Sadomaso soft

La rédaction 17 avril 2019

Alain, 49 ans, Paris.

Sadomaso soft

Nous sommes un couple dans la tranche des 45-50 ans et fidèles lecteurs d’Union. Depuis quelque temps, nos pratiques sexuelles s’orientent vers des jeux de domination et de soumission. En général, c’est moi qui domine ma femme. Je vais vous raconter notre dernier week-end de soumission. Nous étions seuls dans notre appartement. Je lui ai demandé d’aller enfiler la minijupe en cuir que je lui avais achetée.

Elle est revenue, vêtue de cette fameuse minijupe, de bas noirs, de chaussures à talons hauts et d’une veste hyper échancrée, sans soutien-gorge ni string. Elle a préparé le repas dans cette tenue. Inutile de vous dire que je suis souvent allé la voir en cuisine pour lui relever la jupe et la prendre contre la gazinière avec quelques va-et-vient. Cette situation l’excitait. Sa chatte était très fortement mouillée.

Après le repas, j’ai relié le caméscope à la télévision pour visionner des films que nous avions faits et dans lesquels elle était soumise. Nous étions installés sur le canapé. Sa minijupe était remontée à ras de la chatte et je voyais le haut de ses bas ainsi que son sexe épilé. Tout en visionnant les films, je lui passais la main sur les seins et entre les cuisses. Elle en a mouillé le canapé, et je l’ai bien sûr punie pour avoir sali le tissu du divan. Elle a dû passer son collier de chienne avec la laisse et se mettre nue, en ne gardant que les bas et les chaussures à talons. Je lui ai ordonné de se pencher sur le canapé afin que son cul ressorte bien. Après lui avoir posé une pince sur les lèvres intimes (ce qu’elle adore, car en mettant la pince juste en dessous de son clitoris, celui-ci gonfle et ressort), j’ai commencé à lui administrer une fessée avec un martinet.

Une fois que ses globes ont été bien rougis, je l’ai fait sortir sur le palier pour la prendre en photo, ainsi que dans  l’ascenseur… Elle a eu droit à une nouvelle fessée et a pris des poses. De retour dans l’appartement, j’ai introduit un gode bien au fond de son sexe trempé de mouille et je lui ai fait subir des va-et-vient puissants pour qu’elle atteigne la jouissance. Ensuite, elle a sucé et léché ma queue, ce qu’elle fait divinement. Enfin, nous avons profité d’un moment de repos bien mérité après cette débauche.

Voilà une partie de notre dernier week-end. Si ça vous a plu et si ma chérie est toujours d’accord, je vous raconterai prochainement nos expériences passées et futures. En tout cas, un grand merci à ma femme que j’adore et qui sait me rendre fou d’amour pour elle. Je suis dingue de toi, mon ange !

(Image à la une : Getty Images)

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Un train peut en cacher d’autres…
« Nous avons continué à acheter votre revue et j’ai fini par lui avouer que j’adorais surtout les lettres de soumission… Nous avons commencé à faire des jeux de soumission entre nous. Stéphane me donnait des tâches à exécuter et s’il n’était pas satisfait, il m’attachait les bras dans le dos et m’obligeait à le sucer. » Virginie.

Premier pas dans le BDSM
« J’ai frappé encore un peu plus fort, jusqu’à ce qu’elle morde violemment sa lèvre inférieure, preuve qu’elle avait atteint le seuil de douleur pour cette séance. » Pierre.

À retrouver sur notre plateforme VOD 

Avec ce volume 2, poursuivez le plaisir de redécouvrir quelques unes des plus belles pages de l’histoire du X, avec entre autre la très belle Nina Roberts.


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