La gérante de l’épicerie

La rédaction 26 juin 2019

Alexandre, cadre, 37 ans, Paris.

Chères lectrices, chers lecteurs, je vous remercie tout d’abord pour vos récits… Je me suis enfin décidé à en faire de même. Je me prénomme Alexandre, j’ai 37 ans, je suis marié depuis onze ans. Mais ma femme est plus portée sur son rôle de mère que d’épouse… Elle travaille en restauration ce qui n’aide pas non plus, car elle rentre tard et souvent fatiguée. J’effectue mes courses quotidiennement dans une épicerie à proximité de mon domicile, ce qui m’a permis de sympathiser avec l’équipe, et particulièrement avec la gérante, qui se prénomme Leila et qui a la quarantaine.

Un jour, elle m’a interpellé dans un rayon et m’a demandé ce que je faisais de beau dans la vie, car elle me trouvait souvent habillé « classe« . Je lui ai répondu que je travaillais dans un hôtel et que je devais être en costume tous les jours. Elle m’a demandé si nous subissions la crise. J’ai répondu que nous étions en période basse, et que la concurrence était rude.

Elle m’a demandé s’il y avait des histoires coquines, je lui ai répondu que je pourrais rédiger un livre entier… Et je lui en ai raconté quelques-unes : les directeurs avec leur secrétaire qui passent les vendredis après-midi chez nous, la femme de ménage qui entre dans la chambre afin de la contrôler et qui constate qu’il y a deux couples dans la même chambre prévue pour deux personnes, mais qu’ils sont en plein ébat et qu’ils se filment, les touristes anglaises qui se baladent nues dans les couloirs à l’étage…

Je lui ai dit qu’il y en avait encore plein d’autres du même genre. Je lui ai demandé si c’était plus calme dans son magasin. Elle m’a répondu que oui et, à ma grande surprise, elle a ajouté que même avec son mari, c’était la routine. Je lui ai remis ma carte de visite et lui ai proposé de me contacter afin que je m’occupe de lui offrir quelques privilèges lors de sa prochaine réservation à l’hôtel (pour elle et son mari). Leila m’a remercié et m’a promis d’appeler.

Un mois plus tard, elle m’a appelé et a effectué une réservation pour le lendemain, pour deux personnes. Je lui ai offert deux verres au choix et un surclassement dans une de nos suites. Elle est arrivée, a pris les clefs de sa chambre, puis elle m’a appelé afin de me remercier de ces gestes commerciaux.

Elle m’a demandé si je pouvais la rejoindre en chambre… Je lui ai répondu qu’il était préférable de se voir au bar avec son mari, c’est là qu’elle m’a rétorqué : « Mais, je suis seule et j’ai envie de m’amuser avec vous ! » Je croyais rêver. Je lui ai opposé que je travaillais et que je ne pouvais pas m’absenter comme ça. La coquine m’a alors proposé de boire le verre offert avec elle. Finalement, j’ai accepté. Dans sa suite, nous avons trinqué et bu deux verres de champagne. Leila était ravissante et si sexy. Je lui ai promis qu’après ma réunion, je m’occuperais d’elle…

À 18 heures, je me suis dirigé discrètement vers sa chambre. J’ai déposé le petit panneau « ne pas déranger » sur la poignée de la porte. Leila m’a accueilli toute nue, nous nous sommes embrassés fougueusement. Nos corps étaient collés l’un contre l’autre, mes doigts se sont dirigés vers son minou qui était bien humide. Nous avons entamé un 69 torride. Elle mouillait de plus en plus. J’ai dégusté son nectar. Ma tige était bien dure, Elle l’a trouvée plus longue et grosse que celle de son mari. Elle s’est mise sur le dos. J’ai enfilé une capote et ai relevé ses cuisses sur mes épaules. Je l’ai pénétrée petit à petit, car elle hurlait tellement elle était excitée, et j’avais peur d’éjaculer rapidement… Mais j’ai alterné le rythme de nos va-et-vient.

Ensuite, elle s’est installée en amazone. J’étais aux anges. Leila bougeait terriblement. Enfin, elle s’est mise à quatre pattes et m’a demandé de la défoncer, de la baiser. Je lui ai massé son petit cul et, tout doucement, ma tige est entrée en elle. Ses cris étaient de plus en plus forts, je lui ai claqué les fesses. Elle aimait ça. Mon jus ne pouvant résister, j’ai tout lâché sur sa belle raie. Depuis nous sommes amants et allons régulièrement dans des hôtels.

(Photo à la une : Getty Images)

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L’inconnu de l’hôtel
« Juste en face de moi, au premier étage d’un hôtel, une fenêtre s’illumine et un homme apparaît aussitôt, de profil, dans l’encadrement. Il porte une chemise blanche et un pantalon de ville. Il n’est pas très grand mais à l’air plutôt bien fait. La quarantaine. C’est le genre d’homme qui me plaît. » Alice.

Régime généreux
« J’effectuais un stage informatique. Mon voisin de table n’arrêtait pas de mater mes jambes. Il faut dire que je n’étais pas avare de les lui montrer avec ma jupette en cuir à mi-cuisses. Si bien qu’à la pause déjeuner, il m’a invitée au restaurant. À vrai dire, c’est à l’hôtel qu’on est allés. » Jocelyne.

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