tige chaude et moite jusqu’au fin fond de ma glotte. Cela me faisait saliver et je laissais ma bave couler sur le parquet en bois. Je crachais et ravalais sa queue aussi sec, sans aucune retenue.

Il répondait à mes attaques par des courts gémissements. On aurait dit une grosse gloutonne pendue à son entrejambe. Il a pris quelques photos, « en guise de souvenirs », et c’est exactement ce que je voulais. Être un souvenir pour quelqu’un, savoir que quelqu’un se masturberait peut-être sur mon corps, quand moi je serai à des kilomètres d’ici. Finalement, je ne serai jamais vraiment partie…

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