La sexagénaire coquine
15 juin 2020Elisabeth, 59 ans, joue à un jeu voyeuriste avec son jeune voisin qui vit une sexualité très épanouissante avec de nombreuses jeunes conquêtes… mais qui aime également les plus matures !
Bonjour interstron.ru,
Que de nouveautés pour moi ! Coucher noir sur blanc ma sexualité, sexualité que je redécouvre à 59 ans ! Lire une revue comme interstron.ru ! Découvrir mon corps, le plaisir, le sexe avec un grand S … tant de chose depuis que mon mari est parti de ma vie.
Mais je manque à tous mes devoirs ! Je m’appelle Elisabeth, j’ai donc bientôt 59 ans en novembre et je me suis fait « joliment » plaqué par mon mari après trente-cinq ans de mariage, ce dernier ayant décidé de faire sa crise de la quarantaine à soixante ans. Même si cela a été un choc pour moi avec une bonne dépression à la clef, je le bénis de m’avoir abandonnée ! Que la vie est belle depuis que j’ai remonté la pente et que je laisse mon corps de nouveau s’exprimer et exulter !
J’ai tenu à vous écrire pour dire à toutes vos lectrices que oui, il est possible et même souhaitable de ne jamais enterré la femelle qui dort en soi, la salope, la sensuelle, la charnelle que nous avons toutes en nous ! Il n’y a pas d’âge pour s’envoyer en l’air, jouir, faire jouir et profiter de cet instant de la vie qui nous offre, à nous les femmes, tant d’opportunités !
D’abord, disons-le, d’un point de vue physiologique, d’accord nos corps ont changé, le mien comme celui de toutes mes congénères mais je m’entretiens, je fais du sport, je mange équilibré. En revanche, avantage certain pour des rendez-vous coquins, même de dernière minute, plus de règles ! Je suis toujours d’attaque, plus de mal au ventre qui vous tenaille les entrailles, plus de précaution à prendre avec son ou sa partenaire pour l’approcher un peu gênée et s’enquérir sur sa répulsion éventuelle face au sang menstruel ! (C’est d’ailleurs idiot de refuser d’avoir des rapports pendant son cycle, le cocktail hormonal de cette fameuse semaine est très souvent un faiseur de miracle sur la libido et le plaisir).
Me voilà donc sortie de ma grosse déprime, un corps qui ne rentre plus dans du 36 certes mais qui se moule à merveille dans un 38, des seins opulents et généreux, un joli cul raffermi par des cours intensifs de zumba, quelques rides d’expression mais une peau soyeuse et douce, de grands yeux bleus et une bouche pulpeuse … je ne suis pas un avion de chasse de vingt ans, certes, mais je vous assure que les hommes se retournent encore sur mon popotin que je fais rouler dans les rues de Paris et cela me rempli d’aise et de bonheur !
Je me souviens encore de l’époque, pas si lointaine, où les femmes comme moi couraient les thé dansant et autre bal à Jo en quête d’hommes jeunes et disponibles pour peu qu’on les entretenait un minimum, des gigolos comme on disait. Mais internet est arrivé ! Les réseaux sociaux se sont développés jusqu’à atteindre les quinquas et les sexas comme moi. Quelle découverte !
Mais si je vous écris aujourd’hui c’est pour vous compter ce qui m’a remis le pied à l’étrier comme on dit.
C’était il y a pile un an, en plein milieu du printemps 2019. J’ai déménagé après la vente de mon appartement et je me suis installée dans un joli trois pièces en plein milieu du quartier latin. Directrice financière d’une société familiale je gagne bien ma vie et je me suis fait plaisir en me rapprochant d’un quartier dans lequel je me suis toujours sentie chez moi.
Vous savez ce que c’est, nouveaux voisins, nouvel environnement, nouveaux commerçants mais en un mois j’avais déjà mon petit réseau. Les habitants de mon immeuble étaient jeunes, d’un bon niveau social et pas de trace de l’enquiquineur pinailleur, vous savez ? celui qui colle des mots partout contre le bruits, les infirmières, les poubelles ou tout autre sujet qui lui tombe sous la main.
Quelques apéritifs amicaux plus tard j’avais un petit réseau de voisins sympas et toujours prêts à donner un coup de main. Femme seule et peu bricoleuse, l’aide d’un « sachant » est toujours la bienvenue. Il y a toujours quelque chose à réparer ou une étagère à fixer au mur.
Fabien, mon voisin du dessus est célibataire, il vit seul et reçoit pas mal de visites vespérales, féminines et … très, très jolies ! Je ne lui ai jamais rien dit mais l’immeuble n’est pas parfaitement insonorisé, c’est une litote, et évidement je « profite » de ses ébats nocturnes (et pas que) de ma chambre à coucher.
Je suis montée doucement en pression, je me suis d’abord équipée de boules Quiès puis j’en ai parlé à une amie. Elle aussi est célibataire et a ce genre de voisins, elle m’a avouée que, de son côté, elle en profitait ouvertement et se masturbait allègrement en fantasmant sur une partie à trois avec les trublions ! Elle m’a même montré sa collection de sextoys, j’étais abasourdie ! Comment ?! Marie, à qui on donnerait le bon dieu sans confession, se branlait en écoutant son voisin s’envoyer en l’air !
Mais en rentrant chez moi le soir, nouvelle séance de baise au-dessus de mon lit, je n’ai pas résisté, adieu les protections d’oreilles et vive le voyeurisme auditif ! J’ai calmé ma respiration pour mieux écouter encore, j’entendais la fille gémir puis pousser des petits cris, j’ai été surprise d’être de nouveau en proie à une excitation sexuelle que mon corps avait semble-t-il oubliée. Et j’ai clairement entendu le « Baise-moi ! Encule-moi ! Défonce-moi ! » de la jeune demoiselle qui, visiblement, était aussi directive que peu timide. Je me suis débarrassée en hâte de mon tshirt et de ma culotte et j’ai caressé mon sillon que j’ai trouvé humide. J’avais l’impression que cela faisait une éternité que je n’avais pas mouillé, je ne savais même pas que j’en étais encore capable alors que ménopausée.
J’ai redécouvert mes sensations de jeune fille, lorsque j’ai vécu mes premiers émois sexuels. Mon clitoris, endormi, s’éveillait doucement sous les caresses de mes doigts. Mon vagin reprenait vie et se gonflait de désir, mes petites lèvres se gorgeaient d’un sang nouveau et intensément vigoureux. Tout mon corps pulsait même mes seins, toujours fiers et hauts pour mon âge, réagissaient et mes mamelons étaient gonflés de sensualité.
J’ai glissé un doigt timide dans l’entrebâillement de ma chatte, j’avais oublié comme c’était doux et onctueux. C’était délicieux en vérité ! Quelle idiote avais-je été ! Pourquoi attendre qu’un homme me ramène à ma féminité ? Pourquoi ce manque de confiance en moi et ce refus d’accepter mes désirs, mes fantasmes. Une digue a cédé dans mon esprit cette nuit-là, cette nuit où je me suis masturbée et masturbée encore jusqu’à épuisement de mon corps et de mon âme.
Le lendemain matin, c’était un samedi, je me suis mise en branle (si j’ose dire) de rénover de fond en comble ma garde-robe. Fini les cols roulés, les vêtements amples, les couleurs ternes ! Terminé les ensembles en coton et les soutien-gorge « cœur-croisé » de mémé ! J’ai rempli trois grands sacs de cent litres, direction la Croix Rouge puis les grands boulevards ! J’ai écumé les grands magasins et carbonisé ma carte bleue ! de retour chez moi j’ai installé mes nouvelles tenues sur les cintres de mon dressing et, après avoir tout passé en machine, rangé ma nouvelle lingerie pleine de froufrous, d’organza et de dentelle. Je suis même passée par un petit passage derrière Beaubourg afin d’assouvir mes désirs les plus intimes. Une jeune vendeuse, très sympathique malgré le fait qu’elle m’ait dit, naïvement, que je n’étais pas sans lui rappeler sa maman (Grrrrrrr !) m’a conseillé avec beaucoup de gentillesse. Je suis repartie avec un stimulateur clitoridien (ces petits jouets qui vous aspirent le, bouton sans même le toucher), un « wand » (une espère de grosse boule vibrante à s’appliquer sur le clitoris ou à s’introduire dans le vagin) et le fameux « Rabbit » dont j’entendais parler dans la série « Sex and the city ». La vendeuse m’a offert une bougie de massage et une boîte de préservatifs d’un site libertin avec une carte me donnant un accès gratuit au dit site pendant une semaine. Autant vous dire que je me suis empressée de tout désinfecter en arrivant à la maison et j’ai tout mis en charge !
Mais j’oubliais, la honte de ma vie ! Le sac du love store était floquée du nom de la marque des sextoys et je suis tombée sur qui dans le hall de l’immeuble ? Mon voisin tombeur, accompagné d’une créature digne d’un mannequin, une jolie fille brune à la cambrure sublime et des seins qu’elle voulait à priori montrer au plus grand nombre. J’étais rouge comme une tomate quand nous sommes rentrés dans l’ascenseur, vous voyez, ces cabines ridiculement petites, où nous avons été obligés de nous serrés les uns contre les autres. J’avais les nichons de miss monde sous le nez et j’étais prise en sandwich entre elle et mon voisin quand j’ai senti sa main sur mes fesses !
Mon cœur de battre s’est arrêté comme dirait le poète. Je n’en revenais pas ! Ni de son audace, ni de son appétence envers moi ? Il ramenait des canons quasi tous les soirs et le voilà qu’il me pelotait le cul en présence d’une de ses conquêtes qui plus est.
Je suis sortie à mon étage, mes jambes flageolaient, j’ai sorti mes clefs de mon sacs, les ai faites tomber, je me suis penchée pour les ramasser et je me suis précipitée sur ma porte. J’ai eu grand peine à introduire ma clef dans la serrure, je me suis engouffrée chez moi et j’ai claqué la porte. Dans les cinq minutes qui ont suivi mon portable m’a signifié par un petit son de cloche que j’avais reçu un sms. C’était ce petit cochon de Stéphane, mon voisin, qui m’envoyait la photo qu’il avait eu la présence de prendre depuis la cabine de l’ascenseur et où on voyait mon petit cul fendu d’un string blanc tandis que je ramassais mon trousseau ! La photo était accompagnée d’un sms : « Quel joli petit cul et superbement mis en valeur par une lingerie affriolante. Si nous prenions l’apéritif demain soir chez moi ? »
J’étais tiraillée entre colère et exultation ! Comment ce petit jeunot avait-il osé prendre mon cul en photo !? Mais après tout, me disais-je juste après en mon for intérieur, je souhaitais remettre ma féminité en avant. Mais quand même quel odieux personnage … si jeune, si beau, si sûr de lui et, visiblement, quel amant exceptionnel !
Je suis allée me faire couler un bain et me suis immergée dans l’eau chaude et mousseuse. J’ai fermé les yeux et ma main a gagné mon abricot toute seule, les opérations a l’étage n’avaient pas attendu la nuit pour commencer et visiblement, eux aussi étaient dans la salle de bain. J’ai entendu distinctement les fessées que la belle brune devait se prendre sur les fesses puis les bruits typique d’une levrette mouillée, les ablutions avaient dérivé ! Et mon téléphone s’est remis à vibrer : nouveau message Stéphane. J’ai slidé mon écran : Stéphane vous a envoyé trois photos.
Le petit salaud m’envoyait le reportage de ses ébats ! D’abord lui en pied devant un grand miroir et la mannequin à genoux prenant en bouche sa queue gonflée. Le second cliché montrait le cul de la demoiselle avec une des fesses rougie par les fessées, le gland de Stéphane au premier plan. Le troisième, enfin, montrait les fesses de la sauterelle qu’elle écartait de ses mains et le pieu de Stéphane planté au plus profond de son cul.
J’ai joui instantanément. Je ne suis pas une aficionados du porno mais de visualiser ce qui se passait juste au-dessus de moi, de voir ce membre plein de vie planté dans l’anus de cette beauté, cela a été plus fort que moi. J’ai hurlé dans ma salle de bain et la résonance de mon propre cri m’a surprise dans l’écho des murs carrelés.
(Image à la une : Getty Images)
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Frau
Très joli récit…
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Frau
Elisabeth, je crois bien qu’une suite s’impose… comment ce jeune voisin a t’il comblé cette femme voluptueuse que tu es?