L’avocate de la défonce
29 octobre 2020Amanda, 40 ans, est une avocate respectée et ses clients ne résistent pas à son charme ravageur mis à part Stéphane, un client un peu voyou. Cela le rend encore plus attirant aux yeux d’Amanda…
Je me prénomme Amanda, je suis Italienne et j’ai 40 ans. J’adore le sexe. Rien que de repenser à mon histoire de sexe avec Stéphane, je mouille, hmmm…
Les photos sont de lui. J’étais alors son avocate. Normalement, je n’aurais pas dû faire l’amour avec lui. Mais il était trop sexy. Je le représentais dans le cadre d’un litige financier important. Ce n’est plus mon client aujourd’hui mais un amant occasionnel, quand je monte de Turin à Paris.
À l’époque, je vivais dans la Capitale. Stéphane était ami avec l’avocat qui avait créé le cabinet où j’exerçais. Cet ami m’avait demandé de M’occuper de son litige. J’ai beaucoup vu Stéphane pour préparer le dossier. Il était toujours respectueux avec moi. J’aurais aimé qu’il flirte – je ne suis pas habituée aux hommes insensibles à mon charme.
Je me suis impliquée à fond dans son dossier, pour le bien du cabinet, mais aussi pour séduire Stéphane. Le jour où l’affaire a été classée sans aucune sanction pour lui, je l’ai appelé. Il était tard, mais il a quand même tenu à passer pour boire le champagne.
Il est arrivé un sourire en coin sur les lèvres. La bouteille qu’il a posée sur mon bureau était fraîche. Moi, je brûlais de l’intérieur. Son regard n’était plus le même que d’habitude. Coquin, provocateur. Il avait mis un beau costume mais gardait quand même son allure de voyou. J’avais travaillé sur son dossier. Je savais qui il était. Cela m’excitait encore plus.
Stéphane a ouvert la bouteille de champagne et la mousse a jailli. Quand il l’a reposée, j’ai regardé les gouttes couler lentement le long du verre. J’ai bu ma flûte en essayant de chasser toutes les images pornographiques qui se formaient dans mon esprit.
Ma robe serrait de plus en plus ma poitrine, les mains de Stéphane tremblaient sur son verre. Je me suis mordue les lèvres pour ne pas prononcer les mots provocants qui montaient. Quand j’ai entendu mon client murmurer : « J’ai envie de toi », je suis tout simplement tombée à ses pieds.
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Moi, la diva, la belle Italienne à qui tous les hommes font des courbettes, j’étais en train de supplier ce voyou de m’offrir son sexe. Il a enlevé son pantalon et j’ai découvert une queue exceptionnelle, douce et dure à la fois. Stéphane a immortalisé ce moment.
J’ai donné de la bouche, de la poitrine et même des pieds pour lui procurer un maximum de plaisir. C’était la seule chose qui m’importait : l’entendre gémir mon prénom, voir son regard se troubler sous mes caresses.
Quand Stéphane m’a relevée pour me positionner en levrette, je me suis laissée faire. La puissante amazone, l’avocate qui fait peur aux juges avait disparu. J’étais devenue une catin soumise au désir de son client, qui s’apprêtait à la couvrir.
J’ai senti la chaleur de son torse dans mon dos, puis son bas-ventre contre mes fesses. Sa queue en feu a cherché l’entrée de ma vulva. Le premier coup de reins m’a projetée si fort que j’ai poussé un cri, puis Stéphane m’a attrapée par la taille pour me posséder totalement.
J’ai senti chaque centimètre me transpercer, jusqu’à taper au fond de moi. Une fois, deux fois, trois fois, vite, fort. Mes genoux tremblaient et seuls les bras puissants du voyou m’empêchaient de faire la culbute. Ma tête partait dans tous les sens. Je me suis mise à crier : « Dai ! Dai ! Tuo cazzo e’buonissima ! »
Au bout de plus de vingt minutes, Stéphane était épuisé, mais je me sentais insatiable. J’ai pris le relai en me faisant coulisser sur sa verga. Quand il a appuyé sur mes reins pour me cambrer au maximum, je l’ai laissé faire. Ma jouissance est venue en même temps que la sienne. Ses grognements et mes cris ont retenti dans tout le bureau.
En se rhabillant, Stéphane m’a dit qu’il avait été séduit par moi dès notre première rencontre. Je l’avais compris au moment de son orgasme, d’une puissance terrible. Des mois à se retenir, pour un feu d’artifice plus éclatant que mes plaidoiries.